Empoisonnement "russe" en Grande-Bretagne, mise en perspective
19 mars 2018
Très intéressant "hebdo politique" de TV libertés à ce sujet.
Très intéressant "hebdo politique" de TV libertés à ce sujet.
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Excellente vidéo.
Les Services secrets britanniques étaient plus subtil jadis !
Il est vrai qu"ils auraient tort de se gêner, l'Occidental moyen est devenu si moutonnier et stupide...
Rédigé par : Exupéry | 19 mars 2018 à 11:41
Le lanceur d’alerte britannique Craig Murray, ancien ambassadeur du Royaume-Uni en Ouzbékistan, a publié son analyse démontrant que l’existence même des agents chimiques de type « Novitchoks » (« nouveau venu » en russe) était mise en doute par les meilleurs experts de l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (OIAC) et il est scientifiquement impossible que le gouvernement britannique ait pu avoir la preuve que l’agent chimique, qui aurait été utilisé contre l’agent double russe, soit de fabrication russe.
https://www.upr.fr/actualite/france/une-fake-news-pour-discrediter-poutine-et-la-russie-selon-lancien-ambassadeur-britannique-en-ouzbekistan-lhistoire-du-novitchok-serait-une-anarque-comme-les-armes-de-destruction-massi
D'autre part, le créateur de ce "Novitchoks" vit aux USA. Comme quoi il n'y a pas que les Russes à pouvoir concocter ce genre de poison. Il serait étonnant que les services secrets américains ne lui aient pas demandé la formule en échange de papiers pour rester vivre chez l'oncle Sam.
En 2006, une affaire similaire, l’empoisonnement au polonium de l’espion russe Alexandre Litvinenko, avait provoqué en 2016 cette révélation du capitaine Barril, ex-commandant du GIGN, affirmant détenir des documents prouvant qu’Alexandre Litvinenko a été tué par les services spéciaux américains et britanniques.
https://russia-insider.com/en/politics/bombshell-french-counter-terror-boss-i-have-proof-who-killed-litvinenko-it-wasnt-russia
Selon lui, l’assassinat de Litvinenko était une opération des services spéciaux conçue pour diffamer la Russie et Vladimir Poutine, à laquelle le fameux oligarque russe Boris Berezovsky a participé, et a été tué lui-même par le MI6 quand il est devenu gênant. L’opération aurait pour nom de code « Beluga ». :
« La Russie n’a rien à voir avec (l’assassinat de Litvinenko). L’affaire a été fabriquée depuis le début. Le Polonium a été choisi comme poison parce que, en raison de sa production en Russie, il impliquerait la Russie. L’objectif de l’ensemble de l’opération était de discréditer le président Poutine et le FSB. Cela a été fait parce que la Russie bloque les intérêts américains dans le monde entier, en particulier en Syrie. Ce fut une tentative d’affaiblir l’emprise de Poutine sur le pouvoir, de déstabiliser la Russie. »
Dans l’interview, Barril mentionne celui qui s’affiche ouvertement comme l’ennemi de Poutine, le financier William Browder, comme étant en étroite collaboration avec Berezovsky. Browder a dirigé le bureau russe des investissements chez Salomon Brothers. Il dirige actuellement le fonds d’investissement Hermitage Capital Management, une branche de la banque HSBC qui contrôle le plus grand fonds d’investissement étranger en Russie et possède notamment des parts dans des sociétés comme Gazprom, Inter RAO, Rosneft, Sberbank, Sidanko, Surgutneftegaz, etc.
https://www.youtube.com/watch?v=aLI-gXJ7T5E
Bien évidemment, Poutine n'aurait pas attendu 18 ans, la veille d'une élection, pour essayer de tuer Sergueï Skripal. C'est ridicule. La seule raison qui tient debout, l'Otan cherche à entraîner l'opinion publique contre la Russie. Pourquoi ? Tout simplement parce que ce pays résiste à la mondialisation. A ce monde unipolaire qui tient à placer Jérusalem comme capitale mondiale.
Rédigé par : Otho | 19 mars 2018 à 12:13
C'était perceptible, ca puait tellement que rien qu'à l'odeur on subodorait que la presse française mentait.
Rédigé par : San Juan | 19 mars 2018 à 12:22
Après cette histoire d'empoisonnement, tandis que les Russes se rendaient aux urnes pour élire leur prochain président, la Commission électorale centrale de la fédération de Russie était la cible d'une attaque informatique, en provenance de 15 pays.
Des attaques visant plusieurs sites web russes avaient déjà eu lieu dans les jours qui ont précédé le scrutin.
https://francais.rt.com/international/48844-cyberattaque-commission-electorale-russie
Il y a depuis un certain temps, une attaque en règle de la part des pays de l'Otan. Avec comme vassal des Américains, Macron.
Rédigé par : Willy | 19 mars 2018 à 15:18
Dommage que dès le début l'intervenant jette un doute sur sa qualification en ignorant le nom de Litvinenko et le polonium. On a une petite impression d'amateurisme.
Rédigé par : dureau | 19 mars 2018 à 15:43
L’affaire Skripal avec son poison est certainement une préparation psychologique pour préparer le brave public occidental à une attaque chimique en Syrie. Même si dernièrement, a été neutralisé par le camp syrien-russe, une usine de gaz de chlore jihadiste à l'est de la Ghouta. Car il y en a certainement d'autres.
La ville de Daraa semble être le prochain affrontement entre les pays de l'Otan avec Israël et les Russes avec leurs alliés (Hezbollah et Iran).
Les USA voulaient redessiner la carte du Moyen-Orient, en divisant l’Irak et la Syrie, en frappant le Hezbollah au Liban et en s'accaparant des parties du nord de la Syrie pour eux et la Turquie et du sud pour Israël. Ils se sont trouvés devant un os. Moscou a dû apposer 11 « vétos » à l’ONU pour rejeter les multiples tentatives de Washington et de ses alliés d’attaquer la Syrie et de faire tomber le président Assad.
Rédigé par : Xavier | 19 mars 2018 à 16:05
Pendant 18 ans, la Russie n'a pas cherché à empoisonner Sergei Skripal. Pourquoi donc le 4 mars ?
Or, au début de février (2018), le Service fédéral de sécurité russe (FSB) fut contacté par Yulia Skripal, qui vivait à Londres depuis 2011 et qui préparait son retour en Russie pour épouser le fils d'un haut responsable de la sécurité russe. Son père, Sergei, déjà démoralisé par la mort de son fils l'année dernière, et celle de son épouse en 2012, voulait aussi retourner en Russie avec elle.
Pour qu’il soit autorisé à le faire, Sergei Skripal devait fournir la preuve que le MI6, en coopération avec le régime Obama-Clinton, avait entièrement créé ce qui est maintenant connu comme le "dossier Trump", conçu pour détruire la légitimité du président Trump.
Sergueï Skripal, ancien officier des renseignements militaires russes, fut recruté par Pablo Miller du MI6 pour être un double agent. Miller travaillait aussi sur le "Dossier Trump", avec l'agent Christopher Steele. De son côté, Sergei Skripal travaillait pour Orbis Business Intelligence, l'équipe de Christopher Steele.
Curieusement, avant d'être empoisonné et selon le journal Telegraph de Londre, tous les liens Internet entre Sergei Skripal et Orbis Business Intelligence de Christopher Steele furent effacés.
http://www.whatdoesitmean.com/index2511.htm
Rédigé par : Lino | 19 mars 2018 à 16:24
excellent !
Rédigé par : jpm | 19 mars 2018 à 19:12
La police britannique a trouvé le passeport de Poutine sur les lieux de l'empoisonnement :
https://3.bp.blogspot.com/-peOuPlMku4Q/Wqvw_HzxQuI/AAAAAAAAs6I/us3gK0vXDFIx2SnfnVk79NoyFTUsMxWSQCLcBGAs/s1600/PutinPass.jpg
D'habitude dans les faux attentats, on retrouve toujours un passeport ou une carte d'identité. Autant en mettre une ici ! Non ?
Rédigé par : Willy | 20 mars 2018 à 00:29
Les Services secrets britanniques ont été complètement dépassés par l'incompétence politique de Theresa May empoisonnée par le Brexit qui voulait faire diversion au lieu de laisser la gestion de cette affaire aux Services secrets britanniques compétents...
Rédigé par : Michaud-Nérard | 20 mars 2018 à 15:14
Merci à Willy pour cette preuve irréfutable. Vous avez raison, il y avait bien les passeports des terroristes sur les décombres fumants du World Trade Center (ou dans la voiture des Charlie's killers)
Rédigé par : Faliocha | 21 mars 2018 à 20:12