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Dérive totalitaire : cet enfant condamné à mort, à la pire des morts, est mort cette nuit. RIP

000_14B837"Alfie Evans a 23 mois. Ce petit enfant britannique, atteint d’une maladie neurologique dégénérative, est en soins depuis décembre 2016 à l’hôpital Alder Hey de Liverpool, où les médecins n’ont pas réussi à établir un diagnostic définitif sur sa maladie. Incapable de le guérir, l’équipe médicale, bénéficiant de l’appui indéfectible des justices anglaise et européenne ainsi que de celui des forces de l'ordre, a décidé de mettre fin à sa vie, contre l’avis de ses parents qui se battent ensemble pour que leur enfant puisse être soigné dans un hôpital dédié" (suite).

Alfie Evans est mort cette nuit, la nuit d'un saint innocent, aux premières heures de la fête de Sainte Jeanne Beretta Molla, pédiatre et mère de famille, qui l'a accueilli à la droite du Père. RIP

Commentaires

lapaladine

Et pourtant nombre de soutiens ne voulaient pas cette mort!!!
lire La justice britannique a décidé qu'il devait mourir. La justice britannique a décidé qu'il devait mourir.
Totalitarisme. Contre l'avis des parents, des médecins et la justice britannique ont décidé que le petit Alfie Evans, atteint d’une maladie neurologique dégénérative, devait mourir. Une obstination euthanasique qui relève du totalitarisme le plus inquiétant.

Alfie Evans a 23 mois. Ce petit enfant britannique, atteint d’une maladie neurologique dégénérative, est en soins depuis décembre 2016 à l’hôpital Alder Hey de Liverpool, où les médecins n’ont pas réussi à établir un diagnostic définitif sur sa maladie. Incapable de le guérir, l’équipe médicale, bénéficiant de l’appui indéfectible des justices anglaise et européenne ainsi que de celui des forces de l'ordre, a décidé de mettre fin à sa vie, contre l’avis de ses parents qui se battent ensemble pour que leur enfant puisse être soigné dans un hôpital dédié.

Leur calvaire a débuté en début de semaine. Depuis la naissance d’Alfie, Tom Evans et Kate James sont engagés dans un marathon judiciaire pour la vie de leur fils, qui tourne systématiquement en leur défaveur. Le lundi 23 avril, considérant le bébé condamné par une maladie incurable (alors même que cette maladie n’a précisément pas été diagnostiquée), et estimant son existence « inhumaine », l’équipe médicale d’Alder Hey décide de débrancher son assistance respiratoire, pronostiquant une mort très rapide. Mais contre toute attente, Alfie ne meurt pas. 20 heures plus tard, son assistance respiratoire est réinstallée. Son père y voit la preuve que son état de santé est « significativement meilleur » que ce qu’affirmaient sans aucune réserve les médecins… « Je n'abandonne pas car Alfie respire, il ne souffre pas, dit-il alors que son fils est encore débranché. [...] Etant donné qu'il est resté en vie pendant neuf heures de manière complètement inattendue, je pense qu'il aura besoin d'assistance dans les prochaines heures. Je pense qu'on devrait lui accorder cela ».

De « ridicules sottises émotives »
Pour contrer cette obstination euthanasique, les parents reçoivent plusieurs soutiens de poids. Celui du sénateur américain Ted Cruz, ancien rival de Donald Trump lors de la primaire républicaine, du président polonais Andrzej Duda, du président du Parlement européen, Antonio Tajani, mais surtout celui du pape François, qui appelle plusieurs fois à ce que « la souffrance de ses parents soit entendue et leur souhait d’accéder à de nouvelles possibilités de traitement soit exaucé ». Le gouvernement italien se joint au souverain pontife et offre une alternative à la mort d’Alfie : l’hôpital du Bambino Gésu, qui dépend du Saint-Siège, explique être prêt à accueillir l’enfant pour des soins palliatifs, et les ministres de l’Intérieur et des Affaires étrangères annoncent lui avoir donné la nationalité italienne. Alors que l’exécutif britannique reste désespérément muet sur ce sujet, un avion sanitaire fourni par l’armée italienne se tient prêt à Liverpool pour le transfert, et la directrice de l’hôpital romain fait même le déplacement à la demande de François. « Personne ne veut faire d’acharnement thérapeutique mais un accompagnement plus serein pourrait être fait » plaide-t-elle.

Insuffisant pour entamer la détermination de ceux qui ont décidé qu’il était dans le « meilleur intérêt » de l’enfant de mourir. Le mardi 24, la justice doit décider si Alfie peut être transféré en Italie. Le juge Anthony Paul Hayden, connu par ailleurs pour faire partie d’une association judiciaire pro LGBT et auteur d’un manuel juridique sur les enfants des couples homosexuels, tranche. Après trois heures d’audience, il estime que l’on vient de connaitre « le dernier chapitre de l’affaire de cet extraordinaire petit garçon ».

Cet entêtement est incompréhensible. La première fois que le juge Hayden avait pris cette décision, il se fondait sur les affirmations des médecins qui prévoyaient la mort d’Alfie quelques minutes après l’arrêt de sa ventilation. Mais entre temps, le bébé a prouvé sa volonté de survivre, respirant difficilement, se battant désespérément contre la mort, sans machines, alors même que l’hôpital avait parallèlement cessé de le nourrir. Dans sa toute puissance, Hayden a estimé que le déplacement à Rome était « erroné et sans objet ». Le 20 février, il avait déjà noté dans son jugement que le père avait perdu son discernement car il s’était « entiché » (besotted) de son petit garçon, et qu’il se laissait aller à de « ridicules sottises émotives ».

Normes de civilisation
Le lendemain, mercredi 25 avril, la Haute cour de Londres donne raison à ce juge en appel. Les trois juges, après cinq heures de délibéré, estiment qu’il n’y a « aucun fondement pour affirmer que le juge Hayden avait tort ». Comme devant chaque tribunal (Haute Cour, Cour d'appel et Cour suprême), les parents sont spoliés de leur droit à décider du sort de leur enfant. Obligés d’accepter la sentence de la Cour européenne des droits de l’homme qui affirme « qu'aucune violation des droits de l'Homme n’a été constatée ». Contraints d’assister, alors que tous leurs recours sont épuisés, à la mise à mort de leur bébé.

Car contrairement à ce que laisse entendre une large partie de la presse britannique, du corps médical et de la justice anglaise, il ne s’agit pas de « débrancher » Alfie. Il est vivant, parvient à respirer sans appareils et se bat contre la mort. Mais le système médical et juridique anglais (comme celui de la France, d’ailleurs) a opéré un glissement en assimilant ce qui relève du soin, auquel chaque patient a droit, et ce qui relève du traitement, que l’on peut arrêter quand ce n’est plus efficace. Dans le cas d’Alfie, arrêter le traitement revient donc à arrêter ses « soins », à savoir le nourrir et l’hydrater ! « La priorité absolue de l'hôpital est de veiller à ce qu'Alfie reçoive les soins nécessaires au maintien de son bien-être, de sa dignité et de sa vie privée » expliquaient les médecins. L’euthanasie devient un soin comme un autre.

L’idéologie qui guide le bras du juge Hayden veut que la culture de mort soit supérieure à la culture de vie. Pour lui, Alfie doit mourir, car il est préférable de mourir plutôt que vivre en homme imparfait. Cette perfection qu’il confond avec la « dignité ». Au moment de décider, la première fois, de supprimer les soins intensifs apportés au petit garçon, Hayden s’était justifié en évoquant la « futilité » de sa vie, alors qu’il ne communiquera « très probablement » plus jamais avec sa famille. Peut-être Tom et Kate auraient-ils souhaité s’accrocher à ce «probablement»... et peut-être savent-ils tout simplement qu’un enfant handicapé est aimable lui-aussi... Pour répondre à l’avocat qui plaidait en évoquant des « normes de civilisation », il lui répondait ne pas souhaiter faire de la cour une « plateforme pour des platitudes et des phrases choc ». Cette prédominance de la mort sur la vie est d’autant plus acceptée par la société qu’elle est relayée par les médias dominants. Ainsi The Times balaye le combat des parents : « Le vrai soutien pour ces gens serait de leur faire comprendre que la justice et les médecins ne sont pas contre eux mais avec eux ».

La vie appartient désormais en dernier ressort à l’Etat
Le corps médical britannique n’est cependant pas unanime dans cette affaire. Alors que la survie d’Alfie dans la nuit de lundi à mardi a prouvé que le diagnostic initial de mort « très rapide » était totalement erroné, les médecins qui réclament la fin des traitements ont expliqué, dès le lendemain, à la barre devant le juge Hayden, ne pas avoir été surpris… Le mensonge ne passe pas. Dans un communiqué, les médecins de la Medical Ethics Alliance protestent contre l’attitude de leurs confrères : « Les actions de ce type ont mis l’hôpital Alder Hey sous le feu des projecteurs mondiaux et par ricochet, discrédite l'ensemble de notre profession. La tyrannie médicale doit prendre fin. Le pauvre Alfie ne doit pas être tué de cette manière. Nous demandons que les autorités permettent à Alfie de rejoindre Rome en toute sécurité ».

Car si Alfie est condamné, ce n’est pas uniquement par la volonté d’un juge et de la dictature médicale, mais aussi par la complicité d’un Etat qui ne se contente pas de fermer les yeux. Depuis lundi soir, les parents du petit bonhomme sont surveillés par les forces de l’ordre. Escortés en permanence, fouillés avant d’entrer dans la chambre de leur enfant, gardée par dix policiers en uniforme armés de tasers. La police de Merseyside a publié un communiqué dans lequel elle menace ceux qui s’en prendraient sur les réseaux sociaux aux juges ou au personnel soignant : « Vos messages sont surveillés, et les comportements menaçants feront l’objet d’une enquête ».


Terrifiante époque, où l’Etat déploie tous ses relais médicaux, judiciaires et même policiers pour décider de la mort d’un enfant contre l’avis de ses parents, sains et bien portants. Rupture inouïe pour une civilisation chrétienne qui s’est construite sur la défense du plus faible et la prééminence évidente de la cellule familiale. Le juge Hayden ne peut l’ignorer : ce sont bien nos « normes de civilisations » qui sont en jeu dans le lit de cet enfant. Par sa détermination, il contribue à dessiner un avenir inquiétant dans lequel la vie appartient en dernier ressort à l’Etat, qui la tient en très faible considération. Dans ce contexte, les parents d'Alfie, comme en France ceux de Vincent Lambert, sont engagés dans une lutte inégale. Leurs enfants sont les victimes de démiurges totalitaires.

Oh!

Et l'angleterre est plus moche qu'hier, et l'europe des technocrates plus laide encore.

petit à petit ce pays ressemble davantage à une dystopie, et ses attraits disparaissent derrière une médiocrité et une veulerie horribles.

j'ignore si cet enfant est allé au ciel ou au purgatoire ou que sais-je cela est en réalité la prérogative du juge des juges, mais il est certain que désormais l'Angleterre et tout pays semblable fait figure de camp de concentration à ciel ouvert.

plus aucune envie de visiter l'Angleterre, plus envie de m'intéresser à ce pays arriéré, et inhumain.

quelle tristesse !

Aujourd'hui c'est le rosaire aux frontières, prions pour que notre pays sorte de ce cauchemar homicide, prions pour les responsables religieux pécheurs et ignorants, mais sans excuses pour la banalisation de ce désastre, prions pour les pires, et ils sont nombreux à présent, et prions Dieu de protéger de garder et défendre notre pays bien aimé contre toute tyrannie et tout envahisseur !

C.B.

Qu'il repose en paix, et que les parents soient aidés pour se reconstruire: la mort d'un enfant est bien plus difficile à "avaler" que la mort de ses propres parents.
Cet enfant étant depuis peu citoyen italien, l'Italie serait, me semble-t-il, fondée à demander, avec l'accord des parents, bien sûr, la vérification des causes de ce décès suspect.

denis

même plus besoin d'une directive exprimée pour que l'état décide de débrancher un patient !!
contre l'avis de ses 2 parents !
de pire en pire !
Que le bon Dieu accueille ce nouveau Saint et qu'il fasse comprendre à notre monde que nous devons rester HUMAINS !

Arnaud

Ce monde est fou. Honte aux exécuteurs. Prions pour les parents de cette victime de la folie mortifère de nos contemporains.

gaudete

JUSTICE DE PACOTILLE, Europe de nazis et médecins dignes des camps de concentration nazis et soviétiques et en plus avec la garde SS pour éviter que les parents "n'enlèvent" leur enfant. Voilà où est arrivée notre humanité, enfin plutôt une frange de pseudo-humains pire que des bêtes immondes car les bêtes ne tuent pas leurs petits et essaient de les garder en vie. Pauvres parents qui ont tout fait pour le garder en vie. Mais un jour la justice Divine s'abattra sur ces pseudo-élites qui croient avoir droit de vie ou de mort sur leurs semblables comme au temps des romains comme à la révolution, comme chez les nazis et les communistes de tout poil

me

Que le Bon Dieu l'accueille et réconforte ses pauvres parents qui se sont vus retirer leurs droits les plus légitimes.
Il faut que le clergé cesse de raisonner souvent dans le sens économique des "politiques" et prennent la tête des mouvements pro-vie. Ils ne doivent plus laisser les laïcs combattre seuls.
Si les évêques catholiques du monde entier s'étaient manifestés devant le non respect des droits des parents et du droit à la vie devant cet acte inhumain cela aurait certainement apporté un changement dans ces actes autoritaires et inhumains.
On ne peut plus se réfugier QUE dans la prière, le Bon Dieu attend que nous OSIONS défendre les droits naturels qu'Il a établit avec tous les moyens (légaux bien sûr) et avec le clergé qui doit défendre les plus faibles !

Saint-Plaix

Au delà de commentaires attendus, je me pose une question là: cet article ne dit absolument rien sur les conditions de la mort de ce petit.
Finalement, ce petit malheureux déjà sous assistance respiratoire - sans parler du reste - est-il mort à bout de forces "naturellement" ou bien a-t-il été débranché?
Là est bien la question sur le plan éthique!

Gipsy

J'espère ne pas apprendre un jour qu'on a prélevé et utilisé les organes de ce petit garcon ....
Comme au temps des nazis, l'euthanasie est une horreur sans nom parce qu'elle est en soi une dérive .

michel

Le monde occidental dans lequel nous vivons est monstrueux!
Mort naturelle?
ou....

Tite

Si la Volonté de Dieu est que l'âme d'Alfie revienne auprès de Lui au jour de la fête de Sainte Jeanne Beretta Molla, maman qui a donné sa vie pour celle de sa petite fille, c'est parce qu'Il a voulu que le monde entier ouvre les yeux sur la monstruosité de l'euthanasie.
A présent, pour que tout soit consommé, il ne reste plus au Pape François d'autre alternative que de déclarer cet enfant martyr et le béatifier pour qu'il serve au Ciel à la défense de tous ses semblables.
Satan croit régner, mais par la renaissance au Ciel de cet enfant qui a lâché prise, il a été vaincu.
A Dieu, Alfie, dans la Lumière, l'Amour Divin et l'Espérance. Et merci à toi et à tes parents d'avoir si bien combattu.

Exupéry

N'oublions pas que l'archevêque catholique de Liverpool, Mgr Malcolm McMahon s'est rendu à Rome pour voir le pape, pour lui expliquer que le professionnalisme de l’hôpital, voulant la mort du petit Alfie, était au dessus de tout soupçon, et que la vie était parfaitement respectée au Royaume-Uni...
Et dire que sur le blog d'Y.Daoudal, il y a 4 ans, certains se réjouissaient de sa nomination par le pape François, parce qu'il acceptait de célébrer la messe en latin : http://yvesdaoudal.hautetfort.com/archive/2014/03/22/une-bonne-surprise-a-liverpool-5329062.html
Soyons donc aussi prudents dans nos estimations positives que dans celles qui sont négatives.

jerome

Est ce un assasinat ?

https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=10155449332001188&id=580561187&ref=m_notif&notif_t=feedback_reaction_generic

Aurélien D'Haussy

RIP bonhomme.

Les assassins paieront.

Marie la Bretonne

Pauvre petit ange ! Et surtout, pauvres parents à qui "l'hôpital" a dénié le droit de prendre des décisions pour LEUR enfant, et qui ont été traités par cet établissement, la "justice" et les autorités publiques comme s'ils étaient des bourreaux. On a été jusqu'à placer 6 policiers devant la chambre du petit garçon !!! De dignes émules des brigades SS...

On rappellera utilement que l'Alder Hey Hospital est l'un de ces lieux impliqués dans un scandale concernant l'ablation et la rétention illégitimes et illégales d'organes d'enfants morts (http://www.leparisien.fr/faits-divers/prelevements-d-organes-le-scandale-s-etend-londres-de-notre-correspondant-05-02-2001-2001937677.php).

On rappellera tout aussi utilement que l'Angleterre est ce pays pourri (je parle des autorités, pas du peuple) :

- où les services sociaux arrachent indûment des enfants à leurs parents considérés comme trop pauvres pour les faire vivre ("Angleterre, le royaume des enfants perdus" sur YouTube : https://www.youtube.com/watch?v=XeI5zdxPeyo) ;
- où un animateur star, Jimmy Savile, et ses amis ont pu faire subir des horreurs à des enfants en toute impunité pendant des dizaines d'années, et ce avec la complicité d'hôpitaux notamment,
- où plusieurs scandales pédophiles ont éclaboussé des politiques, des juges, des journalistes...,
- où les services sociaux et les autorités publiques ont couvert les viols commis par des gangs pakistanais sur des fillettes anglaises de milieu ouvrier à Rochdale, Rotherham, Telfort et autres lieux (des milliers d'enfants impactées)...

Un bien "beau pays" pour élever des enfants, l'Angleterre...

Ceci dit, je ne pense pas que la France et les autres pays occidentaux, gangrénés par la culture de mort et l'immoralité, valent mieux qu'Albion...

De la peste immonde de la culture de mort, délivrez-nous au plus vite, Seigneur !

Gautier

Dans cette société de culture de mort, il va nous falloir nous renseigner sur les médecins des hôpitaux et cliniques à proximité pour bien choisir quand nous auront à subir une hospitalisation ! Il semble que selon les idées qu’ils ont de la vie, le traitement ne sera pas le même.
Dommage qu’on n’ait pas une sorte de label «  respect de toute vie de l’embryon au plus faible quelque soit son état ! ». Mais un tel label ne pourrait être validé car les autres prétendent respecter la vie...

c'est ici


Pauvre enfant, victime du primat de la rentabilité.

Prière pour les parents devant ce drame.

Les juges et l'hôpital ont-ils cette mort sur leur conscience ? Cette dernière est-elle trop affaiblie ou pervertie ?

Pendant ce temps, le nombre de signataires de cette pétition continue quand même d'augmenter, malgré la mort d'Elfie : https://www.change.org/p/we-demand-alder-hey-to-release-alfie-evans-to-a-hospital-of-his-parents-choice

Libera

L'assassinat des Saints Innocents continue.
C'était un bien beau bébé.
Je compatis de tout coeur à la peine des parents.

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