La Justice anglaise contre le droit de vivre d’Alfie Evans
26 avril 2018
Communiqué de Jean-Frédéric Poisson, président du parti Chrétien Démocrate :
"La situation du petit Alfie Evans (23 mois), bébé britannique atteint d’une maladie rare, et celle de ses parents combattant pour défendre la vie de leur enfant, émeuvent l’opinion et suscitent des soutiens dans le monde entier. Les médecins n’ont pas encore réussi à diagnostiquer la maladie de l’enfant.
Le Pape François et le Gouvernement italien ont proposé d’accueillir Alfie Evans dans un hôpital pédiatrique à Rome, accordant la nationalité italienne à l’enfant pour faciliter les démarches, afin de lui apporter de nouveaux soins et lui éviter une mise à mort prononcée par la Justice britannique.
Non seulement le juge saisi a refusé le transfert de l’enfant à Rome, mais dans le même temps a prononcé l’arrêt des soins contre l'avis des parents, c’est-à-dire la fin de l’alimentation et le débranchement de l’assistance respiratoire de l’enfant. Malgré cela, Alfie respire toujours.
Cette décision de la justice anglaise dépasse largement les frontières juridictionnelles. Elle questionne sur les fondements de la justice de notre civilisation. La vie humaine ne peut en aucun cas être suspendue à l’appréciation d’un juge. Un tel acharnement interroge sur l’éventuelle motivation militante d’une telle décision.
Tous les recours de Justice étant épuisés, les parents d’Alfie sont condamnés à assister, impuissants, à sa condamnation à mort.
En plus d'ajouter une souffrance supplémentaire à l'enfant et aux parents, l’obstination euthanasique d’un juge contre cette vie humaine si fragile démontre que notre civilisation est malade.
Débrancher l’assistance respiratoire d’un bébé qui se bat pour vivre est un acte monstrueux, qui plus est contre la volonté des parents, et ne relève pas d’un Etat de droit, mais d’un Etat-tyran, totalitaire par l’absence de considération pour la vie humaine.
La détermination des parents et les actions à leur portée (ils aident Alfie à respirer grâce au bouche à bouche), sont une leçon pour toutes les civilisations du monde en faveur de la défense imprescriptible du droit de vivre."
Notez que le système de santé britannique est à 100 % communiste. Le nôtre ne l'est que partiellement, bien qu'un nombre considérable de Français, y compris "d'extrême droite", communient à l'autel de la santé étatisée. Et souhaiteraient qu'elle le soit encore davantage.
Si cet hôpital du National Health Service peut exercer son pouvoir dictatorial sur les parents, c'est bien qu'il appartient à l'Etat.
Un autre scandale similaire existe en Grande-Bretagne, et pour les mêmes raisons : les "services sociaux" (c'est à dire l'Etat) enlèvent, fréquemment, des enfants à leur famille, sous le prétexte qu'ils sont en danger. Mais beaucoup trop souvent, ce danger est fortement exagéré, voire imaginaire. Et en tous cas, il ne justifie certainement pas la séparation de l'enfant de sa famille.
Un journaliste britannique s'est spécialisé dans le suivi et la dénonciation de ces cas.
Les deux situations viennent du même vice institutionnel : le trop grand poids pris par l'Etat. Autrement dit, la solution est libérale. Pour ne pas dire "ultra-libérale", puisque, par comparaison avec la France, l'Angleterre est, déjà, très libérale.
Rédigé par : Edgar Tirol | 26 avril 2018 à 18:21
Hitler est vraiment de retour
Rédigé par : Tonton Jean | 26 avril 2018 à 19:00
Dans une démocratie, une majorité du peuple a les politiciens, les juges et les lois qu'elle mérite.
"Un peuple qui élit des corrompus, des renégats, des imposteurs, des voleurs et des traîtres n’est pas victime ! Il est complice."
dixit Georges Orwell
Rédigé par : Apollos | 26 avril 2018 à 19:32
@ Tonton Jean :
Hitler avait tous les signes du possédé. Ce n'est pas son retour. C'est le déchaînement de Satan, de plus en plus fort en ce monde à la dérive. Beaucoup de malfaisants, de possédés, pas assez de catholiques ayant gardé, compris, le sens métaphysique de leur religion. Une religion qui a perdu ses dogmes, ses rites sacrés, sa puissance contre le Mal, par la faute des "modernistes" et de l’Église conciliaire.
"L’Église est une barque qui prend eau de toute part. Je vois Satan qui rit assis sur les autels"... Benoît XVI
Croyez-moi, je l'y ai vu aussi et ce, bien avant cette déclaration. Elle m'a confortée dans l'assurance que je n'étais pas folle.
Rédigé par : Tite | 26 avril 2018 à 19:47
Le droit au mouvement pour soigner son enfant est possible selon la loi italienne mais les juges ont dit que c est secondaire à son best interest. Son meilleur intêrét était la morte lundi et maintenant le non départ. Mme Enoc présidente de l hôpital Bambin Gesù de Rome n a même pas été reçue lundi. Le transport et les soins à Rome auraient été à la charge de l Italie, aucune charge à l angleterre. Un avion militaire avec une équipe de l hôpital de Rome était présent dès mardi à liverpool. Le prêtre italien qui a donné soutien spirituel à la famille ainsi que le sacrement des malades à été .. re-appellé à Londres. père Gabriel Brusco. Avant, aucun prêtre était disponible du diocèse local.. Benedetta Frigerio, journaliste a informé que même un prêtre local auquel ils ont demandé de venir dans la chambre de Alfie a dit que it's not my job. Par contre le soutien de l êveque à l hôpital est plein comme il a déclaré hier à Rome. La police a diffusé hier soir une alerte, les réseaux sociaux sont monitorés.. donc attention à parler mal de l hôpital de manière malicious. L enfant est resté sans nutrition pour 36 heures avant de lui en rédonnercomme déclaré par le papa. Tout ça à vous de le juger au délà de tout protocole legal.
Rédigé par : Monica | 26 avril 2018 à 20:47
Et si le Pape allait lui même réclamer l'enfant.
Que feraient ces docteurs et hommes de lois ?
Rédigé par : me | 26 avril 2018 à 22:09