Les médecins hospitaliers ne me semblent pas avoir la liberté de conscience vis à vis des demandes d'euthanasie de leurs patients avec les lois actuelles, même s'ils ont cette liberté de conscience (comme les internes) pour les avortements.
À quand l'inscription dans la constitution d'un article précisant que la France reconnait à l'enfant non encore né le droit à la naissance, donc à sa mère le droit à un accompagnement bienveillant de sa grossesse; au motif de la protection du plus faible.
Je ne comprends même pas la logique de ce pitoyable crétin franc-maçon... Pourquoi 14 semaines ? Et si une femme décide d'avorter à 15 semaines en France, elle fait quoi ? Au Canada, l'avortement est légal jusqu'à 9 mois. Aux USA, dans l'état du Kansas en particulier, on pratique des avortements au troisième trimestre. Que cet idiot aille au bout de sa logique.
Robespierre aimait le sang , les sinistres salopards à la tête du Pays auront un jour ou une nuit des comptes terribles à rendre.
Quand ? dans vingt ans ? Dix ans ? cette nuit peut-être.
Le rédacteur de cet amendement ne semble pas avoir fait d'erreur de rédaction en énonçant "dans un délai de 14 semaines d'aménorrhée minimum" ; en effet, 14 semaines aménorrhée (ou 12 semaines de grossesse), c'est, en droit français, le plafond actuel ; mais dans sa logique mortifère, la FI espère davantage que cet actuel plafond, d'où le qualificatif "minimum", sans indication de nouveau plafond.
Car selon cette logique eugéniste, c'est la liberté de la femme qui doit toujours prévaloir, peu importe l'âge de l'embryon ou du fœtus.
Il serait bon aussi d'écrire dans la constitution qu'il est souhaitable d'Euthanasier les cons en précisant comme exemples les idéolos gochos et écolos
Ils leur faut toujours plus de morts pour hâter la disparition de la France, premier objet de leur haine.
Rédigé par : Stephe | 12 juillet 2018 à 13:12
Je ne comprends pas un ''délai de 14 semaines d'aménorrhée minimum''. Faut-il attendre 14 semaines avant d'avoir ce droit...?
Rédigé par : Charras | 12 juillet 2018 à 13:37
Les médecins hospitaliers ne me semblent pas avoir la liberté de conscience vis à vis des demandes d'euthanasie de leurs patients avec les lois actuelles, même s'ils ont cette liberté de conscience (comme les internes) pour les avortements.
Rédigé par : Jean-Paul | 12 juillet 2018 à 14:16
À quand l'inscription dans la constitution d'un article précisant que la France reconnait à l'enfant non encore né le droit à la naissance, donc à sa mère le droit à un accompagnement bienveillant de sa grossesse; au motif de la protection du plus faible.
Rédigé par : C.B. | 12 juillet 2018 à 14:45
"dans un délai de 14 semaines MINIMUM " !!!!
En bon français, cela veut dire "à partir de 14 semaines, jusqu'à la naissance" !!
Rédigé par : croixde lorraine | 12 juillet 2018 à 14:54
L'enfant à naître, sous condition qu'il naisse vivant, est reconnu dans le droit français comme héritier de son père décédé avant sa naissance...
Rédigé par : JaneDoe | 12 juillet 2018 à 16:49
Je ne comprends même pas la logique de ce pitoyable crétin franc-maçon... Pourquoi 14 semaines ? Et si une femme décide d'avorter à 15 semaines en France, elle fait quoi ? Au Canada, l'avortement est légal jusqu'à 9 mois. Aux USA, dans l'état du Kansas en particulier, on pratique des avortements au troisième trimestre. Que cet idiot aille au bout de sa logique.
Rédigé par : Carter | 12 juillet 2018 à 18:59
Robespierre aimait le sang , les sinistres salopards à la tête du Pays auront un jour ou une nuit des comptes terribles à rendre.
Quand ? dans vingt ans ? Dix ans ? cette nuit peut-être.
Rédigé par : lève-toi | 12 juillet 2018 à 22:06
Et les droits de l'homme ?
Et les droits de l'enfant ?
Comment oserait on mettre de tels amendements dans la constitution d'un pays censé respecter les droits de l'homme ??
Rédigé par : DUPORT | 13 juillet 2018 à 00:19
Le rédacteur de cet amendement ne semble pas avoir fait d'erreur de rédaction en énonçant "dans un délai de 14 semaines d'aménorrhée minimum" ; en effet, 14 semaines aménorrhée (ou 12 semaines de grossesse), c'est, en droit français, le plafond actuel ; mais dans sa logique mortifère, la FI espère davantage que cet actuel plafond, d'où le qualificatif "minimum", sans indication de nouveau plafond.
Car selon cette logique eugéniste, c'est la liberté de la femme qui doit toujours prévaloir, peu importe l'âge de l'embryon ou du fœtus.
Rédigé par : c'est ici | 13 juillet 2018 à 00:37
Il serait bon aussi d'écrire dans la constitution qu'il est souhaitable d'Euthanasier les cons en précisant comme exemples les idéolos gochos et écolos
Rédigé par : Esprit critque | 13 juillet 2018 à 12:41