Se reposer entièrement sur le préservatif facilite la contamination par le virus du sida
11 juillet 2018
Selon un rapport de l’Inspection générale des affaires sociales (IGAS) :
"Aides s’est tiré une balle dans le pied. Cette association homosexualiste hyper-médiatisée et protégée politiquement avait conquis une part de sa notoriété en traitant Jean-Paul II d’assassin, puis en lançant une campagne hystérique contre Benoît XVI. Elle leur reprochait de dire que le tout capote, le comportement des hommes étant ce qu’il est, était non une protection contre l’épidémie de sida mais un facteur de contamination. Ce que les études épidémiologiques montraient, les homosexualistes et la masse politiquement correcte le niaient par préjugé idéologique. Or, c’est grâce à Aides que l’IGAS, et donc le gouvernement français, l’entité politique la plus politiquement correcte au monde, reconnaît aujourd’hui officiellement le caractère mortel de l’abus de préservatifs.
Tout est parti du Truvada, ce médicament dit de « prophylaxie pré-exposition », c’est à-dire cette pilule que prend une personne séronégative avant un rapport sexuel lorsqu’elle l’estime « à risque ». On s’interdira toute controverse intellectuelle ou morale, par méthode, à propos de ce Truvada, pour en venir au fait : il a été autorisé en 2012 aux Etats-Unis par la Food and Drug Administration, et en 2016 par l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) en France, premier pays d’Europe à lui ouvrir ses portes. La thèse de Aides, est que l’instruction du dossier par l’ANSM, qui a duré trois ans et demie, a été « anormalement longue », et que cela a privé indument des milliers d’usagers potentiels d’un médicament qui aurait empêché leur contamination. C’est pourquoi, grâce à leurs relais dans l’appareil d’Etat, les homosexualistes ont obtenu que Marisol Touraine, alors ministre de la santé, confie le 15 mars 2017 une mission d’inspection à Gilles Duhamel et Aquilino Morelle, le conseiller spécial aux brillantes pompes que trahit naguère François Hollande.
Le rapport est conforme aux instructions du commanditaire. C’est bien à une « instruction anormalement longue » que serait dû le retard dans la vente du Truvada. Et le rapport estime qu’entre « 1 666 et 4 000 » contaminations auraient été évitées si l’ANSM avait fait diligence. Super. Tous ces barons en foire ont ensuite fait fuiter le rapport dans Le Monde, le quotidien de référence du bobo de gauche, pour montrer comme ils avaient bien travaillé et comme ils avaient encore une fois raison contre les lourdeurs de la machine administrative. Tout serait donc bien qui finirait bien si le rapport de l’IGAS ne ressemblait en fait, quand on le regarde d’un peu plus près, à un gigantesque pavé de l’ours. Et Le Monde ne contribue pas peu à le rendre plus pesant et plus contendant.
Pour nous expliquer les « enjeux du sujet », notre éminent confrère rappelle en effet deux « faits marquants » concernant l’épidémie de SIDA en France. Le premier est la persistance de plus de 6.000 contaminations par an, « en particulier chez des hommes ayant des rapports homosexuels ». [...] La raison en est bien simple, et le père Le Pen, dans son langage sans détour, la disait toute crue : c’est la sodomie qui fait toute la différence, l’actif contaminant le passif, qu’il soit mâle ou femelle (en passant, c’est une indication de plus que le sida est une maladie sociale, le bisexuel étant un agent de contamination fondamental, puisqu’il transgresse la barrière des « orientations sexuelles »). Et cela pour une raison physiologique, quasi mécanique : ni l’anus ni le colon ne sont conçus pour l’intromission de corps étrangers. On observe là quelque chose de très dérangeant pour le politiquement correct : la morale traditionnelle chrétienne est objectivement, scientifiquement, un facteur de sécurité, un moyen invincible de prophylaxie. Si l’on avait mauvais esprit, on noterait que, si l’usage hâtif du Truvada aurait peut-être sauvé quatre mille vies, l’abstinence en aurait sauvé beaucoup plus.
Mais venons-en au deuxième « fait marquant » que relève notre confrère Le Monde dans le rapport de l’IGAS : notre système de santé promeut le tout capote contre le sida et sa contamination. Selon l’IGAS, le préservatif serait l’» instrument principal, pour ne pas dire unique, de la prévention de l’infection par le VIH ». Ici, on entre dans le tragique. Car le tout capote est le produit de la volonté d’Aides, des associations homosexualistes et de leur relais. Quand Benoit XVI tenta de le dénoncer, au retour d’un voyage en Afrique, l’orchestre politiquement correct le couvrit d’ordure. Kouchner, Carla Bruni l’agressèrent, et jusqu’à Juppé le traita « d’autiste », ce qui ne manque pas de sel. Aujourd’hui, le désir de promouvoir la « prévention » par le médicament Truvada conduit le lobby homosexualiste à changer de pied et reconnaître ce qu’il niait, l’inefficacité du tout capote.
Le pape se fondait notamment sur le manque de fiabilité de la capote, objet qui donne en outre à ceux qui l’utilisent l’illusion d’être à l’abri et provoque donc des comportements encore plus risqués. L’IGAS confirme : « Contrairement à une idée très répandue, loin d’avoir une « efficacité à 100 % », le préservatif n’atteint dans ce domaine que des taux de 80 % chez les hétérosexuels et 70 % chez les hommes ayant des relation sexuelles avec des hommes ». Tout est dit : le préservatif est une passoire à SIDA, encore plus quand ce sont des homosexuels qui l’emploient. Le tout capote est donc une bombe à contamination. Benoît XVI avait raison et Aides l’a dans le baba. C’est l’IGAS qui le dit."
Peut-on aller plus loin est estimer que ces personnes qui s'en sont prises au pape ont favorisé la contamination du Sida et sont complices de crimes ?
" peut-on aller plus loin et estimer que ces personnes...sont complices de crimes?" Poser la question c'est y répondre.
Rédigé par : cocorico | 11 juillet 2018 à 13:14
Kouch, Carla et Jupp, quelle belle brochette de bêtise gluante !
Rédigé par : HH | 11 juillet 2018 à 13:15
Rien de nouveau, on le savait
Mais ça fait toujours un argument de plus en ce sens. Merci
Je l'ai toujours dit : préservatif = sida
Rédigé par : Etienne | 11 juillet 2018 à 13:15
"L’IGAS confirme : « Contrairement à une idée très répandue, loin d’avoir une « efficacité à 100 % », le préservatif n’atteint dans ce domaine que des taux de 80 % chez les hétérosexuels et 70 % chez les hommes ayant des relation sexuelles avec des hommes ».
Oserais-je dire sans m'attirer les foudres des lecteurs que 70% et 80% ne sont égaux à 0%...
(Si ce message doit provoquer un tollé merci de ne pas le diffuser)
Rédigé par : Michael Jeaubelaux | 11 juillet 2018 à 16:00
Oui, on le savait déjà (rapport OMS d'avril 2009 sur cette question).
Dans certains livres de S.V.T. on trouve une efficacité de 80 %.
Si le préservatif préserve à 80% alors :
- avec un même partenaire, je transmets 20 fois le SIDA sur 100 actes sexuels ;
- avec 100 partenaires sexuels différents, je transmets le SIDA à 20 d'entre eux ; à moins qu'ils ne soient déjà contaminés...
Merci du voyage !
Rédigé par : Recto-Verso | 11 juillet 2018 à 16:08
Hou la la! Attention danger! Depuis ce matin, notre Salon favori nous informe que, non seulement une source bien pensante, mais PLUSIEURS, osent des mots qui décrivent correctement la réalité (ici: le préservatif ne protège qu'à 80% du SIDA; ailleurs: les "passeurs de migrants" sont ni plu ni moins des "négriers"). C'est une épidémie? Ça se soigne, Docteur?
Rédigé par : C.B. | 11 juillet 2018 à 16:24
J'hallucine. 70 % à 80 % seulement d'efficacité, cela fait du préservatif un danger public. Imaginez qu'on vous propose de jouer à la roulette russe avec 6 balles dans le barillet, et qu'on vous dise : t'inquiètes pas, si tu mets sur le revolver le bitonio que je viens d'inventer, tu as seulement 20 à 30 % de chances que le coup parte...
Certes, le Sida n'est plus mortel, désormais, grâce aux traitements disponibles. Mais il l'a été. Et ce n'est que maintenant que les autorités nous fournissent ce chiffre stupéfiant... qu'elles se gardaient bien de fournir tant que le nouveau bitonio péventif, ce fameux médicament, n'était pas disponible.
Toujours le mécanisme du cliquet gauchiste : chaque mensonge successif, une fois dévoilé, est remplacé par un nouveau mensonge... le temps que ce dernier soit réfuté à nouveau. Après quoi, il ne reste plus qu'à recommencer.
Si vous regardez bien, pour l'immigration, c'est pareil.
Au passage, les publicités d'Aides pour ce médicament sont un véritable appel à la débauche, en plus d'être une incitation à prendre des risques inconsidérés. Elles sont sournoises, en plus : délibérément obscures, de façon à n'être comprises que par "les populations" visées, comme on dit.
Rédigé par : Edgar Tirol | 11 juillet 2018 à 19:56
On le sait depuis longtemps, la capote est incapable de stopper les spermatozoïdes !
Donc malgré la capote les grossesses sont nombreuses...
Comment un truc qui ne peut pas stopper des spermatozoïdes pourrait stopper des virus qui sont mille fois plus petits ?
C'est comme si on vous disait qu'un filet qui arrive à stopper un grand nombre d'éléphants, mais en laissant passer certains, pouvait stopper des souris...
Rédigé par : DUPORT | 11 juillet 2018 à 21:21
c'était pourtant simple et évidant : pour ne pas être contaminé par le sida en baisant, suffit de ne pas baiser! (dit avec un peu plus de style, abstinence et fidélité)
Rédigé par : incongru | 11 juillet 2018 à 22:32
Le préservatif n'est certes pas 100 % efficace, mais je crains que la diffusion de ce médicament préventif n'aggrave la chose : non seulement ça encourage aussi une activité sexuelle débridée, mais qui dit que ce médicament est 100 % efficace ? en outre il ne protège pas des autres maladies vénériennes, enfin il repose sur la confiance : chaque partenaire peut dire "je suis séronégatif" ou "je prends le médicament préventif", sans certitude pour l'autre.
Rédigé par : professeur Tournselol | 16 juillet 2018 à 19:57
Le truvada, médicament préventif anti-VIH, est gratuit, c'est l'Etat qui paie, comme dirait l'autre.
"COMBIEN ÇA COÛTE ?
Le médicament est entièrement pris en charge par la Sécurité sociale, aucune avance de frais ne peut donc vous être demandée par la pharmacie."
https://www.aides.org/prep
Rédigé par : professeur Tournselol | 24 juillet 2018 à 09:09