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Annulation des interventions pro-gender dans des écoles catholiques

648x415Victoire ! Le 14 novembre, nous alertions sur des "spectacles" de propagande LGBT qui allaient se tenir dans des écoles catholiques de l'Aveyron. Hier, la compagnie théâtrale explique avoir reçu mercredi

« un courrier l’interdisant de se produire dans plusieurs lycées privés de l’Aveyron où devait se jouer une dizaine de représentations dès [ce jeudi] et jusqu’au 1er décembre, décision prise en concertation avec le diocésain de l’Enseignement Catholique».

 
Bravo à l'enseignement catholique. Dans une lettre, un chef d’établissement des environs de Rodez motive l’annulation « par la polémique grandissante concernant cette pièce ». Elle précise que « la décision est prise en concertation » avec le directeur diocésain de l’enseignement catholique et « en accord avec le Père Evêque ».

20 Minutes dénonce ensuite la "fachosphère", à savoir Riposte catholique et Le Salon Beige. 


Un enseignant suspendu pour avoir appelé « fille » une élève se considérant comme garçon

Lu sur Réinformation.tv :

947092GrandeBretagneprofsuspendu"Joshua Sutcliffe, 27 ans, a été convoqué par la direction de son école publique secondaire dans l’Oxfordshire, en Angleterre, et suspendu, pour avoir lancé « Beau travail, les filles » à une adolescente et son amie en voyant qu’elles travaillaient d’arrache-pied sur des exercices de mathématiques. L’adolescente en question, une transgenre qui se dit garçon, avait rectifié – et le professeur de mathématiques s’était excusé sur-le-champ de l’avoir « mal genré ». Mais la mère de l’enfant s’étant plainte aux responsables de l’école, Sutcliffe a été appelé à s’expliquer six semaines plus tard, une enquête est en cours et il risque désormais l’exclusion pure et simple, et donc de perdre son emploi (et à la clef, son salaire de 33.750 euros par an).

Il se trouve que Joshua Sutcliffe ne se cache pas d’être chrétien ni d’avoir quelques difficultés à utiliser des pronoms masculins à l’égard de l’élève. Cependant, aucune instruction officielle n’avait été donnée sur la manière de s’adresser à l’élève, et dans un esprit de « respect et de tolérance », il avait décidé avec d’autres membres du corps enseignant de s’adresser à lui au moyen de son prénom masculin choisi.

Sutcliffe a décidé de parler de l’affaire dans la presse pour annoncer notamment qu’il doit se rendre à une convocation disciplinaire formelle cette semaine où il devra répondre d’une accusation de faute professionnelle pour avoir « mal genré » son élève. Selon le Mail on Sunday une accusation supplémentaire porte sur le fait qu’il s’est adressé à l’élève par son prénom plutôt qu’en se référant à lui par le pronom « il » ou « lui ».

Le jeune professeur, diplômé de troisième cycle en mathématiques et habilité à enseigner grâce à un diplôme obtenu à l’université d’Exeter, s’est dit bouleversé par la situation : « C’est le politiquement correct devenu fou », a-t-il tempêté.

Il n’avait aucune idée, a-t-il expliqué, de ce qui lui pendait au nez lors de la réunion de parents d’élèves qui s’est tenue la semaine dernière, à l’issue de laquelle le principal de l’école lui a annoncé qu’il faisait l’objet d’une plainte transgenre. Il n’aurait pas le droit d’enseigner tant que l’affaire n’aura pas été réglée. En attendant la séance disciplinaire de cette semaine, Sutcliffe a été sommé de venir travailler dans la salle des professeurs, avec interdiction totale toutefois de parler de ce qui lui arrive avec ses collègues.

L’origine de la plainte pourrait bien être double. Les parents de l’élève transgenre ont insisté pour dire qu’ils étaient pour la liberté d’expression mais qu’à leur avis, Sutcliffe avait fait de leur enfant sa tête de Turc et qu’il avait multiplié injustement les colles pour mauvaise conduite à son encontre. L’enquête a permis de vérifier qu’il n’en était rien. Et c’est bien la plainte pour l’avoir « mal genré » qui a été maintenue.

« J’ai été totalement choqué d’apprendre de la part du principal que je faisais l’objet d’une enquête. Je ne savais pas ce qui m’arrivait. C’était surréaliste, kafkaïen. J’ai fait observer qu’un seul incident était en cause, et que je m’étais excusé. Mais il a insisté pour faire poursuivre l’enquête… Il m’a semblé que l’école essayait de m’obliger à adhérer à sa politique libérale, gauchiste », a déclaré le professeur à la presse. [...]"

 


Allemagne : la Conférence épiscopale en état de déliquescence

DLa Cour constitutionnelle allemande exige que le Parlement légalise un troisième sexe sur les registres des naissances, à côté de « masculin » ou « féminin ».

La Conférence épiscopale allemande a qualifié cette décision de « compréhensible ». Son porte-parole Matthias Kopp a déclaré :

« Si une personne ne peut pas être clairement classée dans la classification binaire en tant que femme ou homme, elle ne doit pas être contrainte par des règles légales ou sociales, à s’associer, contrairement à ses propres sentiments, à un genre qui ne lui convient pas. »

De son côté, le cardinal Raymond Leo Burke a été interrogé par Edward Pentin du National Catholic Register. Extrait :

"Un an après la publication des « dubia » sur Amoris laetitia, qui n’ont reçu aucune réponse du Saint-Père, nous observons une confusion grandissante concernant les différentes façons d’interpréter l’exhortation apostolique. Notre préoccupation pour la situation de l’Eglise et pour sa mission dans le monde n’en est donc que plus urgente que jamais. Personnellement, je reste bien sûr en contact régulier avec le cardinal Walter Bandmüller sur ces problèmes de la plus haute importance. Nous demeurons tous deux en profonde union avec les deux cardinaux décédés récemment, Joachim Meisner et Carlo Caffarra, qui nous ont quittés ces derniers mois. Je déplore donc à nouveau la gravité de la situation qui ne fait qu’empirer.

On a dit beaucoup de choses sur les dangers de la nature ambigüe du chapitre 8 d’Amoris laetitia en insistant sur le fait qu’il était ouvert à trop d’interprétations. Pourquoi la clarté est-elle si importante ?

La clarté de l’enseignement n’implique aucune rigidité susceptible d’empêcher les gens de suivre le chemin de l’Evangile mais au contraire, la clarté fournit la lumière nécessaire pour accompagner les familles sur la voie à suivre pour devenir des disciples. C’est l’obscurité qui nous empêche de voir le chemin et qui empêche l’action évangélisatrice de l’Eglise, comme Jésus le dit : « La nuit vient où personne ne pourra plus travailler. » (Jn 9, 4). [...]

Malgré que vous et beaucoup d’autres, dont les plus de 250 professeurs et prêtres qui ont envoyé une correction filiale, ayez de sérieuses craintes concernant les effets de ces passages d’Amoris laetitia et étant donné que vous n’avez jusqu’à présent reçu aucune réponse du Saint-Père, êtes-vous ici en train de lui adresser une ultime supplique ?

Oui, pour ces graves raisons, un an après avoir rendu les « dubia » publics, je me tourne une fois encore vers le Saint-Père et vers toute l’Eglise, en insistant sur le fait qu’il est urgent que le Pape, en exerçant le ministère qu’il a reçu du Seigneur, affermisse ses frères dans la foi par une expression claire de l’enseignement concernant à la fois la morale chrétienne ainsi que le sens de la pratique sacramentelle de l’Eglise."


Interventions pro-gender dans des collèges catholiques

Cela se passe dans l'Aveyron :

L"La pièce “X Y et moi” sera joué devant des 4ème dans certains collèges catholiques de l’Aveyron ces jours-ci. Synopsis :

Sous le prétexte d’une fausse conférence autour de la couleur rose et de son histoire au fil des siècles, nous souhaitons, avec humour et provocation, proposer une redistribution des rôles et des codes masculins et féminins au-delà d’une classification imposée par certains outils d’expression de notre société. Il s’agit d’ouvrir notre esprit critique et de se repenser en tant qu’individu, dégagé des étiquettes qui nous imposent bien souvent des goûts, des choix ou des parcours. Sommes- nous programmé•e•s comme tous nos appareils en mode binaire, soit 0, soit 1, soit bleu, soit rose ?D’où viennent ces inégalités ? Elles perdurent depuis des siècles et sont d’origines religieuse ou socioculturelle. Outre ces origines, la sociabilisation des enfants peut également être à l’origine de ces clichés, preuve : les rayons et catalogues de jouets de 2015, qui présentent encore les poupons, dînettes et aspirateurs roses pour filles, les bateaux pirates et les voitures pour garçons.

Pride Toulouse est une association LGBTQI+Friendly à l’initiative de la Marche et du Festival des Fiertés de Toulouse…"

Les représentations commencent cette semaine dans le Ségala (région au sud de Rodez) et la semaine prochaine à Rodez. Après ils partent dans le Lot, puis le Tarn-et-Garonne puis Toulouse.

Dans les années 1970, un humoriste célèbre de la télévision anglaise, Ronnie Barker, se moquait déjà :


Le Conseil Régional d’Occitanie fait la propagande de l'écriture inclusive

Intervention de Gilles Ardinat, Professeur en Lycée et Conseiller Régional Front National, sur « l’écriture inclusive » lors de l’assemblée plénière du Conseil Régional d’Occitanie à Montpellier (Région « pionnière » en la matière !):


Les fanatiques du gender passent à l'action criminelle

GL’incendie de la gendarmerie de Meylan a été revendiqué par un groupe de femmes en lutte contre le genre… Dans un communiqué, elles osent écrire :

"Nous avons ciblé les voitures privées des flics, au détriment des quelques sérigraphiées, parce qu’on avait envie de s’attaquer plutôt aux individus qui portent les uniformes qu’à leur fonction, plutôt à leurs biens personnels qu’à leurs outils de travail. Nous pensons que les rôles existent parce qu’il y a des personnes pour les remplir. Si derrière l’uniforme il y a un humain, c’est à lui que nous avons cherché à nuire.

Au lendemain de l'incendie, le procureur de la République avait souligné que « cet acte visait non pas les locaux et bureaux de la gendarmerie, mais bien les véhicules et les familles ».

Autre extrait du communiqué de ces taré.e.s :

"Nous ne voulons pas être définies par les particularités de nos corps mais bien par ce qui résulte de nos choix, nos éthiques et nos actes. Même si on aimerait détruire le genre, ça nous fait du bien de se retrouver aussi entre personnes qui partagent les même ressentis, qui vivent dans leur chair ce que signifie d’être assignées meufs, et qui ont la même envie de s’en défaire. Ensemble, on se prouve qu’on est capable de poser des actes sur nos idées, et qu’on a besoin de personne d’autre que nous même pour le faire. On prépare nos revanches pour toutes les fois ou l’on s’est découragées en se persuadant que l’on était pas capables, qu’on avait pas les compétences, pas la force, pas les moyens, pour désamorcer cette logique qui nous fait repousser à toujours plus tard le moment d’exprimer nos colères et nos désirs. Nous avons concrétisé cette envie de revanche en nous organisant pour attaquer la gendarmerie de Meylan."


Sciences porno

Maintenant que même les gauchistes se plaignent de l'incitation à la prostitution des étudiantes, il convient de leur signaler la nature des appels qui circulent dans certaines écoles, comme à Sciences Po :

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Je note quand même la scandaleuse discrimination à la fin... L'adresse mail est dans la capture d'écran ci-dessus, si vous voulez leur exprimer aimablement votre dégoût du porno.


Pas très "gender" : l'instinct maternel serait conforté scientifiquement

Lu ici :

Unknown"Les pleurs des bébés activent des régions spécifiques, liées aux mouvements et à la parole, du cerveau de leur mère, relève lundi une vaste étude qui conforte la réalité biologique de l'instinct maternel. Selon cette étude menée dans onze pays et publiée dans les Comptes rendus de l'Académie américaine des sciences (PNAS), une mère entendant son enfant pleurer aura tendance à toujours avoir le même comportement: le prendre dans les bras et lui parler pour le rassurer.

Comprendre ces réactions et les activités correspondantes dans le cerveau des femmes pourrait aider à identifier les risques de maltraitance encourus par les enfants, selon les chercheurs des Instituts nationaux américains de la santé (NIH) à l'origine de cette étude. Ces derniers ont étudié le comportement maternel et le cerveau - via des imageries par résonance magnétique (IRM) - d'un groupe de 684 femmes récemment devenues mères pour la première fois en Argentine, Belgique, Brésil, Cameroun, France, Israël, Italie, Japon, Kenya, Corée du Sud et Etats-Unis.

Les interactions que celles-ci ont eu avec leur bébé de cinq mois ont été observées et enregistrées, afin de voir si elles répondaient aux pleurs de leur enfant en montrant de l'affection, en le distrayant, le nourrissant, lui changeant la couche, le prenant dans les bras ou en lui parlant. En analysant des IRM d'autres groupes de femmes, ces chercheurs ont constaté en outre que les jeunes mères et celles qui avaient eu plusieurs enfants activaient des régions similaires de leur cerveau lorsque leur bébé pleurait.

L'étude constate que ces pleurs activent chez la plupart des femmes une région cérébrale liée à l'intention de se déplacer et de parler, ainsi que des zones frontales du cerveau impliquées dans le langage et la capacité de parler et d'interpréter des sons. "Ces résultats laissent penser que les réponses des mères aux pleurs de leur bébé sont bien programmées dans le cerveau et communes à l'ensemble des cultures", concluent les auteurs de l'étude.

Celle-ci complète d'autres travaux montrant que le cerveau des femmes et celui des hommes répondent différemment aux pleurs d'un bébé, précise l'étude. Ainsi la nuit, les hommes semblent moins entendre les cris des bébés que les femmes plus enclines à se lever pour aller les réconforter. Même si les rôles parentaux ont évolué ces dernières décennies, ce sont toujours et le plus souvent les mères qui prennent en charge la plupart des tâches domestiques au quotidien et surtout celles liées aux tout-petits, selon d'autres études."


“Femme enceinte” ce serait discriminatoire

On apprend sur FoxNews que le gouvernement britannique s’oppose à la mention “femme enceinte” dans un document de l’ONU sous prétexte que cela exclurait les personnes transgenres ayant accouché. La proposition britannique est donc d’écrire “personne enceinte”...


Laetitia Pouliquen : "On se prépare à mettre les femmes au rebut"

Laetitia Pouliquen, fondatrice de Woman attitude et auteur de “Femme 2.0, féminisme et transhumanisme, quel avenir pour la femme ?” Elle revient sur TV Libertés pour évoquer l’affaire Weinstein, la PMA et les robots sexuels. Pour l’auteur, la négation de la différence des sexes, la remise en cause de la filiation, annonce la femme 2.0 en rupture totale avec l’anthropologie commune à toutes les civilisations depuis les origines de l’humanité. Laetitia Pouliquen qui veut éveiller les consciences et entrer en résistance prévient :”on va mettre les femmes au rebut”.


Le genre a la banane

BLe 7 novembre, aura lieu une réunion multipartite stratégique sur l'égalité entre les sexes dans l'industrie de la banane, au sein de la FAO. Parmi les objectifs, il y a  :

"Permettre aux participants (hommes et femmes) d'intégrer les questions de genre dans les différentes séances plénières de la conférence principale du FMB [Forum Mondial de la Banane]"

Vous croyez qu'il font exprès d'être ridicules ?


Gender : la Californie reconnaît le "sexe neutre"

Dimanche 15 octobre, le gouverneur californien Jerry Brown a ratifié le «Senate Bill 179», aussi appelé «Gender Recognition Act», qui instaure un 3e genre.

Désormais, les Californiens auront le choix entre trois options sur leurs documents d'identité officiels: «masculin», «féminin» ou «non binaire».

L'opposition principale au projet est venue du California Family Council, qui a dénoncé, dans un tweet, une loi «incroyablement tragique».

«SB 179 sème le danger et la confusion. Les personnes qui souffrent de dysphorie de genre doivent être aimées, mais on ne doit pas leur mentir. La biologie n'est pas du bigotisme


Gender : les femmes ne participent toujours pas aux travaux d'entretien...

L'European Institute for Gender Equality (une agence de l'UE au budget de plus de 7M€) indique que :

"Le nouvel indice de l’égalité de genre présente la situation de l’Europe aujourd’hui. Nous avançons dans la bonne direction, mais la progression générale reste très lente. L’Union européenne affiche aujourd’hui un score de 66,2 sur 100, soit seulement quatre points de plus qu’il y a dix ans. Sur la première marche du podium se trouve la Suède, avec un score de 82,6, contre 50 points pour la Grèce, qui a chuté à la dernière place. L’Italie enregistre la meilleure progression, avec un bond de 12,9 points qui l’amène à la 14e place du classement."

Point noir :

"Douze pays enregistrent un recul en ce qui concerne l’utilisation du temps chez les femmes et les hommes. Seul un homme sur trois se consacre quotidiennement à la cuisine et aux tâches ménagères, contre presque toutes les femmes (79 %). Les hommes disposent également de plus de temps à consacrer aux activités sportives, culturelles et aux loisirs. Par rapport aux femmes nées dans l’UE, les femmes migrantes supportent une charge particulièrement lourde lorsqu’il s’agit de prendre en charge les membres de la famille (respectivement 38 et 46 %)."

En revanche, rien n'est dit sur le temps consacré par les femmes à fendre le bois, réparer les canalisations, tailler les haies, déplacer les meubles, porter les cartons... Il faut vraiment faire quelque chose.


Les Hidalgo et les autres utilisent les personnes blessées, fragiles et les manipulent

Stéphane Duté, responsable de l’opération CitizenGo, est interrogé par Jeanne Smits dans Minute à propos du bus qui a sillonné Paris et sa banlieue durant une semaine pour interpeller la population sur l'enseignement du gender à l'école. Extraits :

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Un bus circule actuellement à Rome... :

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L'idéologie du genre dans l'entreprise avec le soutien de la Commission européenne

Monika Ladmanová (chargée du "gender equality") est membre du cabinet du Commissaire Européen Vĕra Jourová, elle-même chargée, entre autre, des sujets LGBT à la Commission en liaison avec Frans Timmermans, le Vice-Président de la Commission pro-LGBT. Vĕra Jourová suit la plupart des dossiers qui concernent la Famille au Parlement Européen...

Monika Ladmanová va intervenir dans un colloque à Luxembourg, consacrée à la fameuse théorie qui n'existe pas :

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Grèce : la loi sur le changement de sexe favorise la dépravation

Le Saint-Synode de l’Église orthodoxe de Grèce s’est réuni le 7 octobre sous la présidence de l’archevêque d’Athènes Jérôme et a examiné, entre autres, la loi sur le changement de sexe, adopté récemment en première lecture par le Parlement hellénique. En vue du prochain débat au Parlement, le Saint-Synode de l’Église de Grèce a exprimé ses positions fondamentales à ce sujet :

« 1. Le sexe est un héritage sacré donné à l’homme et contribue à la base de la complémentarité psychosomatique dans le mystère de la vie et de l’amour. En ce sens, il n’est pas sujet à changement, mais il est un don divin à l’homme, que celui-ci doit valoriser pour sa sanctification.

2. Le Synode considère que la jurisprudence des tribunaux helléniques couvre, là où cela est nécessaire, les problèmes existants, étant donné que le sexe n’est jamais choisi librement ni changé sur demande, mais est déterminé sur la base des caractéristiques anatomiques, physiologiques et biologiques qui définissent l’identité d’un homme telle qu’elle est établie par les rapports médicaux destinés au tribunal. La loi ne peut se contenter d’une déclaration du citoyen, non étayée scientifiquement, qui peut être changée plus tard.

3. Le projet de loi proposé suscite des émotions dans la société, attaque l’institution sacrée de la famille, contredit les bonnes mœurs et le sens commun, et avant tout détruit la personne. Au lieu de diminuer la confusion et les désordres mentaux, elle les accentuera et donnera naissance à un dangereux phénomène social, particulièrement lorsqu’il créera également une situation explosive dans les écoles.

4. Le Synode ne voit pas, derrières ces tentatives, un intérêt pour le prochain méprisé et affligé, mais l’existence de groupes puissants, ce qui a pour résultat la dissolution de la cohésion sociale et la mort spirituelle de l’homme.

5. Le Synode fait un appel final au monde politique dans son intégralité pour élever sa responsabilité et sa mission au-dessus des idéaux politiques, des préjugés et de la référence à des droits incontrôlés, et pour retirer le projet de loi, tout en montrant un intérêt similaire pour résoudre les problèmes les plus sérieux qui frappent notre société, notre nation et le peuple. Or, on ne fait que renforcer les tensions, les divisions et l’absurdité, au lieu de contribuer à l’édification spirituelle de nos citoyens.

L’Église entoure tous les hommes avec amour et compréhension indistinctement, mais puisqu’elle désire toujours leur salut, elle doit démontrer l’échec de leurs choix décisifs ».

De son côté, le métropolite d’Étolie Cosmas a déclaré avec indignation dans une lettre ouverte aux députés du Parlement hellénique :

« Vous promouvez une loi qui nie le Dieu-Trinité et Créateur et profère des blasphèmes à Son égard. Cette nouvelle loi est non naturelle, elle empiète sur l’identité psychosomatique de la personne, favorise la dépravation, et son but est de contrecarrer la personne dans sa voie sur la sanctification et déification. Les os de nos saints et de nos héros (pour la libération de la Grèce) tremblent ! Le grand libérateur de la Grèce et égal-aux-apôtres saint Cosmas d’Etolie et nos autres saints pleurent… ».


Rendez-vous à 15h place Vendôme pour soutenir le bus de CitizenGo

Le bus de la liberté et de la vérité, contre l'enseignement du genre à l'école sera à 15 heures, dimanche 8 octobre, place Vendôme.

Quittons nos canapés pour marcher en pleine lumière.

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Ce bus a fait le premier sujet du journal télévisé 12/13 de France 3  :


12/13 Paris Ile-de-France


Ils ont peur d'un bus

La mairie de Paris et la ville de Saint-Denis craignent le bus de CitizenGo. Pour ces gens-là, vous ne devez pas avoir le droit d'exprimer d'opinion contradictoire :

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CitizenGo sollicite notre aide :

  • Rendez-vous samedi 7 octobre à 11h00 devant le palais des congrès, pour prendre le bus. Destination : la fête à Neuneu (RDV à 12h00 pour ceux qui ne peuvent être à Porte Maillot avant). 
  • Rendez-vous dimanche 8 octobre à 15h00 Place Vendôme. 

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Recours contre le décret liberticide du 3 août qui réprime les propos prétendument racistes et homophobes

Me Frédéric Pichon a déposé un recours pour excès de pouvoir au conseil d'état contre le décret liberticide du 3 août dernier qui réprime les propos prétendument racistes et homophobes et qui insère la notion de l'identité de genre pour la première fois dans l'arsenal répressif. Il estime notamment que

"Les notions d’identité de genre et d’orientation sexuelle sont floues, subjectives et de nature idéologiques. Si les notions de sexe et de handicap ne posent pas de difficulté particulière, il n’en va pas de même s’agissant de la notion d’orientation sexuelle et celle d’identité de genre. Il s’agit de constructions idéologiques qui ne relèvent pas de la science ou de la biologie mais correspondant à des échafaudages intellectuels particulièrement contestables. En sociologie, l'identité de genre se réfère au genre auquel une personne a le ressenti profond d'appartenir. Il s'agit à la fois du fait qu'une personne parle d'elle-même comme d'une femme ou d'un homme ou bien se décrit de façon moins conventionnelle et du fait que les autres personnes attribuent un genre à quelqu'un sur la base de ce qu'elles connaissent des indicateurs sociaux de genre (vêtements, coiffure, démarche, etc.). Dans ce dernier cas, on peut plus précisément parler du « genre social » de la personne. On peut aussi parler du genre « légal » (de l'état civil) lequel ne correspond pas forcément avec l'identité de genre en termes de vécu et de ressenti de la personne concernée.

Qu’est-ce qu’une orientation sexuelle ? Le Larousse indique que « La définition de l'orientation sexuelle a évolué avec le temps. Elle correspond aujourd'hui à l'une des composantes de l'identité sexuelle au même titre que le genre ou le rôle sexuel. Elle peut désigner le désir affectif et sexuel, l'attirance érotique pour les personnes de même sexe (homosexualité), de sexe opposé (hétérosexualité) ou indifféremment pour l'un ou l'autre sexe (bisexualité). Elle peut porter sur le comportement sexuel, affectif ou sur l'identité servant à définir subjectivement la personnalité ». Le site wikipedia la définit comme : « un mode durable d'attirance (émotionnelle, romantique, sexuelle, ou une combinaison de tout ça) pour le sexe opposé, le même sexe, ou les deux sexes, et les genres qui vont avec. Ces attirances sont généralement décrites comme l'hétérosexualité, l'homosexualité, et la bisexualité. L'asexualité (l'absence d'attirance sexuelle pour les autres) est parfois identifiée comme la quatrième orientation. Ces catégories sont des aspects de la nature plus nuancée de l'identité sexuelle ». D'après la Société américaine de psychologie, « l'orientation sexuelle renvoie aussi à un sentiment "d'identité sociale et personnelle basé sur ces attirances, sur les comportements qui les expriment, et sur l'appartenance à une communauté de personnes qui les partagent ».

A la différence de la sexualité qui est basée sur des éléments objectifs et indiscutables que sont la biologie et qui apparaissent avant même la naissance au stade de l’échographie et que l’officier d’état civil à la naissance peut distinguer sans peine, la notion d’orientation sexuelle est basée sur une attirance parfaitement subjective. Cette attirance peut varier au cours du temps. Or « Rien n’est plus fluctuant que nos préférences sexuelles. Elles évoluent et s’affirment au cours de notre développement, explique le psychiatre Stéphane Clerge, auteur de Comment devient-on homo ou hétéro (JC Lattès, 2006). Elles sont dépendantes de notre éducation, de nos expériences. » En clair, on ne naît pas homo ou hétéro, on le devient. On peut aussi être l’un ou l’autre, selon les différentes périodes de sa vie. Et il ne s’agit pas ici de bisexualité. « Souvent, les bisexuels revendiquent leur absence de choix. Dans ce que l’on pourrait appeler le “changement d’aiguillage”, il y a toujours une part de surprise chez celui qui le vit », poursuit Stéphane Clerget.

Par ailleurs, si cette notion d’orientation sexuelle n’est pas une notion objective, elle est encore moins une notion neutre. Elle est intimement liée à l’idéologie du genre tout comme la notion d’identité de genre. Le concept de genre (gender) a été créé dans la langue anglaise sous l’influence des féministes, qui différencièrent le sexe anatomique du genre afin de remettre en cause les contraintes imposées par ce dernier. Ainsi, le sexe est utilisé pour faire référence aux différences physiques distinguant les hommes et les femmes, le genre aux différences non anatomiques (psychologiques, mentales, sociales, économiques, démographiques, politiques...).

Inscrire cette notion d’identité de genre dans le marbre de la loi ou du règlement qui plus est un règlement répressif, reviendrait ni plus ni moins, à valider une théorie, absolument ascientifique, de nature idéologique et partisane, dont la finalité est de remettre en question la notion même de sexe telle qu’elle est reprise dans le code civil, et plus généralement dans tous les actes de la vie courante. Qu’il s’agisse des documents d’identité, d’état civil ou encore des traitements médicaux, le sexe est un élément d’identification des personnes dont la réalité est incontestable à moins de sombrer dans le sophisme le plus hypocrite.

Cette notion est tout sauf neutre : « La généralisation du terme correspond à un objectif politique des mouvements gays américains, s'inspirant du militantisme pour la défense des droits des Noirs et prônant le caractère inné de l'homosexualité au même titre que le sexe ou la couleur de peau » peut on lire sur le site internet de Larousse ( http://www.larousse.fr/). Le Larousse indique également sur son site :

« L'orientation sexuelle est souvent traitée comme un élément objectif, alors qu'elle est subjective, supposée, et donc confondue avec l'identité sexuelle. L'orientation sexuelle et l'identité sexuelle sont des représentations conceptuelles intéressantes pour appréhender la construction individuelle et relationnelle, mais, comme toute représentation, il s'agit d'une création culturelle ».

Peut-on fonder un texte sur des représentations culturelles ou conceptuelles qui remettent en cause la notion incontestable, objective et admise depuis la nuit des temps qui est l’altérité sexuelle fondée autour de la différence homme/femme et dont l’anthropologue Lévi-Strauss indiquait qu’elle est la différence parmi les différences ? Ce déni de la différence, "une femme est un homme", Freud le nommait déni de la castration. Cela signifie, dans le jargon psychanalytique, que la castration n'existe pas, il suffit que je la nie mentalement pour que son existence réelle soit réfutée. Cette notion est tellement floue que certains n’hésitent pas à considérer que la pédophilie ou la zoophilie constituent une orientation sexuelle. [...] Comment objectiver l’identité de genre d’une personne puisqu’il s’agit non pas d’un élément objectif tel que l’est l’état des personnes défini dans notre code civil mais d’un comportement susceptible de varier dans le temps ?"

 
 

Le pape dénonce l'idéologie du genre

Le pape François est intervenu devant les participants à la XXIIIe Assemblée générale de l’Académie pontificale pour la vie, reçus au Vatican le 5 octobre 2017. Il a appelé à « recomposer la fracture entre les générations » et à une « vraie compassion ». Evoquant le thème de la rencontre – « Accompagner la vie. Nouvelles responsabilités à l’ère technologique » – le pape a souligné que

« la puissance des biotechnologies, qui aujourd’hui déjà permet des manipulations de la vie impensables jusqu’à hier, pose des questions redoutables ». « Il est par conséquent urgent d’intensifier l’étude et la confrontation sur les effets de cette évolution de la société dans le sens technologique pour articuler une synthèse anthropologique qui soit à la hauteur de ce défi majeur. »

Dans une culture « centrée obsessionnellement sur la souveraineté de l’homme », avec une « egolâtrie », un « culte du moi, sur l’autel duquel on sacrifie tout », l’homme court le risque de devenir « incapable de tourner les yeux vers les autres et le monde » : la diffusion de cette attitude a « de très graves conséquences pour toutes les affections et les liens de la vie ». Il ne s’agit pas, « de nier et de réduire la légitimité de l’aspiration individuelle à la qualité de la vie et l’importance des ressources économiques et des moyens techniques qui peuvent la favoriser ». Mais l’attitude qui tend à traiter la vie comme « une ressource à exploiter ou à éliminer en fonction du pouvoir et du profit, ne peut être passée sous silence ».

« Des hommes, des femmes et des enfants de tous les coins du monde expérimentent avec amertume et douleur les promesses illusoires de ce matérialisme technocratique » tandis que grandissent « les territoires de la pauvreté et du conflit, du rejet et de l’abandon, du ressentiment et du désespoir »: « Un progrès scientifique authentique et technologique devrait au contraire inspirer des politiques plus humaines. »

Le pape François s’est aussi arrêté sur

AAA0979-1-740x493« l’hypothèse récemment avancée de rouvrir la voie de la dignité de la personne en neutralisant radicalement la différence sexuelle et, donc, l’entente de l’homme et de la femme ». « Au lieu de s’opposer aux interprétations négatives de la différence sexuelle, qui mortifient sa valeur irréductible pour la dignité humaine, on veut supprimer de fait cette différence, en proposant des techniques et des pratiques qui la rendent insignifiante pour le développement de la personne et pour les relations humaines ».

« L’utopie du “neutre” enlève à la fois la dignité humaine de la constitution sexuellement différente et la qualité personnelle de la transmission générative de la vie. La manipulation biologique et psychique de la différence sexuelle, que la technologie biomédicale laisse entrevoir comme complétement disponible au choix de la liberté – alors qu’elle ne l’est pas ! –, risque ainsi de démanteler la source d’énergie qui alimente l’alliance de l’homme et de la femme et la rend créative et féconde. » « En tant qu’elle est reçue comme un don, la vie s’exalte dans le don : la générer nous régénère, la dépenser nous enrichit ». «L’alliance générative de l’homme et de la femme … n’est pas un handicap ».

« Le monde a besoin de croyants… qui soient résolument déterminés à recomposer la fracture entre les générations », « cette fracture interrompt la transmission de la vie » : les jeunes n’ont plus de guide et les personnes âgées sont rejetées. La vie de ces dernières doit être « honorée pour ce qu’elle a donné généreusement, pas être écartée pour ce qu’elle n’a plus ». «La passion pour l’accompagnement et le soin de la vie… demande la réhabilitation d’un ethos de la compassion ou de la tendresse » : il s’agit de « retrouver la sensibilité pour les différents âges de la vie, en particulier pour ceux des enfants et des personnes âgées. Tout ce qui en eux est délicat et fragile, vulnérable et corruptible, n’est pas une affaire qui doit concerner exclusivement la médecine et le bien-être. »

« Une société dans laquelle tout peut être seulement acheté et vendu, bureaucratiquement régulé et techniquement établi, a dénoncé le pape, est une société qui a déjà perdu le sens de la vie. Elle ne le transmettra pas aux petits enfants, elle ne le reconnaîtra pas dans les parents âgés. C’est pourquoi, presque sans s’en rendre compte, nous édifions désormais des villes toujours plus hostiles aux enfants et des communautés toujours plus inhospitalières pour les personnes âgées, avec des murs sans portes ni fenêtres : ils devraient protéger, en réalité ils étouffent. »

« L’accompagnement responsable de la vie humaine, de sa conception et pour toute sa durée jusqu’à sa fin naturelle, est un travail de discernement et d’intelligence d’amour par des hommes et des femmes libres et passionnés, et par des pasteurs non mercenaires. »


Le bus anti-gender de CitizenGo gêne le lobby LGBT

Les associations ultra-subventionnées LGBT, comme Act Up ou AIDES dénoncent “l’influence des réactionnaires” dans le débat public :

“Face à la haine au visage tranquille, l’urgence est donc double : il faut défendre un projet de société égalitaire, ouverte, émancipatrice, dans lequel l’école, parce qu’elle est un lieu de socialisation autant que d’apprentissage, doit contribuer à lutter contre les rapports de domination sexistes, LGBTphobes, racistes qui oppriment et aliènent”.

“Il faut également exiger la plus grande détermination, le refus de toute complaisance ou compromis de la part de nos institutions (ministère, rectorats, inspections académiques, centres de formation, équipes dirigeantes et pédagogiques des établissements) à l’égard de celles et ceux qui défendent la perpétuation des oppressions sexistes et LGBTphobes”.

Résultat, CitizenGo a dénoncé des menaces à son encontre, en publiant des captures d’écran de messages dans lesquels les utilisateurs de la Toile proposaient d’incendier le bus.

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Mutilations : le malaise profond des "transgenres"

De Clémentine Jallais sur Réinformation.tv :

"Un rapport instructif de l’organisation écossaise de défense des droits des homosexuels, « Stonewall », révèle que la majeure partie des jeunes dits « transgenres » se font volontairement du mal, un mal allant jusqu’aux mutilations, voire jusqu’au suicide. Un comportement qui dénote un malaise profond, un trouble psychologique intense – et réel, comme le montrent fort bien les chiffres. [...]

En effet, les 400 élèves écossais LGBT interrogés ont révélé que 96 % des jeunes transgenres du pays s’engagent dans des comportements autodestructeurs, dépression, anxiété, mais aussi mutilations et suicides. Le rapport a également révélé des « niveaux incroyablement élevés » de problèmes de santé mentale chez ces mêmes transgenres.

Une récurrence flagrante qui touche également les homosexuels, quoique de manière un peu moins frappante : 60 % des jeunes homosexuels se sont faits également violence et 25 % d’entre eux ont tenté de se suicider, contre 40 % des élèves transsexuels.

LifeSiteNews est allé interroger l’ancien transgenre américain Walt Heyer qui a fondé le site « Sex Change Regret » et multiplie les démarches publiques pour tenter d’alerter sur cette terrible propagande qui détruit la jeunesse. Pour lui, ces statistiques ne sont pas surprenantes : elles sont fidèles « à tous les pourcentages de suicides et de troubles mentaux signalés chez les personnes transsexuelles depuis 50 ans ». La grande enquête menée aux Etats-Unis, en 2015, par le Centre national pour l’égalité des transgenres (NCTE), avait effectivement rapporté des chiffres similaires, à savoir que près de 40 % admettaient des problèmes de santé mentale graves et 40 % avaient également tenté de se suicider. [...]" 


Après la PMA et la GPA, la congélation des gamètes des "transgenres"

Et vous croyez que le lobby LGBT va cesser ses revendications ?

"Les cliniques du service public de santé en Grande-Bretagne permettent aux adolescents qui veulent « changer de genre » de congeler leurs spermatozoïdes afin de procréer quand ils seront « devenus des femmes ».

De même, les cliniques prélèvent et conservent les ovocytes des filles qui vont « devenir des hommes ».

Il y a déjà plusieurs dizaines de cas. Certains garçons n’ont que douze ans (sic), et on congèle les ovocytes des filles « à partir de 16 ans ».

Les traitements de fertilité des adolescents « transgenres », financés par le NHS, pourraient coûter des centaines de milliers de livres, alors que nombre d’opérations nécessaires sont reportées par manque de fonds…

A quoi les médecins qui pratiquent ces aberrations répondent que ces adolescents ont « le droit de fonder une famille »…"


Un Bus Orange tourne dans Paris pour dénoncer l'idéologie du genre

Le bus de CitizenGo a commencé à tourner ce matin, pour toute la semaine :

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Il a commencé à rouler dans Paris : Porte Maillot, Grand Palais, Arc de Triomphe Trocadéro, le siège de l'AFP :

Les jours prochains, le bus circulera en banlieue.


Marie-France Lorho veut inscrire dans la loi l’interdiction de la mention "sexe neutre" à l’état civil

Le député du Vaucluse a déposé une proposition de loi définissant l’altérité sexuelle comme fondatrice de l’état civil. Elle explique :

"Au lendemain du passage de la loi dite du « “mariage” pour tous », la définition de cette union d’un homme et d’une femme telle qu’elle avait été conçue en 1804 dans le code civil disparaissait. Une porte s’ouvrait laissant libre cours aux idéologies aspirant à la modification de la conception multiséculaire de notre société, reposant sur la nature, soit une altérité sexuelle fondatrice des foyers de demain. Après l’adoption de la loi, les mutations législatives se sont multipliées, effaçant l’altérité sexuelle des codes, soustrayant au réel les aspirations sectaires de minorités soucieuses d’imposer à la cité une société indifférenciée où le « sexe neutre » doit être reconnu en tant que catégorie civile à part entière.

I. – L’identité sexuelle est naturelle et immuable

A. – La nature seule détermine le sexe

Depuis la loi du 18 novembre 2016 - dite « justice du XXIe siècle » - les mentions approximatives à l’état civil de la qualification sexuelle sont devenues particulièrement nombreuses. Désormais, « toute personne majeure ou mineure émancipée qui démontre par une réunion suffisante de faits que la mention relative à son sexe dans les actes de l’état civil ne correspond pas à celui dans lequel elle se présente et dans lequel elle est connue peut en obtenir la modification ». Cette loi dispose également que la preuve médicale n’est plus une condition sine qua non pour bénéficier d’une rectification de la mention du sexe à l’état civil. L’identité sexuelle n’est a priori pas déterminée par la connaissance ou l’aspect que reflètent une personne au sein de la cité : elle constitue un caractère immuable de la nature, dont la reconnaissance est prononcée à la naissance, par le père et la mère de l’enfant. À ce titre, le code civil dispose que « la naissance de l’enfant sera déclarée par le père » (article 56) et qu’il énoncera « le jour, l’heure et le lieu de la naissance, le sexe de l’enfant » (article 57).

B. – L’identité sexuelle : un élément immuable d’ordre public

Au gré des lois partisanes, certaines instances de juridiction françaises semblent omettre la nature même de l’instruction qui leur a été confiée : celle de rendre la loi sur des domaines séculaires, et non du domaine de l’identité naturelle et immuable. Certaines instances se sont ainsi largement fourvoyées en érigeant le sexe au rang des contingences d’ordre privé, qu’il est possible de changer au gré de ses envies. Ce fut notamment le cas du Conseil de l’Europe, du Parlement européen, de l’ONU ainsi que certaines jurisprudences européennes de la CEDH et de la CJUE ou certaines décisions des juges français ou, enfin, des organismes à seule valeur consultative comme le Défenseur des droits. Pourtant, comme le souligne la décision du 4 mai de la Cour de cassation, le sexe ne peut constituer un souci d’ordre privé du fait de son caractère immuable et nécessaire à la fondation de la cité. La Cour indique ainsi que la différenciation sexuelle « est nécessaire à l’organisation sociale et juridique dont elle constitue un élément fondateur ».

II. – L’idéologie à l’assaut de l’altérité sexuelle

A. – La revendication du sexe « neutre » ou de « l’intersexe »

La décision de la Cour de cassation, relative à un cas particulier d’un homme qui souhaitait voir établi sur son état civil la mention de « sexe neutre » ou « intersexe » au titre d’une anomalie génétique de naissance, a mis en lumière l’importance croissante que prend cette revendication idéologique au sein de notre société. Des groupes de pression tentent de faire valoir celle-ci de longue date. Au troisième forum intersexe du 1er décembre 2013 déjà, on en appelait à ce que « tous les adultes et mineurs capables puissent choisir entre femme (F) et homme (M), non binaire ou plusieurs options ». Les arguments employés sont similaires à ceux prônés par les partisans du « mariage » pour tous : systématisation d’une disposition innaturelle par souci de ne pas déroger à un progrès que l’on tient pour inéluctable ; posture victimaire des minorités voulant imposer un changement d’ordre civilisationnel à l’ensemble de la cité ; revendication à « disposer de son corps » dans une perspective de prise d’autonomie individuelle au mépris de l’inscription des personnes dans la cité.

B. – Sexe neutre : le déni du réel

Les arguments proposés par les partisans du « sexe neutre » ou « intersexe » nient le caractère invariable de l’être, reposant sur la nature. En abandonnant la « catégorie sexe » comme « identité statique », comme le souhaite Daniel Borrillo - premier juriste à avoir formulé une telle demande - les partisans de cette absence de reconnaissance sexuelle commettent un déni du réel et confondent à dessein les caractéristiques séculaires façonnant une personne dans le temps avec celles qui constituent ontologiquement celle-ci. Ainsi, « l’expert » du laboratoire d’idées Générations Libres s’étonne que soit encore indiqué cette qualité inchangeable de la personne sur son état civil et s’adonne à une comparaison censée susciter un parallèle éloquent : « Personne ne songe de nos jours à inscrire dans les pièces d’identité […] la classe sociale ou l’affiliation politique » - deux éléments non naturels, construits au gré de l’individu à l’inverse du sexe. En émettant une telle négation du réel, Daniel Borrillo comme les partisans du sexe neutre mettent en danger la société de demain.

III. – L’altérité au fondement de la société

A. – L’altérité sexuelle à l’origine de la filiation

Dans le mariage traditionnel, la reconnaissance de l’altérité sexuelle est inhérente à la procréation. Nier cette différenciation portera nécessairement préjudice à la filiation. Car si la modification de la mention du sexe dans l’acte de naissance n’a pas (encore) d’effet rétroactif et que la « filiation [est en soi] déjà établie avec les descendants », un changement - même a posteriori - à l’état civil de l’un des deux parents pourrait causer de graves traumatismes à l’enfant qui en serait victime. Il n’est pas du seul ressort de la personne qui aspire à cette modification dans son état civil d’en statuer puisque cette mutation peut engendrer une modification de sa perception dans le cadre de la cité et de la cellule familiale qu’elle est censée régir.

B. – Des modifications législatives impensables

Si la loi ne définit pas à proprement parler le sexe, son contenu fait des mentions binaires (masculine et féminine) constantes. Comme le souligne la Cour de cassation, « la binarité des sexes se retrouve dans de nombreuses dispositions législatives, évoquant “l’un ou l’autre sexe” ou les “deux sexes” ». Ces différentes demandes de modifications n’ont par ailleurs jamais été tenues pour légitimes : seule une circulaire envisage le cas des « enfants intersexes » … Mais en aucun cas la circulaire n’envisage de ne pas déterminer le sexe féminin ou masculin de l’enfant, celui-ci devant nécessairement être statué dans un délai imparti.

Conclusion

Les promoteurs du « sexe neutre » aspirent à ce que l’identité naturelle soit traitée « comme une identité personnelle et intime relevant de la subjectivité et de la liberté individuelles ». Cette revendication, issue d’instances partisanes, est irrecevable en ce qu’elle nie la qualité naturelle et immuable du sexe des personnes. Irrecevable parce qu’elle est une pression émanent de minorités - l’indétermination sexuelle concernerait environ 200 enfants par an - visant à légiférer sur une situation d’exception. Irrecevable, enfin, parce qu’il n’est pas du ressort de la loi de déterminer la nature. En 1748, Montesquieu alertait, dans l’Esprit des lois, sur les dangers auxquels se confrontaient les législateurs en légiférant sur ces éléments intrinsèques à l’immuabilité de l’être : « La défense des lois de la nature, soulignait-il au Livre XXVI, est invariable parce qu’elles dépendent d’une chose invariable : le père, la mère et les enfants habitant nécessairement dans la maison »."


Terrorisme et idéologie du genre

Nous avons trouvé une championne :

A quand la réécriture du Coran en écriture inclusive ?


« La parité dont vous faites la promotion au sein du gouvernement, est-ce que vous la reconnaissez à son origine : un homme, une femme pour faire un enfant ?»

Tugdual Derville, délégué général d’Alliance VITA, était l’invité de Pascal Praud sur CNEWS, le 26 septembre 2017, dans l’émission « Pour ou Contre », pour débattre de la « théorie du genre » face à Caroline De Haas. Au préalable, Pascal Praud redonne une définition de la théorie du genre : « c’est une thèse expliquant la construction de l’identité sexuelle à partir de facteurs non biologiques ». Verbatim extraits de l’émission :

« Je suis favorable à ce qu’on retrouve une articulation, un équilibre entre la biologie et la culture. Qu’est-ce qui fait que nous sommes différents, que nous sommes nés avec des organes différents ? Les femmes portent des enfants ; nous avons tous séjourné dans le corps d’une femme. Nous avons des corps qui ont des fonctions différentes dans le domaine de la procréation. Il ne s’agit pas de valoriser un sexe par rapport à l’autre, mais de reconnaître ces différences. Ce que je conteste dans la théorie du genre, c’est la dévalorisation de cette différence qui peut aboutir à la neutralisation du genre. » 

« Le risque de cette théorie du genre c’est qu’elle aboutit, sur le plan politique, à laisser entendre qu’un enfant pourrait, sans dommage, être privé de son père. Une des grandes souffrances de notre société est cette errance du père, cette évacuation du père. »

« Nous héritons tous de l’ADN mitochondrial de nos mères : dans les ovocytes, il y a des gènes qui se situent à l’extérieur du noyau et qui sont transmis par les mères. Nous sommes différents biologiquement ; c’est du déni de réalité que de ne pas voir que cela peut avoir des conséquences…  »

« Je ne réduis pas la biologie à la génitalité. (…) Le corps a un sens et ce sens doit s’articuler : on doit aider les petites filles à devenir pleinement femmes et les petits garçons à devenir pleinement hommes. Ce n’est pas en leur inculquant, dès leur plus jeune âge, une « guerre des sexes », l’idée qu’il faudrait conquérir les supposés avantages des uns et des autres, d’établir cette différence sur le mode de la discrimination, qui va régler les problèmes de notre société ».

« Je pense qu’il y a une forme de négationnisme de l’identité biologique et il y a, derrière, une sorte de victimisation des femmes qui s’établit de plus en plus d’une manière assez agressive pour les hommes. Il y a une parité qui est à mes yeux très précieuse. Notre humanité est faite d’hommes et de femmes ; il faut qu’hommes et femmes puissent s’entendre. Nous avons tous bénéficié de cette parité originelle et c’est cette parité que nous devons protéger pour nos enfants. »

« Votre théorie aboutit à dire que père et mère sont interchangeables et qu’on pourrait escamoter la dimension paternelle. En tant qu’homme, je ne me sens pas respecté lorsque la paternité est réduite à un donneur anonyme de gamètes, lorsqu’on peut escamoter totalement, dans la généalogie de l’enfant, la dimension paternelle. Il faut combattre les préjugés sexistes, et je suis d’accord pour le faire avec vous. Etre différents, ce n’est pas forcément être inégaux ; il faut travailler à l’égale dignité entre l’homme et la femme sans accuser sans cesse les hommes. »

« La parité dont vous faites la promotion au sein du gouvernement, est-ce que cette parité vous la reconnaissez à son origine : un homme, une femme pour faire un enfant ? Dans le cadre de la PMA, êtes-vous d’accord avec les 77% de Français, dans le sondage d’Opinion Way du mois de juin dernier, qui considère que l’Etat doit garantir à l’enfant d’avoir un père et une mère ? »

« Il y a un courant de pensée qui vise à neutraliser les différences homme/femme dans toute la dynamique culturelle; il y a des parents déjà, dans certains pays – très minoritaires heureusement – qui disent « il décidera plus tard » comme s’il n’y avait pas cette identité personnelle. »


L'identité des enfants n'est pas un jeu : le bus CitizenGo arrive à Paris

Le bus circulera dans Paris et l'Ile de France du 3 au 8 octobre. Il vient dénoncer l'idéologie du genre, qui s'insinue partout et notamment à l'école.

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Une lettre ouverte au ministre de l'Education nationale est à signer ici. De plus en plus, l’Education nationale utilise des « études de genre » pour lutter contre les inégalités hommes-femmes. Et le résultat, c’est qu’au lieu de lutter contre ces inégalités, l’Education Nationale promeut l’indifférenciation sexuelle : il n’y a plus d’inégalité puisqu’il n’y a plus de différence ! S’il y a indifférenciation des sexes, si le genre n’est qu’une question de culture, alors on peut choisir son sexe. Pour les enfants scolarisés, on brouille donc les repères de base. Les enfants sont en train de bâtir leur personnalité. Ils sont fragiles et perméables aux enseignements qu’on leur donne.

Leur inculquer dès le plus jeune âge qu’être homme ou femme n’est que le résultat d’une culture et que l’on peut choisir, c’est mettre en danger leur construction. C’est un mensonge, mais c’est également un énorme danger pour les enfants. Nous croyons fermement que les enfants n’ont pas à subir des expérimentations d’idéologues pendant la période cruciale de construction de leur personnalité. Il y a un véritable risque de  déconstruction de leur personnalité. 

C’est pourquoi nous voulons, par cette pétition et par notre bus, faire savoir à tous les parents d’élèves que l’identité des enfants n’est pas un jeu. Et que leur genre n’est pas un choix. On ne devient pas femme : on nait femme. On ne devient pas homme : on nait homme.

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Editions Hatier : à bannir

Les éditions Hatier sont très fières d'avoir publié le premier manuel en écriture "gauche tarée" pour des élèves de CE2 :

Que le nouveau ministre de l'Education national soit attaché aux méthodes traditionnelles d'apprentissage n'a pas rebuté les éditions : cela fait bien volontiers que le pouvoir réel des ministres au sein de l'Education nationale est proche du zéro. 

Ce manuel promeut l'écriture « inclusive » ou « genrée ». Ceci consiste à inclure le féminin, entrecoupé de points, dans tous les noms, comme dans «mes ami.e.s». On y lit que « grâce aux agriculteur.rice.s, aux artisan.e.s et aux commerçant.e.s, la Gaule était un pays riche ».

Si vous cherchez des manuels scolaires pour le cours élémentaire, n'hésitez pas à vous rapprocher de l'Oeuvre Saint-Nicolas.


Vote au Parlement européen : précisions de Marie-Christine Boutonnet et Gilles Lebreton

Suite à ce post, voici le droit de réponse des députés FN au Parlement européen Marie-Christine Boutonnet et Gilles Lebreton :

"Nos votes sont cohérents ! Nous sommes tous les deux attaqués par un message, diffusé sur internet, qui nous reproche d'avoir voté, en commission des affaires juridiques, une résolution du 19 juillet 2017 dont certains passages font la promotion de la théorie du genre et encouragent une libéralisation débridée de l'IVG. Ce reproche est inexact : il traduit une profonde méconnaissance de la réalité du travail parlementaire.

En assemblée plénière du Parlement européen, nous avons bel et bien voté contre cette résolution, ainsi que l'auteur du message le reconnaît lui-même.

En commission des affaires juridiques, le texte en faveur duquel nous avons voté n'est évidemment pas cette résolution, mais un avis du 31 mai 2017 qui émettait des suggestions pour réécrire la résolution dans un sens plus conforme à nos idées, en tentant de la recentrer sur l'égalité entre les hommes et les femmes et sur la lutte contre la violence à l'égard des femmes. Cet avis avait notamment le mérite de souligner expressément la nécessité de lutter davantage contre "les mutilations génitales féminines", "les crimes d'honneur", et la pratique du "mariage forcé".

Contrairement à ce qui nous est reproché, nous estimons donc avoir fait preuve d'une grande cohérence en votant pour l'avis et contre la résolution.

Marie-Christine Boutonnet et Gilles Lebreton, députés français au Parlement européen"


Human Dimension Implimentation Meeting : l'ECLJ dénonce l'idéologie du genre

337516_1Le Centre européen pour le droit et la justice (ECLJ) a participé au Human Dimension Implimentation Meeting 2017 qui a eu lieu à Varsovie au centre de conférence situé au Stade national du 11 au 22 septembre 2017. Organisé chaque année par le Bureau des institutions démocratiques et des droits de l’homme (BIDDH) de l’Organisation pour la Sécurité et la Coopération en Europe (OSCE), cet événement est la plus grande conférence traitant des droits de l’homme et de la démocratie en Europe. Elle constitue une plateforme pour de nombreux acteurs concernés par ces questions, dont les représentants des gouvernements des 57 Etats participants à l’OSCE, les Partenaires de l’OSCE pour la coopération, les structures de l’OSCE, les organisations internationales, les représentants de la société civile, tous pouvant s’exprimer durant les séances. Cette conférence leur permet d’évaluer la mise en œuvre des engagements pris par les Etats dans le cadre de l’OSCE, mettre en évidence les violations de ceux-ci, faire des recommandations dans le but d’améliorer cette mise en œuvre, discuter des défis ou encore partager les bonnes pratiques.

Deux séances de travail réunissent quotidiennement tous les acteurs susmentionnés pour traiter un thème particulier. L’ECLJ a pris part aux quatre séances de travail des 14 et 15 septembre 2017 sur les thèmes de la « liberté de pensée, de conscience, de religion ou de croyance » et « Tolérance et non-discrimination » au cours desquelles il est intervenu oralement à deux reprises.

Liberté de pensée, de conscience, de religion ou de croyance

Jeudi 14 septembre 2017, la séance de travail du matin ayant pour thème précis « Liberté de religion ou de croyance et égalité entre les hommes et les femmes – Vers une compréhension plus holistique » a permis à l’ECLJ d’aborder le sujet de l’égalité homme-femme par le prisme du « gender » et du droit de considérer que les hommes et les femmes ont été créés différents. Dans son intervention orale, l’ECLJ a ainsi interpelé les Etats sur le fait que la théorie du genre qui veut être imposée actuellement propose une vision idéologique de l’égalité homme-femme qui heurte la liberté de religion et de croyance des Chrétiens notamment. La relation homme-femme y est vue dans la perspective d’une lutte de l’un contre la domination de l’autre en oubliant qu’hommes et femmes sont égaux car revêtus de la même dignité dès lors qu’ils sont tous deux des personnes humaines. Cette vision a des conséquences redoutables dès lors qu’elle nie la différence naturelle entre les sexes et leur complémentarité, alors-même qu’elles sont une richesse pour la société.

Tolérance et non-discrimination

Pendant la séance de travail du vendredi 15 septembre 2017 au matin, l’ECLJ a traité dans son intervention orale du lien entre tolérance et non-discrimination et liberté de pensée, de conscience et de religion en constatant que si l’intolérance à l’égard des Chrétiens notamment peut se manifester par des discours de haine lors de débats sur des questions sociétales, elle est aussi visible par des restrictions à leur liberté de conscience et de religion et à leur liberté d’expression. L’ECLJ a expliqué qu’une société soi-disant libérale ne peut pas prôner la tolérance mais être en même temps elle-même intolérante. Il a notamment dénoncé la situation française : d’une part le cas des maires qui s’exposent à de lourdes sanctions au cas où ils refuseraient de célébrer les unions de personnes de même sexe, et d’autre part la récente extension du délit d’entrave à l’avortement qui est discriminatoire en ce qu’elle ne conduit à sanctionner pénalement que les discours « pro-vie ». L’ECLJ a appelé les Etats participants à tenir compte, dans leur législation, de la liberté d’expression et de la liberté de l’individu d’agir selon sa conscience.

La délégation représentant le gouvernement français a fait usage de son droit de réponse en indiquant en substance que le maire étant un agent de l’Etat, il doit à ce titre appliquer les lois sans discrimination et en pleine neutralité. Dès lors qu’il agit en tant qu’officier public et non en tant que personne privée, il ne peut pas refuser de célébrer les mariages de personnes du même sexe, tout comme ceux d’étrangers ou de personnes divorcées. Le représentant a en outre ajouté, de façon erronée, que le Conseil constitutionnel a décidé qu’un maire qui ferait objection de conscience peut déléguer la célébration d’un mariage de personnes de même sexe à un de ses adjoints. Quant à l’avortement, la délégation française a prétendu qu’il fait l’objet en France d’un droit fondamental pour toutes les femmes depuis 1975 et que la France va continuer à promouvoir ce droit.


Et maintenant, le patriarcat canin

Les négationnistes de la loi naturelle sont vraiment des déséquilibrés (eux). Ainsi, Carola Kastman, artiste suédoise, idéologue du gender et de la non-discrimination, a découvert que la société bourgeoise a réussi à imposer aux animaux la « discrimination genrée » qui fait que les mâles se croient tout permis avec les femelles :

« C’est très intéressant et très effrayant que les rôles genrés de la société se reflètent dans le monde culturel animal. Il est temps que les choses changent, écrit-elle dans un journal local. Jamais je n’aurais pu croire que le patriarcat ait pénétré les parcs canins. C’est une question politique majeure. Je ne serai pas satisfaite tant qu’il n’y aura pas au moins un parcours pour chiens réservé aux femelles dans chaque quartier. »

Il y a un moment, où il faudra les enfermer (je ne parle pas des chiens).


Des universités acquises au gender

L’université François-Rabelais à Tours prend deux engagements pour les étudiants transgenre : elle officialise le prénom d’usage et ouvre des toilettes neutres.

La chargée de mission à l'égalité, soutenue par le président de l'université Philippe Vendrix, explique :

« Même si cela ne concernait qu'un seul étudiant, c'est important qu'il puisse poursuivre ses études dans les meilleures conditions, c'est une question d'égalité des chances ».

Une lettre type a été préparée, qui établit que « l'université reconnaît l'identité de genre et le prénom d'usage » de tel étudiant. Ainsi, les étudiants qui en font la demande peuvent utiliser leur prénom d'usage sur la carte d'étudiant et les listes d'appel en cours et aux examens. Si l'étudiant obtient un changement de prénom à l'état civil par la suite, celui inscrit sur son diplôme pourra être modifié a posteriori.

Les universités de Grenoble, Rennes 2, Angers et Montpellier sont sur la même voie.


Les désastres de l'idéologie du genre sur les enfants

Voilà une affaire qui mériterait de mettre les idélogoues du gender dans les poubelles de l'Histoire :

"En Australie, les enfants souffrant de dysphorie du genre sont autorisés à effectuer une transition sexuelle par traitement hormonal et chirurgie. Les enfants et familles peuvent même être soutenus financièrement dans leur démarche, par le département de l’éducation. L’histoire de cet enfant de 4 ans qui débutait sa transition sexuelle, il y a un an, avait d’ailleurs fait grand bruit.

À l’âge de 12 ans, le jeune australien Patrick Mitchell a supplié sa mère de l’autoriser à prendre des oestrogènes, après que les médecins aient « diagnostiqué » une dysphorie du genre, c’est à dire un décalage entre son sexe biologique et son identité de genre.

« Je regardais n’importe quelle fille, et je me disais que je pourrais tuer pour être comme elle. »

C’est ainsi qu’avec l’accord de sa maman, Patrick a commencé à laisser pousser ses cheveux, a pris des hormones féminines, et a commencé à s’habiller comme une fille. Ses seins ont commencé à pousser, mais 2 ans plus tard, Patrick a changé d’avis.

C’est au début de l’année 2017, quand les enseignants ont commencé à s’adresser à lui en tant que fille, que Patrick a commencé à se questionner. Il déclare aux journalistes.

« J’ai commencé à me rendre compte que j’étais vraiment à l’aise dans mon corps. Chaque jour, je me sentais mieux. »

Il a donc confié à sa mère son désir de rester un garçon.

« Il m’a regardé dans les yeux et m’a dit : ‘Je ne suis tout simplement pas certain d’être une fille.’ »

Patrick a arrêté son traitement et devra subir par chirurgie l’exérèse du tissu mammaire. Ce cas relancera peut-être le débat autour de la confusion du genre et de la transition sexuelle. Le psychiatre australien Stephen Stathis alertait déjà sur les dérives de cette pratique, considérée comme « tendance » par de nombreux jeunes. Le transgenre américain, Walt Heyer témoignait également de ses doutes, estimant que « la chirurgie n’a rien réparé, elle a masqué et exacerbé des problèmes psychologiques profonds ». Quand à la confusion du genre, ou dysphorie, de nombreux psychiatres, estiment qu’elle ne constitue qu’une phase transitoire de doute chez l’adolescent, qui ne se pérennise qu’exceptionnellement."


Au fond du trou, on creuse encore

Admirez plutôt :

"Un homme transgenre attend son premier enfant. Il a confié qu'il laisserait son enfant choisir le sexe qui lui correspond le mieux."

Il y a encore des imbéciles pour nous dire que l'idéologie du genre n'existe pas ?

Et ce n'est pas tout (quand on creuse, on creuse...) :

"Le futur papa transgenre a d'ores et déjà confié qu'il laisserait à son enfant choisir son sexe quand il sera plus grand. Il élèvera le bébé avec sa petite amie et une autre femme, une amie à eux qui a toujours rêve de devenir maman. Le trio vivra ensemble pour subvenir au besoin de l'enfant. [...] "Il aura un père trans et deux mères"


Si vous êtes une canette de bière ou un fer à repasser vous pouvez vous enregistrer sur Pinterest

Pinterest est un site web américain mélangeant les concepts de réseautage social et de partage de photographies. Il permet à ses utilisateurs de partager leurs centres d'intérêt, passions, hobbies, à travers des albums de photographies glanées sur l'Internet. Le nom du site est un mot-valise des mots anglais pin et interest signifiant respectivement « épingler » et « intérêt ».

Pour vous inscrire vous devez indiquer que vous êtes soit une homme, soit une femme, soit autre chose. Magique non ?

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Le Quai d'Orsay recrute un spécialiste du genre

Il y a là encore un moyen de faire des économies... non ?

Le/la rédacteur/-trice « genre et développement » est chargé(e), en lien avec les autres rédacteurs/-trices du pôle :
1. de la coordination et de la rédaction de la stratégie « genre et développement » ;
2. du suivi des opérateurs, en lien avec les services concernés du Ministère de l'Europe et des Affaires étrangères (MEAE) ;
3. de la production et de la rédaction d'analyses sur les questions de genre et de développement ;
4. de la formation et de la sensibilisation en genre et développement et du suivi des prestataires de ces formations ;
5. de l'animation de la plate-forme « genre et développement » qui regroupe les acteurs et actrices impliqués sur les questions de genre et développement ;
6. de la coordination du Fonds de solidarité prioritaire « Femmes d'avenir en Méditerranée » ;
7. du suivi des travaux du GENDERNET de l'OCDE ;
8. de l'animation du réseau des correspondant(e)s « genre » interne au MEAE, du suivi et de l'appui méthodologique ;
9. du suivi des initiatives internationales relatives à l'autonomisation des femmes et à l'égalité femmes/hommes ;
10. de l'appropriation et de la transversalisation du genre en appui au sein du MEAE ;
11. du suivi des opérateurs en lien avec les services concernés du MEAE.


Et pendant ce temps, mise en place d'un «budget sensible au genre»

La secrétaire d'État à l'Égalité entre les femmes et les hommes Marlène Schiappa a annoncé vouloir généraliser la pratique du «gender budgeting» («budgétisation sensible au genre»), déjà appliquée à l'échelle des collectivités territoriales, au budget général de l'État. Un projet pilote devrait ainsi être expérimenté au sein du ministère de l'Agriculture, avant une possible généralisation à l'ensemble des ministères d'État.

Le «gender budgeting» figure au coeur des politiques d'égalité hommes-femmes depuis maintenant vingt ans. Vous êtes heureux de l'apprendre... Le Conseil de l'Europe, dans une note parue en 2005, définissait le «gender budgeting» comme

«une application de l'approche intégrée de l'égalité entre les femmes et les hommes dans le processus budgétaire». «Cela implique une évaluation des budgets existants avec une perspective de genre à tous les niveaux du processus budgétaire, ainsi qu'une restructuration des revenus et des dépenses dans le but de promouvoir l'égalité entre les femmes et les hommes».

En clair, il s'agit d'examiner systématiquement les dépenses publiques afin d'objectifier les différences de traitement entre les femmes et les hommes et de rééquilibrer la répartition des crédits budgétaires entre les sexes. L'exemple récurrent est celui du sport : évaluer le montant des subventions allouées aux clubs sportis par tête, en fonction du genre. La secrétaire d'État a dénoncé :

«Les subventions municipales servent la plupart du temps à financer des clubs de foot, des clubs de boxe, des terrains de basket sur des parcs qui seront occupés et utilisés exclusivement par des hommes». «L'idée est donc d'essayer de voir comment cet argent est réparti entre les femmes et les hommes.»

L'article 61 de la loi du 4 août 2014 pour l'égalité réelle entre femmes et hommes fixe l'obligation, pour les collectivités de plus de 20 000 habitants, de «présenter un rapport sur la situation en matière d'égalité entre les femmes et les hommes

Et que personne ne dise que tout cela n'existe pas :


États-Unis : une femme a accouché d'un enfant

Capture d’écran 2017-07-17 à 19.09.20Information banale... Ou presque. Cette femme croit qu'elle est un homme :

"Trystan Reese, un américain transgenre de 34 ans, a accouché le 14 juillet de son premier enfant, Leo, un garçon de 4,25 kilos. Né femme, il a entamé sa transition à l'âge de 19 ans et a suspendu son traitement hormonal durant plusieurs mois pour pouvoir tomber enceint.

Pour ce faire, cet habitant de Portland dans l'Oregon n’a pas changé de sexe. “Cela coûte des dizaines de milliers de dollars, avec 50% de chances de devenir incontinent. J'aime mon corps tel qu'il est”, a-t-il expliqué à Paris Match. “Je me suis lancé dans cette aventure parce qu'un de mes amis très proches a fait pareil.”

Avec son mari Biff, il a partagé son “aventure” sur les réseaux sociaux et publié sur sa page Facebook une vidéo juste après l'accouchement intitulée “Un papa enceint, 9 mois, un bébé et une famille très heureuse !”, dans laquelle il déclare : “La prochaine fois que quelqu'un vous dit qu'un homme ne pas avoir d'enfant, montrez-lui cette vidéo.”

Pauvre enfant.