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Loi "Asile et immigration" : un amendement pour les demandeurs d'asile LGBT

ImagesLa commission des lois de l'Assemblée nationale a voté à la quasi-unanimité une mesure visant à protéger les demandeurs d'asile LGBT s'ils sont menacés en raison de leur orientation sexuelle dans leur pays d'origine...

Tous les immigrés en provenance de pays musulmans ont donc trouvé un argument pour demander l'asile politique en France. Le changement proposé vise à exclure les pays qui pénalisent l'homosexualité de la liste officielle des "pays d'origine sûrs", autrement dit ceux "où l’homosexualité peut encore faire l’objet de mauvais traitements ou de sanctions pénales".

Cet amendement a été déposé par Elise Fajgeles et Matthieu Orphelin, députés LREM. Si l'amendement est adopté par le Sénat, les immigrés provenant de pays qui pénalisent les relations homosexuelles pourront faire appel auprès de la Cour nationale du droit d'asile si leur demande d'asile est rejetée par l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (Ofpra) et ce, sans risque d'expulsion. 


Le mot « maman » n'est pas une insulte

Ils sont cinglés :

DZnP5vhX4AI37GS"Polémique contre Thierry Ardisson qui avait invité dans son émission Salut les Terriens! un « couple » transgenre composé de deux « hommes » dont l’un est biologiquement une femme, qui a mis au monde un enfant (le pauvre). Et la production a cru bon de préciser par un bandeau : « La maman est à gauche de l’écran ».

Cela n’a pas plu du tout au soi-disant père qui a accouché, qui demande des excuses à Thierry Ardisson pour l’avoir confondu avec une femme alors qu’il est un homme…

Revendication reprise par le site AJ+ français (sic), « média inclusif qui s’adresse aux générations connectées et ouvertes sur le monde. Éveillé·e·s. Impliqué·e·s. Créatif·ve·s. »

Contacté par Jean-Marc Morandini, Thierry Ardisson a répondu qu’il ne savait pas que le mot « maman » était une insulte, et qu’il ne s’excuserait pas."


Parent 1, parent 2, les cathares sont de retour

De La Manif Pour Tous :

Capture d’écran 2018-03-28 à 19.43.45"Il n’y aura plus, ni « père », ni « mère », à la mairie de Paris. Voilà ce que les conseillers de Paris ont voté il y a quelques jours pour les formulaires de demandes d’état civil. A la place ? « Parent 1 », « Parent 2 ».

Pourtant, en 2013, lors des débats sur la loi autorisant le mariage de deux personnes du même sexe, Christiane Taubira et la majorité socialiste avaient juré, suite aux alertes de La Manif Pour Tous, que jamais, ô grand jamais, cela n’arriverait.

Les élus l’ont voté au nom de la lutte contre la discrimination à l’égard des parents de même sexe. Mais qu’en est-il des couples homme-femme : ne sont-ils pas eux-mêmes niés, voire insultés, de ne plus être reconnus comme père et mère, mais qualifiés de parents 1 et 2 ? Qu’est-ce qu’un « parent 1 » ou « parent 2 » ?

Demain, à Paris, 99% des couples se verront imposer un formulaire travestissant la réalité, à savoir qu’un enfant naît toujours d’un père et d’une mère. Prétendre le contraire, c’est se ranger dans le camp des individus qui disent que la terre est plate et que Napoléon n’a jamais existé.

Conçue par les idéologues du genre niant la différence homme-femme et du même coup la différence père-mère, réinventant le monde à l’aune de leur utopie, la loi Taubira entraîne à sa suite la déconstruction de la filiation et du droit de la famille.

Demain, les enfants parisiens liront sur leurs actes d’état-civil qu’ils sont nés d’un « parent 1 » et d’un « parent 2 ». Ils se demanderont pourquoi leur mère n’est pas reconnue comme mère et leur père comme père, qu’est-ce que cela signifie, quelle raison a pu justifier une telle décision. Ils découvriront une époque au cours de laquelle des groupes d’hommes et de femmes, niant la dimension charnelle de leur être et tout ce qu’elle implique, militaient pour une nouvelle croyance dans laquelle le corps n’avait ni sens, ni signification, ni importance, où il n’était qu’une chose, déconnecté du psychisme, de l’affectif, du culturel.

Ayant la foi des convertis et animés par la violence de ceux qui détiennent une nouvelle « vérité », ces enfants rapprocheront cette idéologie de la foi des cathares, qui, au Moyen-âge, voyaient le corps comme une prison. Comme eux, ces néo-cathares veulent que nous soyons « purs » de notre réalité, de nos origines. Pour cela, plus d’identité sexuelle, plus de père ni de mère, plus de maternité, ni de paternité : uniquement la parentalité et des parents 1 et 2 (en attendant les 3 et 4 ?)

Tuer le père, tuer la mère, transformer les hommes et les femmes en les fondant dans une humanité asexuée. Gageons que les électeurs parisiens n’oublieront pas, lors des prochaines élections, qu’avec Madame Hidalgo, leur paternité et leur maternité sont confondues l’une avec l’autre, c’est-à-dire niées dans leur différence et leur complémentarité, en particulier dans le lien avec leur enfant. Espérons qu’ailleurs, en France, les élus locaux se gardent de céder au prosélytisme d’une minorité de néo-cathares qu’il faut combattre pied à pied tant elle fait de dégâts, en attendant que les générations à venir ne les condamnent pour obscurantisme."


Ne pas connaître son père est un préjudice moral

Unknown-14Intéressant arrêt de la cour de cassation sur un accident du travail montrant le droit de l'enfant à connaître son père. A la suite d'un accident du travail mortel pour lequel la faute inexcusable de l'employeur a été reconnue, la veuve du salarié, enceinte au moment des faits, saisit la justice en qualité de représentante légale de son enfant pour faire reconnaître le préjudice moral dont celui-ci a été victime du fait de l'accident survenu à son père

Les juges du fond accueillent sa demande, validant le préjudice subi par l'enfant conçu avant l'accident mais né après, qui souffrait selon eux de l'absence définitive de son père, qu'il ne connaîtra jamais autrement que par ce qu'en diront les tiers. L'employeur et son assureur (condamnés à l'indemniser à hauteur de 25 000 €) contestent d'une part la réalité de la souffrance objective invoquée et d'autre part le lien de causalité direct entre l'accident survenu au père et le préjudice causé à l'enfant né après le décès.

La Cour de cassation valide l'arrêt rendu au fond et confirme que la cour d'appel a bien caractérisé l'existence du préjudice moral et son lien de causalité avec l'accident. Elle confirme également que, "dès sa naissance, l'enfant (ou, en son nom, une personne plus en âge de le faire !) peut demander réparation du préjudice résultant du décès accidentel de son père survenu alors qu'il était conçu".

A rapprocher à un débat en cours...

 

"Parent 1 et parent 2" : la ville de Paris change ses formulaires

La ville de Paris va changer "le plus rapidement possible" ses formulaires de demandes d'actes d'état civil pour prendre en compte les paires de même sexe, en changeant les termes "père" et "mère" par "parent 1 et parent 2".

Ce voeu, adopté mercredi à l'unanimité, avait été proposé par Danielle Simonnet (La France Insoumise).

Reste à savoir qui est 1 et qui est 2. Il va y avoir de la discrimination. Et puis que vont dire les féministes ? Il fallait écrire "parent.e 1" et "parent.e 2".

Un enfant ne naît plus de l'union d'un homme et d'une femme...

Mais la ville de Paris est encore un peu réac au regard de ce qui se fait désormais au Canada. Les fonctionnaires canadiens doivent maintenant éviter les mots « monsieur », « madame », « père » et « mère » lors d'une première interaction avec les clients. L’objectif du gouvernement est d'éviter de donner l’impression que les fonctionnaires fédéraux entretiennent un biais « envers un genre ou un sexe »... Les fonctionnaires doivent donc s’adresser aux clients par leur nom complet ou leur demander de « quelle façon ils préfèrent que l’on s’adresse à eux ». Le ministre Jean-Yves Duclos (dont on ignore s'il faut l'appeler Monsieur, Madame, ou Tordu), précise

« Soyons clairs, Monsieur/Madame continuera à être utilisé par Service Canada. Nous vérifions simplement comment les gens souhaitent qu’on s’adresse à eux. C’est une question de respect ».

En fait le gouvernement s'est soumis au lobby LGBT, qui a du effectuer une séance de testing. Une paire raconte avoir été contraint de trancher qui était le père et qui la mère (quelle horreur). Par conséquent, certains clients se sentent moins respectés.

"Des personnes d’un certain âge s’attendent à ce que nous soyons polis. Là, il faut les appeler par leur prénom et leur nom, et ça, ça les chicote."

Et cette siuation ubuesque ne s'arrête pas là. Lorsque vient le moment d’obtenir certaines informations nécessaires à la résolution des dossiers :

« Ça nous arrive de parler à des gens et de dire : "Quel est le nom de votre parent no 1?" Et on a droit à des silences, les gens ne comprennent pas ».

Les gens ne comprennent pas ? Mais quelle homophobie !

Je veux quitter le monde des fous...


Plainte de l'association LGBT Mousse contre les AFC

Unknown-34L'association LGBT Mousse porte plainte avec constitution de partie civile pour injure à raison de l’orientation sexuelle contre l’Association Familiale Catholique (AFC) de Clermont-Ferrand, qui a publié sur le compte @AFC_Clermont suite à la relaxe de Christine Boutin :

« Merci la @Courdecassation de défendre un peu la liberté d'expression et de nous autoriser à dire, comme la Bible, que "l'#homosexualité est une abomination" ».

Le lobby totalitaire, qui s'attaque sans cesse à la liberté d'expression et de pensée porte plainte devant le Doyen des juges d’instruction du Tribunal de grande instance de Paris pour injure à raison de l’orientation sexuelle.

Après avoir perdu contre Christine Boutin, le lobby ne démord pas de pouvoir censurer la Bible.


PMA : le silence du ministre qui en dit long sur les vrais projets du gouvernement

Jacqueline Gourault, ministre auprès du ministre de l'Intérieur, a dû botter en touche, lorsqu'un journaliste lui a demandé sa position sur l'ouverture de la PMA aux femmes célibataires et aux couples de lesbiennes. La raison est simple : elle s'était fermement opposée au "mariage" pour tous et à la PMA qui conduirait à la GPA...

Mais si la ministre s'est montrée embarrassée, c'est sans doute parce que des convictions sur le sujet, elle en a. Des convictions qu'elle n'a d'ailleurs pas hésité à exprimer par le passé. Sauf qu'elles sont désormais en contradiction avec la promesse présidentielle.  

Sur son blog en 2013, relève Marianne, celle qui était alors sénatrice Modem du Loir-et-Cher affirmait sa nette opposition à la PMA. Son ouverture, écrivait-elle, "entraînerait indéniablement, au nom de l'égalité entre les couples de femmes et les couples d'hommes, la légalisation de la gestation pour autrui (GPA)". Or, la GPA, selon la ministre, "provoquerait des risques de dérives mercantiles qui s'opposent totalement à la liberté de la femme et à la notion de famille telle que je le conçois".  

Comme le rappelle Le Figaro, Jacqueline Gourault s'était également opposée en 2013 au mariage pour tous, appelant plutôt à faire évoluer le Pacs "vers une nouvelle forme d'union civile". 


Les opinions exprimées par le public venant participer aux états généraux de la bioéthique constituent une « douche froide »

... pour le lobby LGBT :

Unknown-30"La Manif pour tous s’apprête à publier, lundi 19 mars, un premier « bilan à mi-parcours » des débats qui ont lieu depuis deux mois dans toute la France. Le rapport établi par l’organisation, dont des membres ont assisté à tous les débats sur la PMA, estime que pour l’instant, une réunion sur deux a été consacrée à la PMA entre janvier et début mars. L’association déplore en particulier le trop grand nombre de médecins parmi les intervenants, au détriment selon elle d’autres profils comme les philosophes ou des spécialistes de bioéthique.

La Manif pour tous constate une forte assistance mais déplore qu’il soit parfois difficile de s’inscrire, dans des salles trop petites. Mais sur le fond, elle se félicite surtout de l’intervention de participants attachés « aux droits des enfants d’avoir un père et une mère ».

« Ces soirées montrent que l’opposition à la PMA sans père et à la GPA est réelle, souligne la présidente de la Manif pour Tous, Ludovine de la Rochère. Dans ces conditions, je ne vois pas comment Emmanuel Macron, qui s’est toujours montré très attaché à la cohésion de la société, pourrait passer en force. »

À travers cet « observatoire », la Manif pour tous veut surtout accentuer la pression sur le gouvernement, en insistant sur la volonté du chef de l’État de ne pas provoquer de nouvelles fractures dans la société."


Etats généraux de la bioéthique : Le lobby LGBT a l'air de réaliser une vaste opération de bourrage d'urne

Certains internautes ont découvert l'existence de comptes qui votent de manière automatisés afin de modifier les résultats sur le site des Etats généraux de la bioéthique. Ces comptes  semblent avoir été créés début 8 mars, sont tous proches des milieux LGBT.

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La secte LGBT refuse que l'on aide les personnes homosexuelles. Les députés FN votent contre

L'Union européenne a condamné les thérapies pour aider les personnes ayant des tendances homosexuelles. C'est une vieille revendication de la secte LGBT : comme toute secte, elle refuse que ses membres puissent aller sous d'autres cieux. Mgr Aillet en a fait récemment les frais avec 2 conférences de l'association Courage, association destinée à aider les personnes ayant des tendances contre-nature à se corriger.

Le 1er mars, lors du vote d'un texte sur la situation des droits fondamentaux dans l'UE, les eurodéputés ont eu à se prononcer sur deux amendements (8 et 11). Ceux-ci précisent :

«(Le Parlement européen) se félicite des initiatives interdisant les thérapies de conversion pour les personnes LGBTI et la pathologisation des identités transsexuelles ; prie instamment tous les États membres d’adopter des mesures similaires qui respectent et défendent le droit à l’identité de genre et l’expression de genre.»

Le texte a été adopté à une large majorité (435 voix pour, 109 voix contre et 70 abstentions), mais heureusement, il n'a pas de valeur contraignante. 34 eurodéputés français du Front national (FN), des Républicains (LR), des centristes de l'UDI, ou indépendants ont préféré s'abstenir ou voter contre cet amendement (mais Florian Philippot et Sophie Montel, qui se sont abstenus, ont corrigé leur vote ensuite). Détail des votes page 127. Les voici :

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Les 19 eurodéputés LR, dont Rachida Dati et Nadine Morano, se sont majoritairement abstenus. Seuls trois d'entre eux ont voté «pour» l'interdiction des thérapies de conversion, comme l'indique le compte rendu de vote. Aucun n'a voté contre. Brice Hortefeux, qui a d'abord voté pour l'interdiction, a finalement corrigé son vote et décidé de s'abstenir. Après le scrutin et les nombreux harcèlement sur les réseaux sociaux, certains élus LR ont décidé de corriger leur vote, passant de l'abstention à un vote favorable. C'est le cas de Michèle Alliot-Marie ou de Geoffroy Didier. 

Au FN, consigne a été donnée de voter contre cet amendement. Nicolas Bay, coprésident du groupe ENL, explique :

«Nous avons en effet voté contre ces deux amendements déposés par des députés d'extrême gauche, en raison de leur formulation qui participe de cette idéologie du genre que nous combattons. Le fait que ces deux amendements soient strictement identiques prouve d'ailleurs qu'il s'agit d'un copier-coller dicté par le lobby "LGBTI".»

Enfin, le vice-président du FN met aussi en avant «le principe de subsidiarité trop souvent bafoué» et conclut :

«Nous avons refusé de céder à une nouvelle tentative de chantage communautariste.»

Le député frontiste Christelle Lechevalier ajoute :

«Nous rejetons tout dogmatisme sur les questions d’identité de genre et autres concessions communautaristes».

Marie-Christine Arnautu indique :

«Si les "thérapies de conversion" se traduisent par des violences physiques et/ou morales, elles sont évidemment condamnables au même titre par exemple que les viols. En revanche, s'il s'agit d'interdire des activités de conseil librement consenties visant à aider les personnes LGBT qui, pour des raisons religieuses ou non, le désirent, alors les interdire va à l'encontre de leur propre liberté individuelle».


Avec Wauquiez la droite est de retour... et les subventions aux associations LGBT aussi

Minute s'est procuré la liste des subventions aux associations « au titre du fonds d’intervention culturelle », votées le 18 janvier dernier par la commission permanente du conseil régional d’Auvergne- Rhône-Alpes et par son président, Laurent Wauquiez.

Unknown-10"Ce dernier n’est pas toujours présent aux réunions de la commission permanente, qui se tiennent à huis clos et s’occupent des « affaires courantes », mais, ce 18 janvier, il était bien là : il présidait même aux débats.

Dans la liste que nous publions, on ne compte pas moins de 35 subventions. Et il y a de tout. Cela va de la 11e Biennale internationale de sculpture sur bois de Condrieu au Carnaval des gones et des magnauds organisé par comité des fêtes de Saint-Pierre-de-Chandieu, en passant par la commémoration des 130 ans d’histoire des troupes alpines ou encore la reconstruction de l’orgue lancée par l’Association des Amis de l’orgue Saint-Bonaventure. Une liste éclectique et, à première vue, plutôt sympathique.

A première vue seulement car, au milieu de tout cela, se cache une subvention de 3 000 euros en faveur du Festival Ecrans mixtes. De quoi s’agit-il ? Du « Festival de cinéma queer de Lyon et de la Métropole de Lyon », qui commence ce mercredi 7 mars ! Qui va donc bénéficier de la même somme que celle que les socialistes lui avaient donnée en 2013, 2014 et 2015...

Or « Ecrans mixtes », ce n’est pas n’importe quoi. Depuis huit ans, ses organisateurs proposent un programme pour le moins trash et militant, quand il n’est pas totalement porno ! Certaines de ses programmations sont d’ailleurs interdites au moins de 18 ans. Qu’on en juge. [...]

 

La différence entre les homosexuels et les “homosexualistes”

6a00d83451619c69e201b8d2dc4a04970cInterrogé dans la revue LGBT Friendly, Jean-Marie Le Pen assure n'être « pas du tout » homophobe.

« D'ailleurs la plupart de mes collaborateurs sont homosexuels ». « Je fais bien la différence entre les homosexuels et les “homosexualistes” qui sont ceux qui transforment leur choix sexuel personnel en idéologie politique ».

« La LGBT, c'est un lobby qui veut peser sur l'opinion, et qui s'érige en représentant d'une communauté sans en avoir le mandat ». « A partir du moment où les homosexuels ne mettent pas leurs mains dans ma braguette ou dans celle de mes petits-enfants, et qu'ils ne se promènent pas avec une plume dans le cul sur les Champs-Elysées, ça m'est égal ».

Par ailleurs, selon lui, les agressions contre les homosexuels « viennent généralement de la part des musulmans, qui ont dans ce domaine un rigorisme plus marqué que d'autres religions ».


Valérie Pécresse court derrière la gauche LGBT, qui ne le lui rend pas

Capture d’écran 2018-03-05 à 19.37.17Toujours cette incapacité des politiques qui se disent de droite à de croire que, parce qu'ils feront des courbettes aux lobbys de gauche, ils seront forcément acceptés par ceux-là. La présidente LR de la région Ile-de-France Valérie Pécresse a été la cible de commentaires particulièrement acerbes émanant des militants LGBT.

Valérie Pécresse a salué le "carton plein" aux Césars du film célébrant Act Up, en rappelant que "la région Île-de-France [avait] soutenu ce magnifique film grâce à notre fond de soutien au cinéma et à l'audiovisuel". Les militants LGBT lui ont alors rappelé sa politique régionale, sa participation passée à la Manif pour tous ou encore son alliance aux dernières régionales avec Sens Commun.

Auprès de L'Obs, Valérie Pécresse a défendu la sincérité de son soutien tant au film qu'à la cause qu'il défend.

"Je suis personnellement intervenue pour que '120 battements par minute' puisse être subventionné par la région. Il n'avait pas été sélectionné lors de son premier passage en comité de lecture en raison du trop grand nombre de demandes. Il a pu être réexaminé une deuxième fois car on m'avait signalé le caractère exceptionnel du film". 

Mais rien n'y a fait. Conclusion, elle a perdu le soutien de sa droite sans gagner celle de sa gauche.


Pas question de recevoir des militants LGBT au Vatican

Unknown-27Le cardinal Kevin Farrell, préfet du Dicastère pour les laïcs, la famille et la vie est revenu le 1er mars sur la polémique autour de l′organisation d’une conférence au Vatican intégrant des militants LGBT (Lesbiennes, gays, bisexuels et transgenres). Le 8 mars, l′association Voices of Faith (Voix de la Foi) organisera à Rome une conférence autour de la place de la femme dans l′Eglise. L’objectif de cette manifestation est de “donner aux femmes catholiques les moyens de prendre part” aux décisions dans l’Eglise. La date de la conférence est choisie en fonction de la célébration de la Journée internationale des femmes, le 8 mars.

Originellement, la conférence aurait dû se tenir à la Casina Pio  IV, au Vatican. Le 2 février, deux participantes et militantes LGBT avaient été refusées par le cardinal Farrell en raison de leur position “contraire à l’enseignement de l’Eglise” :

  • l’ancienne présidente d’Irlande Mary McAleese, une catholique qui a étudié le droit canon à Rome,
  • l’avocate ougandaise Ssenfuka Juanita Warry, fondatrice d’une association de défense des personnes LGBT en Ouganda.

Toutes deux ont été barrées de la liste des noms par le cardinal Farrell.

Le fils de Mary McAleese, Justin, est un homosexuel connu, catholique et militant de premier plan lors du référendum sur le mariage homosexuel de mai 2015 en République d’Irlande.

“Ce n′est pas que nous ne voulons pas écouter” ni dialoguer, a assuré le cardinal américain. Mais il faut savoir distinguer “ce qui est à l′intérieur et hors du Vatican”. C′est un point “très important” qui “semble avoir été oublié”. 

En réaction à cette décision du cardinal Farrell, l’association a déplacé sa conférence au siège des Jésuites, à Rome, à 500 m du Vatican.


Le courage de Mgr Aillet face au lobby LGBT

Suite à l'organisation de conférences sur « l’accompagnement des personnes à tendance homosexuelle » les 7 mars à Bayonne et le 8 mars à Pau, animées par l’abbé Louis-Marie Guitton, délégué épiscopal pour la famille du diocèse de Fréjus-Toulon et aumônier national, le lobby LGBT s'en prend à l’association Courage, qui propose un suivi spirituel aux personnes qui veulent être accompagnées. Le lobby totalitaire ne veut pas que des personnes homosexuelles demandent un accompagnement à l'Eglise.

C'est l'occasion de mieux connaître l'association Courage, qui regroupe des « catholiques attirés par les gens de même sexe » choisissant la chasteté, et dont les membres « sont guidés par des chapelains attentionnés qui leur proposent réconciliation et direction dans leur vie spirituelle ». Sur sa page d’accueil, on lit :

Imag0091"Vous éprouvez des tendances homosexuelles ou vous avez un proche dans cette situation et vous cherchez des réponses?

Courage est un apostolat de l’Eglise catholique: il se propose d’aider ceux qui sont attirés par les personnes du même sexe ainsi que leurs proches. Nous sommes la seule organisation de ce type dans l’Eglise catholique qui soit approuvée par le Vatican.

Sur notre site, vous découvrirez comment, à travers la vie de chasteté proposée à tout chrétien, vous pouvez passer de l’ “identité” homosexuelle à une personnalité plus complète dans la personne du Christ.

Chez Courage, vous trouverez des hommes et des femmes qui partagent vos interrogations. Vous les rencontrerez en-ligne ou face à face, au cours des Réunions de Chapitre, des conférences et des journées de rencontre.

Découvrez qui nous sommes. Naviguez sur notre site. Rencontrez-nous. Vous ne le regretterez sûrement pas.

“Quand vous avez été mis à l’épreuve, ce ne fut jamais au-delà des forces humaines. Et Dieu est fidèle: il ne permettra pas que vous soyez éprouvés au-delà de ce qui est possible pour vous. Mais avec l’épreuve il vous donnera le moyen d’en sortir et la possibilité de la supporter.”

1 Co 10,13 

Mgr Marc Aillet a réagi calmement hier sur Radio Lapurdi Irratia et Radio Présence Lourdes Pyrénées. Voilà qui tranche avec l'hystérie du lobby LGBT, mais c'est vrai que nous y sommes habitués.


Ce monde de cinglés

Une série télévisée résume presque toutes nos perversions :

"La minisérie française J'ai deux amours (3 x 49', Italique Productions) sera diffusée dans la case fiction du jeudi, le 22 mars à partir de 20h55, indique Arte. Réalisée par Clément Michel sur un scénario d'Olivier Joyard et Jérôme Larcher (La Cour des grands), cette série romantique aux accents pop « explore avec finesse les aléas du désir » entre homosexualité, bisexualité, multiparentalité… Médecin urgentiste strasbourgeois à la vie bien cadrée, Hector (François Vincentelli) vit depuis cinq ans avec Jérémie (Olivier Barthélémy) quand il retrouve son amour de jeunesse, Louise (Julia Faure), après vingt ans de séparation. Amoureux de l'un comme de l'autre, il se refuse à choisir… Résolus à fonder une famille, les deux hommes projetaient d'avoir un enfant avec leur amie Anna (Camille Chamoux), homosexuelle en proie à un pressant désir d'enfant, qui s'est installée chez eux après une rupture douloureuse. Alors que Louise hésite à garder l'enfant qu'elle attend d'Hector, Jérémie et Anna annoncent que cette dernière est enceinte…"

Je n'ai pas vu cette série, mais si elle est logique avec la culture de mort ambiante, elle va se terminer par un avortement et quelques euthanasies...


Juristes pour l’enfance auditionné par le Comité consultatif national d’éthique

Communiqué :

Xrohk"L’Association Juristes pour l’enfance sera prochainement auditionnée à l’invitation du Comité consultatif national d’éthique pour faire part de ses observations sur les questions à l’ordre du jour des états généraux de la bioéthique.

L’Association souhaite alerter le législateur et les citoyens sur la nécessité de replacer l’intérêt de l’enfant au cœur de notre législation, tant du point de vue de sa conception (PMA et GPA) que de sa fin de vie.
L’Association attire l’attention du CCNE sur les risques d’une reconnaissance d’un véritable « droit à l’enfant » qui satisferait des désirs d’adultes en méconnaissance de l’intérêt et des droits de l’enfant, glissement annoncé notamment par les projets suivants :

  • La PMA pour les femmes qui aurait pour effet de priver l’enfant, délibérément et définitivement, de père, au mépris de son droit à connaître ses parents et à être élevé par eux, en contradiction avec la Convention internationale des droits de l’enfant
  • La GPA (qu’elle soit ou non qualifiée de pseudo « éthique ») qui entraînerait une méconnaissance des droits fondamentaux de l’enfant.

En outre, l’Association Juristes pour l’enfance demande au législateur de modifier certaines dispositions de la loi actuelle afin d’assurer un meilleur respect des droits de l’enfant que la France s’est engagée à respecter :

  • Mettre fin au don de gamètes qui prive l’enfant de ses origines
  • Remplacer la congélation des embryons par celle des gamètes
  • Mettre en œuvre les alternatives à la recherche sur l’embryon humain
  • Mettre fin aux trafics de GPA qui prolifèrent en méconnaissance de la loi actuelle
  • Exclure les mineurs de la procédure collégiale d’arrêt des traitements en fin de vie pour restituer aux parents l’autorité parentale, au profit de l’enfant."

Il est nécessaire d'abroger la loi Taubira dénaturant le mariage

Analyse de Ligne droite :

Images-8"L’institution du mariage, telle qu’elle existe dans notre civilisation depuis plus de quatre mille ans, consiste en l’union d’un homme et d’une femme pour donner naissance à des enfants et former une famille. Avec la loi sur le « mariage pour tous », la gauche n’a donc pas accordé le mariage aux homosexuels, elle a transformé le mariage traditionnel en pacs. Ligne droite estime dès lors nécessaire d’abroger la loi Taubira (sans effet rétroactif) et de s’opposer à la GPA ainsi qu’à la PMA pour les couples homosexuels.

Déconstruire les valeurs en gommant toutes les différences

Dans le cadre de leur entreprise de déconstruction des valeurs, les tenants du système poursuivent, depuis plusieurs années maintenant, un objectif nouveau, celui de l’indifférenciation. Il ne s’agit plus seulement de lutter contre les inégalités ni de chercher à établir une société sans classes, il faut aussi gommer toutes les différences. S’il est question de race, on en nie l’existence. S’il s’agit de sexe, on exige la parité intégrale en tout lieu et en toute circonstance, allant même jusqu’à envisager que l’on puisse choisir « son genre ».

Dans cette entreprise d’effacement des différences, ce sont toutefois les homosexuels qui s’affirment actuellement les plus militants. Naguère encore, nombre d’entre eux revendiquaient une place à part dans la société et certains, cultivant une démarche d’esthète, ont d’ailleurs enrichi par leur talent l’art ou la littérature de notre pays. Aujourd’hui, ils semblent au contraire s’être curieusement ralliés au conformisme du mariage et de la famille, deux institutions dans lesquelles ils voyaient plutôt jusque là des pratiques petites bourgeoises. Toujours encline à satisfaire les minorités contre la majorité, la gauche leur a accordé le mariage et bientôt, avec la PMA et la GPA, le droit d’élever des enfants.

L’altération d’une institution inchangée depuis plus de 4000 ans

Pour Ligne droite, cette loi dite du « mariage pour tous » n’est pas acceptable au regard des valeurs de notre civilisation qui s’affirment par des principes simples, clairs et forts. Le mariage est l’union d’un homme et d’une femme pour donner naissance à des enfants et les élever dans le cadre d’une famille. Un point c’est tout. Le mariage n’est pas la consécration officielle de l’amour. Il est ouvert à tous mais dans le cadre qui est le sien.

Telle est la position ferme qu’il eût fallu tenir face au pouvoir en s’appuyant sur une réalité immémoriale. Car le mariage, tel qu’on vient d’en rappeler la nature, est une institution qui remonte à Rome, à la Grèce antique et même bien au delà. C’est donc à une institution fondatrice de notre civilisation, et inchangée depuis plus de quatre mille ans, que François Hollande et ses amis se sont attaqués. Certes, les anciens grecs eux aussi pratiquaient les relations homosexuelles sans tabou ni ostracisme, mais ils n’ont jamais considéré qu’il y avait lieu pour autant de toucher à l’institution du mariage, car ils en connaissaient la nature et savaient combien il est dangereux d’ébranler les valeurs qui fondent la société.

Le mariage homo, c’est le pacs pour tous

Aujourd’hui, les tenants du Système semblent ne plus comprendre la nécessité de cette exigence pourtant fondamentale. Beaucoup de partisans du mariage pour tous s’étonnaient des réactions que suscitait leur loi. « Mais pourquoi réagir ainsi, disaient-ils, on donne des droits aux homosexuels sans vous en retirer à vous. En quoi cela vous gêne-t-il ? » Ils semblaient ne pas comprendre que cette loi détruit le mariage tel que notre civilisation l’a conçu et maintenu depuis des temps immémoriaux dans l’intérêt des hommes et de la société. Car, avec cette loi, ils n’ont pas accordé le mariage aux homosexuels, ils ont en réalité transformé le mariage traditionnel en pacs. Leur loi, ce n’est pas le mariage pour les homos, c’est le pacs pour tous. On peut d’ailleurs se demander si l’intention cachée des promoteurs de cette réforme n’était pas d’abord d’œuvrer à la déconstruction du mariage avant de donner de nouveaux droits aux homosexuels.

L’abrogation de la loi Taubira

Quoi qu’il en soit, Ligne droite considère aujourd’hui nécessaire d’abroger la loi Taubira sans effet rétroactif et de s’opposer fermement à la légalisation de la PMA pour les couples homosexuels ainsi que celle de la GPA. La société ne doit pas institutionnaliser d’autre foyer pour les enfants que celui de la famille avec un père et une mère, le cadre idéal pour leur équilibre et leur épanouissement. Pour autant, Ligne droite estime que les homosexuels ont toute leur place dans notre société mais que celle-ci pour perdurer ne doit pas abandonner ni altérer ses valeurs fondamentales. On peut tolérer que celles-ci soient transgressées, mais on ne peut accepter que la transgression soit érigée en règle, faute de quoi il n’y a plus de valeur et tout vaut tout.

Pour retrouver l’harmonie, la société française a besoin de règles immuables et de repères fixes qui s’enracinent dans le lointain passé de notre civilisation.

Il faut tenir bon sur les valeurs."


LGBT et GPA : quand ça explose, ce n'est pas simple...

Unknown-31Pour promouvoir le commerce des mères porteuses, les médias ont mis en avant l'animateur de télévision Alex Goude qui a "épousé son mari" en 2013. Les deux hommes ont fait concevoir et acheter un enfant via GPA.

En 2016, on apprenait qu'ils voulaient se faire fabriquer un deuxième enfant. Le 1er enfant né en 2015 avait tout juste 1 an. Tout ceci est raconté sur l'air d'un conte de fées :

"Le 11 février dernier, Elliot, le fils d'Alex Goude et de son mari Romain, a fêté son premier anniversaire. Papas comblés, les deux hommes confient au magazine Gala être prêts à agrandir leur jolie famille."

"Père comblé, Alex Goude est également un homme fou amoureux de son époux (ils sont mariés depuis 2013)."

En 2018, cette union merveilleuse pro GPA que les médias nous vantent depuis 2 ans explose : l'animateur poursuit sa carrière en France, et son ancien compagnon vit désormais aux Etats-Unis. Résultat, le petit garçon de 3 ans n'a pas de mère et il sera trimballé entre la France et les Etats-Unis en fonction de l'agenda des 2 hommes. Comme le souligne l'article "ce n'est pas simple compte tenu des circonstances".

 

"Fake new" : encore une intox des Décodeurs du Monde

Thumbnail-3En 2014, Samuel Laurent des Décodeurs du Monde expliquait qu'il n'y avait pas de lien entre la loi Taubira et la PMA pour tous.

En 2018, c'est Erwan Binet, rapporteur de la loi Taubira, qui fait la promotion de l'extension de la PMA, la fabrication d'enfants en éprouvette, chez les franc-maçons.


Un symbole LGBT associé à la robe du portrait officiel de Michelle Obama

Lu ici :

Lhistoire-derriere-la-robe-portee-par-michelle-obama-sur-son-portrait-officiel_1"Pour leurs portraits officiels respectifs, dévoilés ce lundi 12 février à la National Portrait Gallery de Washington, l'ex-président des États-Unis et son épouse avaient fait appel à des artistes très différents; quand Kehinde Wiley s'est attelé à immortaliser Barack Obama sur toile, c'est Amy Sherald qui avait été sélectionnée par Michelle Obama pour la représenter.

Sur son portrait, Michelle Obama est représentée sur fond bleu, posant dans une robe signée de la créatrice Michelle Smith de la marque Milly. Cette création graphique, en noir et blanc aux rares notes de couleurs n'aurait pas été choisie au hasard par l'artiste et l'ex-First Lady. (...) Interrogée par Vogue.com, la créatrice (...) explique que cette tenue est censée représenter une «robe que Mme Obama pourrait porter dans sa vie de tous les jours, comme sur un portrait emblématique.» (...) Cette saison là, j'étais inspirée par un désir d'égalité, d'égalité des droits de la personne, d'égalité raciale et d'égalité pour les personnes LGBT», confie la créatrice au Washington Post, «L'un des éléments récurrents de la collection était le laçage sous différentes formes (...) censé suggérer le sentiment d'être retenu... que nous ne sommes pas encore arrivés à l'égalitéUn message clair, dans la lignée des prises de position de l'ex-First Lady ainsi que de ses tenues."

Heureusement, les Américains sont débarrassés d'une telle "first lady" pour quelques années...


Après le « mariage » homosexuel, la franc-maçonnerie veut la PMA

Lu ici :

" Le 21 février, le temple maçonnique du Grand Orient de France accueillera une conférence « publique » sur le thème « Du mariage pour tous à la PMA ».L’un des deux intervenants sera Erwann Binet, cet ancien député socialiste qui fut rapporteur du projet de loi Taubira légalisant le mariage entre personnes de même sexe (...) Cette réunion maçonnique confirme que la stratégie du saucissonnage est toujours en vigueur parmi les forces occultes."

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Homosexualité et pédophilie : le témoignage de Moira Greyland

51HbktWZQoLMoira Greyland, fille d’un homosexuel et d’une lesbienne pédophiles, raconte dans un livre, à quarante ans passés, les horreurs subies en familleA l’entendre et à la lire, la pédophilie a un lien avec l’homosexualité.

« Je suis née dans une famille d’auteurs païens célèbres à la fin des années soixante. Ma mère était Marion Zimmer Bradley, et mon père était Walter Breen. A eux deux, ils ont écrit plus de cent livres : ma mère a écrit de la science-fiction et de la fantasy (Mists of Avalon), et mon père a écrit des livres sur la numismatique ».

Son livre à charge, glauque, révèle les horreurs de son enfance passée sous la houlette de parents LGBT, familiers des drogues, habitués des orgies, adeptes des pratiques occultes, qui ont sexuellement abusé d’elle ainsi que de ses frères à plusieurs reprises, l’ont psychologiquement violentée et marquée à vie.

C’est à la fin des années 1980 que Moira devenue adulte, a pu enfin faire traîner son père en justice l’ayant personnellement vu abuser sexuellement d’un petit garçon de 10 ans. Une dénonciation qui engendra plusieurs condamnations – les victimes étaient légion – et Walter Breen alla en prison pour le reste de sa vie. Sa femme, Zimmer Bradley, a non seulement reconnu le penchant de son mari au procès-verbal, mais aussi un certain nombre des viols qu’elle avait laissé faire.

Ses propres abus sexuels commis sur sa fille Moira ne furent connus, eux, qu’en 2014. Son livre récent achève de confirmer une réflexion politiquement très incorrecte sur l’homosexualité.

« J’ai entendu toutes les protestations habituelles. « “Vos parents étaient méchants parce qu’ils étaient méchants, pas parce qu’ils étaient gaysˮ, mais je ne suis pas d’accord ».

Ses deux parents se définissaient comme homosexuels. Mais ils voyaient la pédophilie comme une conséquence naturelle, une concrétisation pleine et logique de leur sexualité (et même de la sexualité). Le père de Moira Greyland était un membre ouvert de la « North American Man-Boy Love Association ». Lui et Zimmer Bradley ont publié conjointement un journal sur la pédérastie et la pédophilie, The International Journal of Greek Love, en 1965. En 1966, Zimmer a écrit un article traitant de la pédophilie lesbienne d’une manière positive et dans ses livres de fantasy, il est aisé de découvrir ces thèmes déclinés dans l’ombre.

Pour Moira Greyland, l’idée profonde de la communauté gay est que la société est contrainte à une pratique hétérosexuelle imposée. Et que seule une expérience sexuelle précoce empêchera les enfants d’être enfermés dans cette sphère profondément réductrice. Car enfin, « Le sexe a toujours raison, quelque forme qu’il revête » – il est bon par nature et forcément bénéfique pour les deux parties. Donc il FAUT éduquer les enfants en ce sens, pour leur ouvrir les yeux sur « ce qu’ils sont réellement » – jouisseurs avant tout, de toutes les manières. Ainsi le sexe précoce fera disparaître l’homophobie, mais « détruira aussi la famille nucléaire haïe avec son paternalisme, son sexisme et son âgisme »… « Si suffisamment d’enfants sont sexualisés assez jeunes, la pédophilie sera soudainement ‘normale’ et acceptée par tout le monde, et les vieilles notions sur la fidélité disparaîtront » écrit Moira Greyland dans un long article publié sur askthebigot.com.

C’est à ce moment qu’elle a commencé à dénoncer le mariage homosexuel, s’aliénant, ce faisant, la plupart de ses partisans :

« Ils ne veulent pas accepter la possibilité que l’homosexualité puisse avoir pour résultat de détruire des enfants et même de détruire les adultes qui insistent pour rester dans son esclavage. »

« Chaque enfant de parents gays avec qui j’ai parlé avait certaines choses en commun. Ceux qui n’avaient que des parents de même sexe à la maison avaient soif de leur parent disparu et aspiraient à un vrai père, et presque tous avaient été sexualisés trop jeunes ».


Requête contre une subvention de 100 000€ à une association LGBT

Unknown-15Une requête a été déposée contre les 100 000 € alloués en 2013 par la Ville de Marseille à l’association Lesbian & Gay Parade Marseille pour organiser l’Europride dans la cité phocéenne. Le tribunal doit rendre sa décision sous quinzaine et le rapporteur public a conclu au rejet au fond. L’avocat André Bonnet indique déjà :

« On verra ce que dira le tribunal mais je pense qu’on ira en appel ».

Sur le fond, la Manif pour tous soutient que l’attribution d’une telle subvention « échappe à la compétence communale »,

« la commune ne pouvait légalement s’engager dans un débat politique national, étant rappelé que l’un des objectifs principaux annoncés de la manifestation était l’obtention du mariage homosexuel et que la loi n’avait alors pas encore été adoptée ».

La manifestation avait été entachée de nombreux couacs, concerts annulés ou déplacés, militants étrangers ayant reçu leur invitation trop tardivement pour avoir leur visa, et globalement la fréquentation avait été beaucoup moins importante que prévue.


Le centre LGBT de Nantes doit rembourser 22000€ de subventions

Unknown-12Par une requête déposée par deux contribuables nantais et le 10 novembre 2017, il était demandé au tribunal d’annuler la délibération du 5 février 2016 par laquelle le conseil municipal de la ville de Nantes a approuvé les termes de la convention pluriannuelle de financement 2016-2018 conclue avec l’association Centre Lesbien, Gay, Bi et Transidentitaire (LGBT) de Nantes et autorisé le maire à signer cette convention ;et d’enjoindre à la commune de Nantes d’émettre un titre de recette à fin de remboursement de la subvention de 22 000 € allouée au Centre LGBT de Nantes.

L'audience a eu lie le 10 janvier 2018 et le jugement a été rendu le 7 février. La justice estime que :

  • la délibération méconnaît les dispositions de l’article 10 de la loi n°2000-321 du 12 avril 2000 relative aux droits des citoyens dans leurs relations avec les administrations en ce qu’elle approuve une convention allouant une subvention pluriannuelle sur la période 2016-2018 sans en définir le montant pour les années 2017 et 2018 ;
  • l’attribution de cette subvention ne répond pas à un intérêt public local suffisant ;
  • l’attribution de cette subvention à une association intervenant au profit d’une catégorie de population seulement méconnaît le principe d’égalité ;
  • l’attribution de cette subvention méconnaît le principe de neutralité en ce qu’elle est versée à une association menant des actions à caractère politique et apportant son soutien à la gestation pour autrui, pratique illicite pénalement sanctionnée ;
  • l’attribution de la subvention contrevient aux dispositions des articles 227-12 et 121-7 du code pénal.

Par conséquent, le juge décide que :

  • La délibération du conseil municipal de la commune de Nantes du 5 février 2016 est annulée.
  • Il est enjoint à la commune de Nantes de procéder au recouvrement de la somme de 22 000 (vingt deux mille) euros attribuée à l’association Centre LGBT dans le délai de deux mois à compter de la notification du présent jugement.

C'est la 3e bonne nouvelle de la journée dans la lutte contre les revendications LGBT (après la décision de la CEDH et celle d'un juge de Californie).


Totalitarisme LGBT : liberté reconnue pour les pâtissiers

Unknown-11Nouvelle bonne nouvelle contre le front des revendications LGBT. Un tribunal de Californie a reconnu lundi à une pâtissière le droit de refuser de vendre un gâteau de mariage à deux personnes de même sexe. Devant les deux lesbiennes préparant leur mariage, Cathy Miller avait invoqué ses « convictions religieuses » pour ne pas confectionner le gâteau. Le juge a expliqué :

« Aucun pâtisser n'a le droit de mettre ses produits dans un vitrine publique, d'ouvrir sa boutique puis de refuser des ventes pour des questions de race, religion, genre où identité sexuelle. La différence ici est que le gâteau en question n'a pas encore été cuisiné et que l'Etat de Californie (qui a engagé les poursuites), veut forcer (la pâtissière Cathy) Miller à utiliser ses talents pour créer un gâteau qu'elle n'a pas encore fait tout en sachant que son œuvre sera affichée pour célébrer une union que sa religion interdit. Si ce tribunal forçait (Cathy Miller) à obtempérer, ce serait faire violence à l'essence de la liberté d'expression garantie dans le premier amendement de la Constitution. »


Coup d'arrêt européen à la PMA sans père

Les Juristes pour l'enfance se réjouissent de ce revers du lobby LGBT :

Capture d’écran 2018-02-08 à 17.42.26"La Cour européenne des droits de l’homme vient de rendre ce jour sa décision dans l’affaire Charron and Merle-Montet v. France. Deux femmes mariées s’étant vues refuser une insémination artificielle par un hôpital français ont saisi la Cour européenne des droits de l’homme. L’hôpital n’avait fait qu’appliquer la loi française qui ne prévoit la PMA que pour compenser un problème d’infertilité pathologique, médicalement diagnostiquée selon les termes de l’article L 2141-2 du Code de la santé publique. Elles invoquaient une prétendue atteinte à leur vie privée et une prétendue discrimination subie par rapport aux couples homme/femme ayant accès à la PMA. La Cour européenne n’examinera pas leur requête car les intéressées n’ont pas épuisé les voies de recours internes. Mais, en tout état de cause, ni la vie privée des intéressées, ni l’égalité ne sont en cause ici.

Vie privée des femmes ? 

Les femmes revendiquent leur autonomie à avoir des enfants de la manière qu’elles choisissent ; pourtant, dès lors qu’elles sollicitent le législateur, elles cessent d’être autonomes et le comité d’éthique ne peut que constater l’évidence : ce qui est revendiqué comme une « libre disposition de soi requiert d’impliquer les autres (corps médical, tiers donneur, enfants, société) » (CCNE, Avis n° 126 du 15 juin 2017 sur les demandes sociétales de recours à l’assistance médicale à la procréation (AMP), p. 6). En effet, les femmes qui invoquent leur prétendue autonomie, en réalité exigent de la société qu’elle leur fournisse du sperme. Comme le relève encore le comité d’éthique, la liberté des femmes de procréer, ou non, « lorsqu’elle s’exerce dans la sphère privée, que les femmes soient seules ou en couple, n’autorise pas de droit de regard de la société […]. Mais, lorsqu’il est demandé à la société de reconnaître une possibilité d’accès à des techniques médicales jusqu’à présent réservées aux infertilités de nature pathologique, il est de sa responsabilité de mettre en question les intérêts de ces femmes en les confrontant à d’autres intérêts » (avis p. 18). Or, l’organisation légale de l’insémination de femmes seules ou en couples de femmes priverait, de droit, les enfants concernés de père. Une telle loi, organisant l’effacement du père, méconnaîtrait les droits de l’enfant garantis par la Convention internationale des droits de l’enfant selon laquelle l’enfant a, dans la mesure du possible, le droit de connaître ses parents et d’être élevé par eux.

Discrimination ? 

Il faut rappeler que les couples homme/femme n’ont pas droit à la PMA, mais n’y ont accès que s’ils souffrent d’une infertilité médicalement diagnostiquée. Les couples homme/femme fertiles, qui n’ont pas accès à la PMA, ne subissent de ce fait aucune inégalité, pas plus que les femmes seules ou les couples de femmes. L’égalité ne signifie pas de traiter tout le monde de la même manière mais seulement ceux qui sont dans la même situation ou des situations équivalentes. Or, une femme seule ou en couple de femmes ne sont pas dans une situation équivalente, au regard de la procréation, à celle d’un couple homme/femme, vivant et en âge de procréer.

C’est pourquoi la Cour européenne des droits de l’homme a déjà validé la loi française sur la PMA, dans la décision du 15 mars 2012, Gas et Dubois c/ France (n° 25951/07, § 63). Alors que deux femmes se plaignaient de ce que la loi française réserve la PMA aux cas de d’infertilité pathologique, la Cour européenne a clairement jugé que la loi française n’était en rien discriminatoire de ce fait : « si le droit français ne prévoit l’accès à ce dispositif que pour les couples hétérosexuels, cet accès est également subordonné à l’existence d’un but thérapeutique, visant notamment à remédier à une infertilité dont le caractère pathologique a été médicalement constaté ou à éviter la transmission d’une maladie grave. Ainsi, pour l’essentiel, l’IAD n’est autorisée en France qu’au profit des couples hétérosexuels infertiles, situation qui n’est pas comparable à celle des requérantes [couple de femmes]. Il s’ensuit, pour la Cour, que la législation française concernant l’IAD ne peut être considérée comme étant à l’origine d’une différence de traitement dont les requérantes seraient victimes ».

L’association Juristes pour l’enfance se réjouit de cette décision d’aujourd’hui par laquelle la Cour européenne refuse d’examiner une requête en faveur de la PMA sans père : il existe en effet suffisamment d’enfants privés de père par les malheurs de la vie, ce n’est pas à la loi d’organiser cette privation et cette souffrance."


La CEDH juge à l’unanimité la requête de deux femmes en faveur de la PMA sans père définitivement irrecevable

La Manif Pour Tous se réjouit (et nous aussi) :

"Deux femmes mariées qui n’avaient pu bénéficier d’une assistance médicale à la procréation auprès du CHU de Toulouse en vertu de la loi française avaient déposé en 2015 une requête auprès de la Cour européenne des droits de l’Homme en s’appuyant sur l’article 8 (qui concerne le droit au respect de la vie privée et familiale) et l’article 14 (portant sur l’interdiction de la discrimination).

Finalement, la CEDH a déclaré, à l’unanimité, la requête irrecevable et ce, de manière définitive.

Cette affaire appelle plusieurs remarques sur ce sujet de la PMA sans père qui divise profondément la société française :

La Manif Pour Tous souligne d’abord que l’article L. 2141-2 du code de la santé publique français, contrairement à ce qui est souvent dit, ne fait aucunement référence à l’orientation sexuelle du couple demandeur. La condition indiquée est que le couple demandeur doit être un couple homme-femme, celui-ci étant de fait le seul susceptible de concevoir un enfant. Il s’agit là d’une règle générale, même si elle souffre d’exceptions en raison de problèmes d’origine médicale, ceux pour lesquels la médecine intervient. A l’inverse, dans un couple de personnes de même sexe, la règle universelle est qu’il ne peut concevoir un enfant, et que cette règle ne souffre pas d’exception.

Certes le couple homme-femme est a priori hétérosexuel, mais il pourrait par exemple être bisexuel : cela ne regarderait pas le corps médical qui n’a pas à l’interroger là-dessus : ce qui le regarde, c’est de savoir si le couple a des difficultés d’ordre médical pour concevoir un enfant, auquel le corps médical intervient. Cela signifie que tous les couples souffrant de problèmes d’ordre médicaux pour concevoir un enfant ont bien accès à la PMA. Quant aux personnes seules ou aux couples, y compris hétérosexuels, qui ne souffrent pas d’une pathologie de la fertilité ou d’une maladie d’une particulière gravité susceptible d’être transmise à l’enfant ou au conjoint, ils ne peuvent y recourir quel que soit le motif (âge trop avancé, décès après conservation du sperme, absence d’homme, etc). Cela signifie qu’il n’y a pas de discrimination fondée sur l’orientation sexuelle contrairement à ce qui est sans cesse répété par les militants de la PMA sans père.

Par ailleurs, en ce qui concerne « la vie privée et familiale », le flou de cette expression ne devrait pas faire oublier aux requérantes et à leur avocate auprès de la CEDH que « le respect de la vie privée et familiale » est aussi et d’abord dû au plus vulnérable, l’enfant. Or priver sciemment un enfant de père, l’amputer de sa filiation paternelle, serait à l’évidence un manque de respect sans équivalent à l’égard de sa vie privée et familiale. Bien au-delà, ce serait une immense violence et injustice faites à l’enfant.

Enfin, les requérantes et leur avocate, oubliant de penser à l’enfant qui naîtrait d’une PMA en l’absence de père, déclarent lutter pour l’égalité : mais que font-elles de la nouvelle et immense inégalité créée entre des enfants sciemment privés de père et les autres qui ont un père et une mère, qu’ils vivent ou non avec les deux ? Comme la CEDH l’a fait précédemment remarquer, le « droit à l’enfant » n’existe pas, quels que soient les motifs invoqués."


On n'encadre pas la GPA, on l'abolit !

Communiqué de La Manif Pour Tous :

Images"Alors que le fait d'abuser de la femme scandalise et mobilise enfin la planète entière, la France laissera-t-elle la Conférence de La Haye faciliter cette nouvelle forme d'aliénation qu'est la pratique des mères porteuses ?

Quelle position défendra la France, patrie des droits de l'Homme, lors de la réunion organisée par la Conférence de La Haye sur la pratique des mères porteuses du 6 au 9 février 2018 ? Le Bureau Permanent de la Conférence de La Haye de droit international privé travaille depuis plusieurs années sur « les questions de droit international privés liées à la filiation juridique des enfants en particulier dans le cadre de conventions de maternité de substitution ». La France fait partie des Etats représentés au sein du groupe de travail dédié.

Annonçant une nouvelle réunion sur ce sujet, prévue du 6 au 9 février 2018, la Conférence de La Haye présente de manière ambiguë la problématique de la gestation pour autrui (GPA, ou pratique des mères porteuses). Soulignant la diversité des législations nationales et les conséquences difficiles créées par la GPA, la Conférence de La Haye ne semble pas consciente de l'aliénation de la femme et de la réification de l'enfant inhérent à la pratique des mères porteuses, problèmes humains majeurs qu'elle n'évoque même pas.

La Manif Pour Tous note d'ailleurs que parmi les 4 questionnaires réalisés par la Conférence de La Haye pour travailler sur ce sujet, pas un seul ne s'adresse aux associations et ONG - pourtant très nombreuses - qui défendent les femmes, les enfants et la famille. C'est au contraire aux agences de GPA, celles qui font du profit sur le dos des femmes et des enfants, que s'adresse l'un des questionnaires de la Conférence de La Haye (les autres s'adressant aux Etats, aux professionnels de la santé et aux civilistes). Comme ne cessent de le dire de très nombreuses associations et personnalités de tous bords philosophiques et politiques, le problème posé par la GPA est avant tout l'exploitation des femmes et le fait d'arracher des enfants à leur mère. Qu'elle soit gratuite ou payante n'y change rien : la pratique des mères porteuses réduit la femme au statut d'incubatrice et fait de l'enfant l'objet d'un contrat. Du point de vue de la dignité humaine, de la psychologie de la mère et de l'enfant, de la filiation transformée en puzzle ou encore de la marchandisation de l'humain, la GPA est une pratique contre laquelle tous les moyens possibles doivent être mise en œuvre pour la faire cesser.

Ancien Premier ministre aujourd'hui député LREM, Manuel Valls déclarait le 3 octobre 2014 dans une interview de référence accordée au quotidien La Croix, « autoriser la transcription automatique des actes étrangers équivaudrait à accepter et normaliser la GPA. » Et il ajoutait : « il est incohérent de désigner comme parents des personnes ayant eu recours à une technique clairement prohibée... tout en affirmant qu'ils sont responsables de l'éducation des enfants, c'est-à-dire chargés de la transmission de nos droits et de nos devoirs. Il ne faut pas laisser dire non plus que ces enfants sont sans filiation ni identité. Ils ont une filiation et une identité, mais établies à l'étranger. »

Le processus en cours à la Conférence de La Haye est dangereux parce qu'il est susceptible de conduire à avaliser les effets des contrats de GPA. Alors que depuis quelques semaines, les langues se délient et que le monde entier se mobilise contre les abus et violences faites aux femmes, la France laissera-t-elle la Conférence de La Haye faciliter cette nouvelle forme d'aliénation de la femme sous le mauvais prétexte de résoudre des questions de filiation créées par cette pratique ? Avant et après son élection à la présidence de la République française, Emmanuel Macron s'est à maintes reprises déclaré opposé à la GPA. Quelle intervention prévoit-il donc pour faire entendre une voix forte et assumée au sein du processus en cours à La Haye ?"


L'imposture des Etats Généraux de la bioéthique

Anne Lorne, conseillère régionale LR à la région Rhône-Alpes, participait ce soir à une réunion des Etats-Généraux de la bioéthique. Sur Twitter, elle dénonce :

JNWHNAFG_400x400"A quoi sert ce cirque? C’est une stratégie pour le Gouvernement de dire : on a débattu et on fait passer la loi. Sauf que ici ce soir : aucun débat, questions biaisées, postulat de la loi déjà engagé, animateur débordé, salle largement opposée et donc brimée... Mais c’est une blague! L’animateur martèle que le législateur n’a pas d’avis, qu’il attend NOTRE avis. Mais dans la salle, 80% des gens ne sont pas contents de la tournure des débats et la majorité sont contre la PMA et ne peuvent s’exprimer! L'animateur ne cesse de parler une novlangue insupportable, « démocratie participative en éthique »??? Et d’assurer que rien n’est décidé! quand je parle de l’avis du CCNE il répond « peut-être mais rien n’est tranché ». On se moque littéralement de nous."

Ce témoignage n'est pas isolé. A Angers, Barbara Mazières constate également que les débats sont verrouillés. Alors que, dans la plupart des cas, l'ensemble des personnes qui assiste aux réunion est hostile à la révision des lois de bioéthiques.

QZyZ-2PT_400x400"L'opposition forte de la salle est claire et nette. Oui nous sommes très majoritairement contre. Mais quand les questions sont cadrées, orientées, j'appelle ce genre de débat une fumisterie! Ne vous laissez pas abuser."

Si vous avez d'autres témoignages, n'hésitez pas à me les faire parvenir.

Sur Boulevard Voltaire, Rémy Mahoudeaux s'étonne que le questionnaire établi par l’Espace de réflexion éthique du Poitou–Charentes présente des questions réponses orientées. Par exemple sur l'euthanasie :

« 13 – Pensez-vous que la loi actuelle sur la fin de vie est suffisante ?

– Oui
– Non
– Je ne connais pas assez la loi pour me prononcer

Sinon, pensez-vous au contraire qu’il faille aussi autoriser : le suicide assisté, c’est-à-dire la possibilité pour un tiers de délivrer un produit létal permettant à celui qui le souhaite de mettre fin à ses jours.
Ou l’euthanasie, c’est-à-dire la possibilité pour un patient souffrant d’une maladie incurable de demander à un médecin de mettre fin à ses jours. Choisissez une des réponses suivantes :

– Je suis favorable au suicide assisté
– Je suis favorable à l’euthanasie

Quelle que soit votre réponse, pourriez-vous argumenter en quelques mots votre position ? »

Et sinon vous voulez mourir d'une balle dans la tête ou au couteau de cuisine ? On reconnaît là les vieilles recettes de contrôle des foules...

Comme celle-ci :

Tintin-pays-soviets-voteOu celle-là : 

80577437