"Après le défouloir auquel se sont livrés certains « étudiants » à l’occasion de la contestation de la loi ORE, l’heure est au bilan. Celui-ci est tout à fait nul en ce qui concerne l’efficacité de l’opposition à la loi sur la sélection : blocages et occupations des universités n’ont servi à rien, en l’absence notamment d’un soutien massif des étudiants et à cause de dérives idéologiques minoritaires.
En revanche les distractions militantes de l’extrême-gauche ont un coût : plus de 7 millions d’euros afin de réparer les nombreuses dégradations commises. Des dépenses qui viendront évidemment affecter le budget du Ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, ce qui n’empêchera pas nos belles âmes « révolutionnaires » de demander son augmentation à tout-va.
Les « dégradeurs » de l’université ne sont plus des enfants, ils doivent assumer leurs actes et contribuer financièrement à ces dépenses, d’autant qu’ils n’appartiennent probablement pas aux classes défavorisées puisqu’ils peuvent se permettre de rester oisifs des semaines durant. La Cocarde Étudiante soutient dès lors le principe du « casseur-payeur ». Et dans l’optique où d’autres actes de ce genre ne manqueraient pas de se reproduire, nous soutenons la proposition de certains présidents d’université lorsqu’ils demandent à avoir accès à la vidéosurveillance des établissements pour identifier les individus se livrant à des dégradations. Utilisées à cette fin, les caméras serviront le bien commun."
Les actions des Identitaires ont donné des idées aux riverains... A 5h45 ce mercredi matin, les riverains se sont mobilisés devant l’entrée pour empêcher l’ouverture du centre. Bruno André, directeur de cabinet du Préfet de Paris, a annoncé qu’une discussion aurait lieu jeudi à 15 heures avec les riverains. Il s’est engagé à ne prendre « aucune décision sans accord de la majorité des locataires ».
Une riveraine témoigne :
« On nous propose de nous barricader. Ils veulent mettre une cloison pour séparer l’entrée du gymnase de l’entrée de l’immeuble, ça va ressembler à une maison d’arrêt ! »
« On nous dit que c’est provisoire, qu’ils resteront ici jusqu’au 17 septembre. Mais on n’en veut pas ! ».
Une situation qui « risque de finir en émeute », craint un habitant.
"Mais cette liberté est nécessaire à l’accomplissement de chacun. L’auteur explique également que la restriction du rôle de l’Etat et l’extension de celui des individus et des communautés qu’ils forment librement, dans le respect du principe de subsidiarité, favorise la réponse aux besoins des personnes au plus près de chacune d’elle. Il s’affiche résolument favorable à l’économie de marché et à la liberté économique, non pas pour elles-mêmes, mais comme des éléments de l’ordre naturel de la liberté, capables d’offrir « des règles justes et égales pour tous, un respect strict des règles de propriété, des opportunités de charité, et un usage avisé des ressources » (p.19). Partout ou il a réellement été tenté, le capitalisme, dit-il « a été synonyme de créativité, de croissance, d’abondance et surtout de l’application économique du principe selon lequel tout être humain est doté d’une dignité devant être respectée » (ibidem).
Il défend la concurrence qui équilibre les échanges bien mieux que toute planification centralisée. Il explique que la propriété est la meilleure garantie des droits de l’homme et représente « la solution pacifique au problème de rareté » (p.50). Il ne s’agit pas pour autant de considérer que le système de la propriété privée et de la libre entreprise sont parfaits « pour la simple et bonne raison que les hommes ne le sont pas » (p.58). Mais « dans une économie de marché ou l’État de droit est respecté, les entreprises ne fleurissent pas en détroussant les autres. Elles ont du succès lorsqu’elles savent anticiper les besoins d’autrui et qu’elles fournissent des biens et services à des prix que les consommateurs sont disposés à payer » (p.75). Et il lui paraît incontestable que la liberté d’entreprise est ce qui permet le mieux de sortir de la pauvreté au plus grand nombre de gens. C’est la raison pour laquelle l’Institut Acton, créé par ses soins aux Etats-Unis il y a 30 ans, « en explorant les moyens de venir en aide aux pauvres, ne se demande jamais « quelle est la cause de la pauvreté ? », mais plutôt « quelle est la cause de la richesse ? » (p. 71). L’erreur majeure des socialistes et autres étatistes, souligne-t-il, est de penser l’économie et plus généralement le monde comme des jeux à sommes nulle, ce qui est ignorer complètement l’immense capacité humaine à créer de la valeur, à répondre aux défis qui naissent chaque jour et souvent du progrès dû à notre propre créativité."
Damieu Rieu, l’un des animateurs du collectif « French Lives Matter », explique à Samuel Martin dans Présent cet anglicisme et la raison d’être du collectif.
"Que signifie « French Lives Matter », et à quoi l’expression fait-elle référence ?
Littéralement, cela se traduit par « les vies des Français comptent ». C’est une référence au mouvement militant afro-américain Black Lives Matter qui instrumentalise chaque décès ou arrestation d’un criminel noir aux Etats-Unis pour alimenter son idéologie : la police américaine s’acharnerait contre les Noirs car elle serait raciste. L’objectif pour ce mouvement est d’obtenir une quasi-impunité pour les criminels noirs, qui seraient soit innocents et victimes de préjugés, soit responsables mais pas coupables car c’est la société raciste qui les pousse à devenir des criminels. En France, des mouvements d’extrême gauche s’inspirent de Black Lives Matter pour obtenir la même chose. On l’a bien vu dans l’affaire Théo : désormais, chaque fois qu’un jeune délinquant issu de l’immigration meurt ou est blessé lors d’une opération de police, les policiers sont accusés de racisme. Même quand le suspect en question attaque les policiers ou se tue lui-même en scooter en voulant leur échapper.
L’objectif du collectif French Lives Matter est de montrer que, pendant ce temps, des dizaines de Français sont tués par des étrangers, des clandestins ou des immigrés, sans provoquer d’indignation médiatique ou de mobilisations de personnalités.
Sur votre site, vous vous décrivez comme un collectif. Mais aucun nom n’apparaît. Pouvez-vous le situer politiquement ?
Le projet est animé par une équipe de militants proche du site fdesouche.com, mais pas que. Chacun est libre d’utiliser ou de partager les données, c’est l’objectif. Notre site FrenchLivesMatter.fr est avant tout participatif, les internautes peuvent proposer l’ajout d’un crime. L’équipe vérifie ensuite les sources et ajoute le crime à la carte, s’il répond aux critères.
Combien de cas sont-ils recensés sur votre site, lancé en début d’année ?
Pour l’instant nous avons comptabilisé près d’une centaine de victimes de meurtres, sans compter les victimes des attentats islamistes bien sûr. Nous avons récemment renoncé à comptabiliser les agressions et les viols : il y en avait trop, c’était impossible à tenir. [...]"
"Le 17 août dernier, une femme, Magdalena Cocatrix, a expulsé seule, chez elle, un foetus à 3 mois de grossesse. Elle s’était rendue juste avant aux urgences de l’hôpital de Besançon après avoir perdu beaucoup de sang. Deux violentes douleurs au ventre l’ont réveillée dans la nuit du 16 au 17 août. Au petit matin, se souvient-elle dans les colonnes de l'Est républicain , j’ai constaté que mon lit était trempé de sang. C’était trop grave. J’ai attendu que l’hémorragie cesse et je me suis rendue, par mes propres moyens, au CHU Minjoz. Impossible d’attendre ma prochaine visite de contrôle prévue le 23 août.
Malgré un dossier rempli d’alertes du même type depuis un mois, elle attend plus de trois heures avant d’être prise en charge aux urgences, en raison de cas plus sérieux que le sien. Le diagnostic suite à l'échographie est sans appel, on lui dit que son foetus a cessé de vivre. Aucune autre information ne lui est fournie ni sur les causes, ni sur ses pertes abondantes de sang. Elle ressort avec une ordonnance d’antidouleur.
Le personnel m’a précisé que je pouvais rentrer chez moi et que le fœtus sortirait tout seul petit à petit,rappelle MagdalenaJ’ai pris le tram et les contractions ont commencé. J’avais atrocement mal. A peine arrivée chez moi, j’ai senti qu’une petite masse était expulsée. Mon pantalon était recouvert de sang. Je me suis enfermée à la salle de bains et me suis dévêtue avant d’aller dans la baignoire vide. J’ai recueilli mon bébé dans les mains. Il mesurait environ 7 cm et était entier, formé. J’ai encore poussé 20 minutes pour rejeter le placenta. J’avais peur d’une infection et d’une hémorragie massive. Son compagnon, affolé, appelle les urgences gynéco-obstétricales pour savoir quoi faire. Mal reçu dans un premier temps, il doit insister pour qu'on l'écoute. Il demande s’ils peuvent revenir pour surveiller l’état de sa compagne et prendre le fœtus.La personne au bout du fil m’a dit que l’hôpital n’en ferait rien et que nous n’avions qu’à le mettre à la poubelle !, explique-t-il. Et de s'insurger : Comment peut-on dire une chose pareille ? Comment peut-on abandonner une maman en détresse ?
Cela se passe ainsi au pays de l'avortement légal, remboursé et presque obligatoire.
"Depuis l’élection d’Emmanuel Macron, l’IREF ne cesse d’attirer l’attention sur les fausses réformes mises en place par le gouvernement. D’un côté, aucune réforme de l’Etat, de l’autre, une prétendue réforme de l’assurance chômage qui, en réalité, mènera à une étatisation encore plus forte du système. Pas de baisse des dépenses publiques, ni du nombre de fonctionnaires, déjà largement plus nombreux que dans la plupart des pays européens. La communication du pouvoir a réussi à cacher en partie l’absence des réformes. Mais les chiffres et les statistiques sont têtus. Les dernières études d’Eurostat publiées mi-août dévoilent une situation préoccupante pour la France, qui décroche de plus en plus.
En ce qui concerne la croissance au premier semestre, la France est dernière avec seulement 0.4 % de hausse du PIB contre 0.8 % en moyenne dans la zone euro. Sur la même période, les Etats-Unis affichent une croissance 4 fois supérieure ! Même le Royaume-Uni fait mieux que la France (0.6 %).
Considérons maintenant le taux de chômage : la France semble aussi avoir perdu le train. Alors que l’Allemagne affichait un taux de chômage plus important que la moyenne de l’Union européenne de 2002 à 2008, elle est très nettement en-dessous depuis la crise économique et financière. Elle se targue aujourd’hui d’un taux deux fois plus faible (3,8% pour l’Allemagne contre 7,6% pour l’UE). Celui du Royaume-Uni est en-dessous de celui de l’UE depuis 2000, avec des écarts allant de 1,7 points (en 2008) à 4,3 points (en 2004). Aujourd’hui, l’écart est de 3,2 points de pourcentage. En France, très mauvaise élève comparée à ses camarades allemand et britannique, la situation du marché du travail est défavorable par rapport à la moyenne européenne depuis 2014. Notre pays accuse aujourd’hui un écart de 1,8 points avec le taux de chômage de l’UE, de 5 points avec celui du Royaume-Uni et de 5,6 points avec celui l’Allemagne. L’Union européenne connait une chute considérable de son taux de chômage, passant de 10,9% en 2013 à 7,6% en 2017, soit une baisse de 3,3 points de pourcentage en 4 ans.
Alors que l’Allemagne et le Royaume-Uni affichent de façon très nette une baisse de leur taux de chômage, respectivement depuis 2005 et 2012, on ne constate en France qu’une très légère amélioration depuis 2015. En effet, le chômage a reculé d’un point depuis 2 ans et revient à son niveau de 2010-2011. [...]"
Et la politique étatiste de M. Macron est de re-centraliser tous les régimes sociaux entre les mains de l’Etat.
"Et parallèlement, son but est d’en augmenter le caractère redistributif en continuant d’alourdir la charge de ceux qui gagnent plus au profit de ceux qui gagnent moins comme un moyen de poursuivre la politique d’égalisation délétère de son prédécesseur. C’est notamment vrai pour les cadres dont les prestations risquent de baisser alors qu’ils supportent désormais la hausse de la CSG, de 1,7%, sans limitation et sont donc encore plus pénalisés que les autres."
La fête du couronnement de la Rosière de Salency, dans l'Oise, a provoqué une polémique médiatique. Pour en savoir plus, Le Salon beige a interrogé Bertrand Tribout, Président de la Confrérie de Saint Médard de Salency.
Présentation
L’Institution de la fête de la Rosière à Salency (Oise), remonte au VIème siècle, ce qui en fait l’une des plus anciennes, sinon la plus ancienne fête de France. Saint Médard, évêque de Noyon, bien connu des observateurs de la météo, est né à Salency vers 450. Il voulut récompenser la vertu ou les vertus sur la terre qu’il tient de son père et institue donc la « Fête de la Rose ». Chaque année, les habitants s’assemblent pour choisir trois jeunes filles entourées de l’estime publique. Elles seront présentées à Saint Médard, qui désignera celle qui lui paraît la plus méritante.
Récompenser les vertus : de quoi s’agit-il ? Tout simplement, mettre en valeur une jeune fille qui a toute la force morale pour tendre au bien et fuir le mal. Mettre en valeur la jeunesse heureuse et saine d’esprit. Valoriser les bons sentiments de probité, de respect, d’assiduité au travail ou dans les études, être à l’écoute des autres et les aider si nécessaire. La récompense consistait en une dot de 25 livres et surtout en une couronne ou « chapeau de roses ». Afin d’assurer la perpétuité de son institution, Saint Médard a distrait de son domaine environ douze arpents de terre, dont les revenus devaient servir à couvrir les frais de la fête, mais aussi à doter l’heureuse élue. Ces terres porteront et portent toujours aujourd’hui, le nom de « Fief de la Rose ». La première rosière couronnée a été la propre sœur de l’évêque, devenue par la suite Sainte Médrine, imposée par les habitants eux-mêmes, en dehors de tout autre choix. La fête se renouvela ensuite tous les ans le 8 juin, « Jour de Monsieur Saint Médard » comme on disait alors, selon un cérémonial bien précis, mais sans que sa notoriété ne dépasse, au cours des siècles, les frontières de la contrée.
Dans les années 1760, la cérémonie fut mise sous le feu des projecteurs. Le sujet correspondait à l’air du temps. Sous l’influence de Rousseau notamment, on prônait un certain retour à la simplicité, à la vie campagnarde, aux traditions paysannes, aux vertus morales. Et une femme de lettres de cette fin du XVIIIème siècle, Félicité de Genlis, de passage à Salency et ayant eu vent de cette rosière, décida de la faire connaître à la France entière. Elle en fit une petite pièce de théâtre sentimentale, suivie par Favart, qui écrivit une comédie et la fit jouer devant le Roi en 1769. Grétry continua avec une pastorale en trois actes en 1774. Greuze illustra le thème, gravé par Moreau pour un frontispice. Huet en fit également un dessin pour une toile de Jouy et Boizot, un biscuit de Sèvres. Le couronnement des rosières s’est ainsi étendu à beaucoup d’autres villages français, chacun d’eux voulant avoir « sa » rosière. En outre, un procès retentissant, opposant les habitants de Salency (qui le gagnèrent) à leur seigneur, eut lieu devant le Parlement de Paris en 1774 et aboutit à un arrêté édicté par cette institution, qui fixe dans les moindres détails - souvent surprenants - le déroulement de la cérémonie.
A la suite de l’abolition de l’autorité seigneuriale, la commune s’est substituée au seigneur tant pour le choix de la Rosière, que pour subvenir aux frais de la fête. Et au cours de l’Assemblée Municipale du 6 mai 1798, il a été décidé que le sort désignerait la Rosière, pour « ne faire injure à aucune des trois ». A Salency, la coutume s’est poursuivie chaque année sans interruption, jusqu’en 1914. La tradition fut reprise en 1922 et l’on a continué au cours du XXème siècle à couronner les rosières, mais de manière beaucoup plus épisodique. La dernière cérémonie de la Rosière de Salency remonte à 1987, année du millénaire capétien.
La Confrérie de Saint Médard de Salency, association laïque soumise à la Loi de 1901, dont on trouvera ci-dessous l’objet social, a décidé de renouer avec la tradition l’année prochaine, le 2 juin 2019, avec l’accord et les encouragements de la municipalité. Avant que le maire de Salency ne cède aux pressions féministes et fasse non seulement voter l’annulation de la subvention accordée par son conseil municipal, mais présente ses excuses aux initiatrices d’une pétition hostile (Les Effronté-e-s) en les assurant de son soutien… Lamentable ! A toutes fins utiles, voici l’adresse de messagerie de la mairie de Salency : [email protected]
Les Reproches
C’est le titre scandaleusement mensonger d’un article du Parisien, en date du 9 août écoulé, commis par un journaliste de la presse locale, qui a attiré l’attention sur la fête. « Ici, on célèbre… « la pureté » des filles » disait ce titre ! Immédiatement, la machine infernale féministe, relayée par les médias, somnolents en ce mois d’août, s’est emballée… Le maire du village a reçu une centaine de courriels, le sommant de cesser de soutenir cette fête. On reprochait pêle-mêle, à la fête de la Rosière d’être sexiste, rétrograde, passéiste, de vouloir régenter la vie sexuelle de nos contemporaines, d’exiger de la Rosière la virginité et la chasteté (ce qui n’a jamais été le cas, même dans les temps les plus anciens), de s’opposer à l’égalité homme/femme et bien sûr d’atteinte à la laïcité, tant il est vrai que la Rosière est couronnée par un prêtre et que la cérémonie est précédée d’une messe, qui sans faire partie intégrante de la fête, a le tort d’exister…
Salency, village paisible de quelques 800 habitants, a donc été le théâtre d’un ballet de voitures de presse et de télévision, inconnu jusque-là ! Plus de 40 médias français et internationaux se sont fait l’écho de la polémique. Ce qui, somme toute, a permis de rétablir la réalité des choses. Car je dois à la vérité de dire que certains médias, même parmi les plus improbables, ont été relativement honnêtes. Les réseaux sociaux ont pris le relais et les commentaires lus sur ceux-ci, aussi bien qu’à la suite des articles de presse parus sur le Web, démontrent que le bon sens n’a pas perdu tous ses droits ! En effet, innombrables ont été les posts favorables, soutenant cette charmante fête de la Rosière, ainsi que la réaffirmation de nos traditions et la préservation de notre patrimoine local.
Quant à la population de Salency, hélas, je la trouve quelque peu indifférente. Les journalistes qui ont pu interroger certains salenciens, m’ont clairement confirmé avoir rencontré bien des personnes leur affirmant que cette tradition devait absolument être maintenu et très peu d’habitants hostiles. Contrairement à ce qu’affirme aujourd’hui et depuis peu de temps, le maire, qui cherche à justifier sa pleutrerie.
Il faut ajouter qu’il existe aujourd’hui en France en 2018, environ une quarantaine de couronnement de Rosières, sans qu’aucune de celles-ci ne déclenche l’ire des féministes échevelées… Une association des « Villes des Rosières de France » a même été fondée en 2000, dont le siège est maintenant à Montreuil-le-Gast (Ile-et-Vilaine) et dont le but est de solidariser à l’échelle nationale, les lieux où la tradition a été maintenue…
Nous aider
Nous avons lancé une pétition pour le maintien de la fête. Celle-ci a recueilli presque 700 signatures. C’est encourageant, mais insuffisant. Le Salon Beige peut nous aider en faisant connaître la fête de la Rosière de Salency, en suivant les évènements qui ne manqueront pas d’intervenir dans les semaines qui viennent et en relayant notre pétition que l’on trouve sur le site « change.org ».
La Confrérie de Saint Ménard de Salency
L’objet social de l’association dite « Confrérie de Saint Médard de Salency » consiste à :
Promouvoir le culte de Saint Médard, faire connaître et aimer ce grand saint né à Salency, sa vie, ses œuvres, son histoire, organiser toutes cérémonies paroissiales ou communales en son honneur, notamment la procession et la messe de la fête patronale du 8 juin (ou dimanche suivant) de chaque année, la fête dite « de la Saint Médard d’Hiver ou Translation des Reliques » qui a lieu annuellement le douze janvier ou le dimanche qui suit.
Sauvegarder, valoriser, restaurer le cas échéant, le patrimoine tant paroissial que communal se rattachant directement ou indirectement à Saint Médard.
Susciter et créer des liens de toutes natures (échanges, jumelages) avec d’autres paroisses et lieux, en France et dans le monde entier, ayant Saint Médard pour Patron ou s’en réclamant à un titre quelconque.
Participer activement à la mise en place, l’organisation, la préparation, la promotion et la publicité de la fête dite « de la Rosière de Salency » lorsque celle-ci a lieu. Veiller avec soin à respecter et faire respecter tous les détails tant au plan civil que religieux de la cérémonie, conformément à la tradition immémoriale. A cet effet, le conseil d’administration pourra désigner une commission composée d’un maximum de six membres chargés spécifiquement de cette tâche.
L’association n’oubliera pas d’associer éventuellement à l’objet principal, le frère jumeau de Saint Médard, Saint Gildard et leur noble sœur Sainte Médrine, qui fut la toute première rosière de Salency.
Aux fins de réalisation dudit objet, l’association utilisera tous les moyens d’action légaux et habituels en pareilles circonstances.
« L’essentiel c’est de dire à tous les jeunes : Vous êtres homosexuels ? Vous en avez le droit, et personne, pas même vos parents, ne peut vous dire que vous devez changer cela », a encore affirmé la secrétaire d’Etat".
A l'envi et selon l'idéologie du moment, remplacez dans cette phrase le mot "homosexuels" par celui que vous voulez et seule restera la violence du propos pour qu'il s'impose aux consicences.
En ce dimanche, à quelques jours de la reprise pour des millions d'entre nous, relisons tranquillement cette lettre qu'il nous laisse : "Que dire à un jeune de 20 ans?"
Quand on a connu tout et le contraire de tout, quand on a beaucoup vécu et qu’on est au soir de sa vie, on est tenté de ne rien lui dire, sachant qu’à chaque génération suffit sa peine, sachant aussi que la recherche, le doute, les remises en cause font partie de la noblesse de l’existence.
Pourtant, je ne veux pas me dérober, et à ce jeune interlocuteur, je répondrai ceci, en me souvenant de ce qu’écrivait un auteur contemporain : «Il ne faut pas s’installer dans sa vérité et vouloir l’asséner comme une certitude, mais savoir l’offrir en tremblant comme un mystère».
A mon jeune interlocuteur, je dirai donc que nous vivons une période difficile où les bases de ce qu’on appelait la Morale et qu’on appelle aujourd’hui l’Ethique, sont remises constamment en cause, en particulier dans les domaines du don de la vie, de la manipulation de la vie, de l’interruption de la vie.
Dans ces domaines, de terribles questions nous attendent dans les décennies à venir. Oui, nous vivons une période difficile où l’individualisme systématique, le profit à n’importe quel prix, le matérialisme, l’emportent sur les forces de l’esprit.
Oui, nous vivons une période difficile où il est toujours question de droit et jamais de devoir et où la responsabilité qui est l’once de tout destin, tend à être occultée.
Mais je dirai à mon jeune interlocuteur que malgré tout cela, il faut croire à la grandeur de l’aventure humaine.
Il faut savoir, jusqu’au dernier jour, jusqu’à la dernière heure, rouler son propre rocher.
La vie est un combat le métier d’homme est un rude métier. Ceux qui vivent sont ceux qui se battent.
Il faut savoir que rien n’est sûr, que rien n’est facile, que rien n’est donné, que rien n’est gratuit.
Tout se conquiert, tout se mérite.
Si rien n’est sacrifié, rien n’est obtenu.
Je dirai à mon jeune interlocuteur que pour ma très modeste part, je crois que la vie est un don de Dieu et qu’il faut savoir découvrir au-delà de ce qui apparaît comme l’absurdité du monde, une signification à notre existence.
Je lui dirai qu’il faut savoir trouver à travers les difficultés et les épreuves, cette générosité, cette noblesse, cette miraculeuse et mystérieuse beauté éparse à travers le monde, qu’il faut savoir découvrir ces étoiles, qui nous guident où nous sommes plongés au plus profond de la nuit et le tremblement sacré des choses invisibles.
Je lui dirai que tout homme est une exception, qu’il a sa propre dignité et qu’il faut savoir respecter cette dignité.
Je lui dirai qu’envers et contre tous il faut croire à son pays et en son avenir.
Enfin, je lui dirai que de toutes les vertus, la plus importante, parce qu’elle est la motrice de toutes les autres et qu’elle est nécessaire à l’exercice des autres, de toutes les vertus, la plus importante me paraît être le courage, les courages, et surtout celui dont on ne parle pas et qui consiste à être fidèle à ses rêves de jeunesse.
Et pratiquer ce courage, ces courages, c’est peut-être cela «L’Honneur de Vivre».
"Des militaires motorisés de la force Sentinelle qui patrouillaient hier soir à Lille ont tiré sur un véhicule qui venait de leur faire une queue de poisson et qui a pris la fuite, a indiqué la préfecture confirmant une information d'Europe 1.
Aucun militaire n'a été blessé, a-t-on précisé de même source. Le véhicule était toujours recherché dimanche matin. Selon la préfecture, vers 21h20, une voiture aurait fait une queue de poisson au véhicule de la force Sentinelle en patrouille. Les militaires l'auraient rattrapée, seraient sortis et auraient ensuite encerclé le véhicule pour le contrôler.
C'est alors que le conducteur aurait redémarré pour fuir en fonçant sur les militaires, qui ont alors tiré à plusieurs reprises. Le véhicule a réussi à prendre la fuite et était toujours recherché ce matin".
En cette fête de Saint Louis, protecteur des armées françaises, pensons à nos soldats :
"Plus de 630 soldats français sont morts en opérations extérieures depuis 1962, rappelle Philippe Chapleau, qui a dirigé le Dictionnaire des opérations extérieures de l'armée française. Philippe Chapleau est écrivain et journaliste, spécialiste des questions de défense. Avec le général Jean-Marc Marill, il a dirigé le Dictionnaire des opérations extérieures de l'armée française, paru en juin 2018 aux éditions du Nouveau monde.
FIGAROVOX.- Comment définir les opérations militaires extérieures (OPEX) de la France?
Philippe CHAPLEAU.- Depuis les années Soixante et la décolonisation, il est d'usage de parler de «théâtres d'opérations extérieures» (OPEX). Il peut s'agir d'OPEX de circonstance, hyper-réactive, lorsque les vies de ressortissants français sont menacées par exemple, comme à Kolwezi en 1978. D'autres interventions militaires sont plus longues à mettre en place et s'inscrivent davantage dans une perspective stratégique. Dans tous les cas, il s'agit d'une décision du président de la République. Contrairement à d'autres démocraties de tradition parlementaire, en France c'est le pouvoir exécutif qui est compétent. Le Parlement est informé mais ne décide pas de l'envoi de troupes. On peut s'en offusquer mais, en termes opérationnels, il faut aller très vite et éviter tout délai.
L'OPEX se caractérise par sa grande flexibilité. Ce type d'opérations contribue, en quelque sorte, à la capacité de dissuasion française: pouvoir se projeter aussi rapidement à différents endroits du monde revêt un aspect dissuasif, ce qui est loin d'être le cas pour un grand nombre de pays d'Europe qui ne bénéficient pas d'armées aux capacités de projection comme la nôtre.
638 soldats ont été tués au cours des différentes OPEX effectuées par l'armée française depuis la fin de la guerre d'Algérie. Assiste-t-on encore à des conflits meurtriers, ou bien s'agit-il d'opérations de maintien de la paix?
Des opérations de maintien de la paix dans les années 80/90, nous sommes passés à une posture beaucoup plus offensive, et le nombre de mort s'en est logiquement ressenti. Nous sommes certes loin de Verdun et de ses morts par milliers chaque jour. Toutefois ces quelques morts, chaque année, témoignent de la violence ambiante, de la volatilité de la situation, et d'un engagement réel des troupes françaises. Nos soldats font encore la guerre, tout comme ils meurent toujours pour la France et le drapeau"
Le traditionnel rendez-vous annuel des Éditions de Chiré / Diffusion de la pensée française, qui constituent depuis plus de 50 le conservatoire de la mémoire de l'histoire vraie, et de la saine doctrine catholique et française, aura lieu le week-end prochain, le 1er et 2 septembre.
C'est une réunion unique dans le paysage français de la dissidence, par son antériorité d'une part, par la convivialité et l'esprit de famille, a-mondain, qui l'animent. Nous ne pouvons qu'inviter ceux qui ne l'ont jamais fait à vivre cette expérience intellectuelle et fraternelle !
Cette année le programme aura pour thème : quels moyens pour combattre la révolution ?
l'abbé Cyrille DEBRIS, prêtre diocésain de Rouen, qui apportera quelques lumières sur l'impératrice Zita dont il fut le postulateur de la cause de béatification;
la participation, pour la première fois, de Bernard ANTONY qui livrera son analyse de mai 68;
"Je me dois de répondre à ce qui vient d’être écrit au sujet de Mgr le prince Louis (Alphonse) duc d’Anjou en tant qu’ancien légitimiste (1953). Certes ce qui devait arriver est arrivé. Lors de l’annonce du mariage du prince Alphonse (futur duc d’Anjou et père de Monseigneur) ma personne et celle du cher Guy Augé avaient averti ce prince des difficultés qui allaient exister avec l’arrivée d’une petite-fille de Franco. Mais enfin n’oublions pas que Franco sauva l’Espagne des abominations d’une gauche épouvantable et qu’il empêcha Hitler de traverser l’Espagne avec son armée pour atteindre l'Afrique française.
Le prince Alphonse attaqué par un Orléans en en 1988 pour qu’il ne se dise plus prince, etc., gagna contre son lointain cousin, et l’année d’après, Alphonse étant décédé en Amérique du nord en faisant du ski, on vit le jeune prince Louis attaqué par le même Orléans qui perdit encore. En 1989 ce jeune prince avait le droit de se dire prince etc, car toutes les prétentions de l’Orléans croulaient, il pouvait porter les armes d’azur à trois fleurs de lis d’or, deux et une (donc armoiries du roi), etc. C’était un triomphe pleinement français. Ancien ministre de la justice Jean Foyer que j’avais prié de venir à l’aide d’Alphonse avait gagné les deux fois ! Pour l’Etat français tout était clair sans qu’on ait parle de politique.
Certes les clameurs franquistes peuvent troubler les Légitimistes français, cela va de soi, mais rien ne peut changer notre ordre de primogéniture pour notre royauté et je pense à mon Prince qui le 14 juillet dernier a longuement honoré Henri IV dans Paris, mais sans son épouse et leurs enfants… Tout est difficile.
'Avec l'explosion des dégradations des radars enregistrée cet été, les Français disent leur rejet du 80 km/h, une mesure destinée à multiplier les recettes des PV. La question est finalement simple : l'implantation des radars contribue-t-elle à abaisser la mortalité routière ou, tout simplement, à bombarder de PV de bons citoyens ?
La détestation des radars, déjà aiguë auparavant, s'est amplifiée depuis l'instauration du 80 km/h, le 1er juillet, et les premières semaines de « l'expérience » font déjà ressortir une multiplication des dégradations et des actes de vandalisme de ces appareils.
Le magazine Autoplus estimait le 1er août à 400 le nombre des radars vandalisés ou sévèrement tagués, un mouvement qui rappelle la fronde de l'écotaxe avec des Bonnets rouges tronçonnant les installations ou y mettant le feu".
Un juge d'instruction a oublié de renouveler sa détention provisoire. Il a été relâché en avril dernier et se trouve actuellement en liberté. Le porte-parole du gouvernement évoque un «dysfonctionnement grave».
L'histoire, aberrante, laisse interrogatif quant à l'efficacité du système judiciaire. Un homme soupçonné de djihadisme, prénommé Oualid, a été relâché à la suite d'un oubli d'un juge d'instruction qui n'a pas renouvelé sa détention provisoire, relate ce jour Le Canard enchaîné. Le ministère de la Justice, qui a confirmé les faits, a évoqué une «une erreur grave».
Oualid B. doit être jugé en novembre, à Paris, devant la cour d'assises spéciale, qui traite des dossiers terroristes. À ses côtés doivent comparaître Reda Bekhaled et de ses frères, soupçonnés d'être impliqués dans un projet d'attentat en 2014 dans la métropole lyonnaise et dans une filière d'acheminement de combattants en Syrie. Il était en détention depuis le mois d'août 2016. Il est sorti de prison le 3 avril dernier à la suite de l'erreur du juge.
Le porte-parole du gouvernement Benjamin Griveaux a parlé mercredi matin de «dysfonctionnement grave». Il a également déclaré que «la priorité est de retrouver cet individu».
Et pas bien sûr la priorité n'est pas de régler ce "dysfonctionnement grave"...
Il est fiché S, il tue au couteau deux personnes et en blesse une autre en criant allah ouakbar, Daech revendique cet attentat et tranquillement le Gouvernement par la bouche de Gérard Collomb veut nous faire avaler qu'il s'agit plus d'un déséquilibré que d'un homme "engagé". Mais combien de temps va encore durer cette mascarade?
🎬La vidéo presque parfaite du ministère de l'intérieur montrant Gérard Collomb arrivant sur les lieux des crimes du terroriste de #Trappes! On se croirait dans une série américaine... Il y a juste une erreur de casting au niveau de l'acteur principal... pic.twitter.com/3hARBlH6Vd
«Ouverture dominicale : faisons le choix de la liberté» est le titre d'un document signé par des députés LREM.
Le schéma sociétal est archi-connu et prend à chaque fois malheureusement : on réclame une liberté qui devient une obligation de survie plusieurs années après. Au bénéfice de qui ? Pas de l'intéressé en tout cas ! L'exemple de la revendication pour les femmes d'accéder à un emploi est flagrant : combien de femmes aujourd'hui peuvent-elles encore se passer d'un salaire? L'étape suivante arrive : la suppression de la pension de réversion au principe que les veuves qui en auraient besoin ont fait le libre choix de ne pas travailler. Pourquoi serait-ce à l'Etat d'en supporter les conséquences? La femme est aujourd'hui piégée : d'une possibilité de travailler offerte hier au nom de la liberté, voici les femmes, devenues agents économiques, bel et bien obligées de "bosser" et de satisfaire les besoins du marché du travail.
C'est le cas de serpent de mer du travail dominical : à le rendre accessible au nom de la liberté à ceux qui le souhaitent, il deviendra ensuite une gêne pour ceux qui y renoncent avant de devenir obligatoire pour l'équilibre budgétaire de chacun.
Présenter un piège mortel comme une liberté est l'argument du totalitarisme qui abuse des faiblesses de la démocratie.
"Le travail le dimanche est indispensable pour avancer et pour «revitaliser nos centres-villes». C'est le message qu'une vingtaine de députés LaREM ont décidé de faire passer via une tribune publiée dans Le Journal du Dimanche de cette semaine. «Ouverture dominicale : faisons le choix de la liberté» peut-on lire en titre.
«La loi Macron de 2015 a été un succès. Qu'attendons-nous pour aller plus loin ?» La tribune explique ce succès en précisant qu'au sein des zones touristiques créées à l'époque, le chiffre d'affaires des magasins a augmenté de 15%, le nombre d'emplois a progressé de 10%, et 1500 postes ont été créés dans les grands magasins parisiens.
«Londres, Madrid, Rome... Les grandes capitales européennes ont bien compris la nécessité d'ouvrir leurs magasins le dimanche pour attirer les touristes internationaux et soutenir l'activité», peut-on également lire dans le JDD. Selon les députés LaREM, les salariés sont demandeurs - 68% des Français sont favorables à un assouplissement de la loi - de cette liberté de travailler le dimanche.
La tribune cite un expemple pour illustrer cette popularité du travail dominical : dans les grands magasins parisiens, un roulement entre salariés a dû être mis en place. «Ils étaient tout simplement trop nombreux à vouloir travailler le dernier jour de la semaine», précise le texte notamment signé par Buon Tan, député de Paris, et Benoît Potterie, député du Pas-de-Calais.
Sanctifions donc ce dimanche où les lectures nous parlent du Pain de Dieu (complémentaire du pain, fruit de la terre et du travail des hommes), en s'appropriant cette synthèse :
"L’encyclique Rerum Novarum (1891) rappelle la nécessité d’assurer le repos hebdomadaire, au regard du « bien de l’âme » (RN 32, 1). Le repos ne doit pas seulement permettre d’amorcer une nouvelle semaine de travail. « La nécessité du repos et de la cessation du travail aux jours du Seigneur » découle du droit et du devoir fondamental de tout homme de remplir ses devoirs envers Dieu.
Le repos nécessaire est « sanctifié par la religion » : « ainsi allié à la religion, le repos retire l’homme des labeurs et des soucis de la vie quotidienne. Il l’élève aux grandes pensées du ciel et l’invite à rendre à son Dieu le tribut de l’adoration qu’il lui doit. Tel est surtout le caractère et la raison de ce repos du septième jour dont Dieu avait fait même déjà dans l’Ancien Testament un des principaux articles de la loi : Souviens-toi de sanctifier le jour du sabbat (Ex 20, 8), et dont il avait lui-même donné l’exemple par ce mystérieux repos pris aussitôt après qu’il eût créé l’homme : il se reposa le septième jour de tout le travail qu’il avait fait (Gn 2, 2) » (RN 32, 4).
Près d’un siècle plus tard, Jean-Paul II dans Laborem Exercens (1981) rappelle lui aussi l’importance du repos dominical. « L’homme doit imiter Dieu lorsqu’il travaille comme lorsqu’il se repose, étant donné que Dieu lui même lui présente sa propre œuvre créatrice sous la forme du travail et du repos » (LE, 25). Le pape poursuit : « Non seulement le travail de l’homme exige le repos chaque septième jour, mais en outre il ne peut se limiter à la seule mise en œuvre des forces humaines dans l’acte extérieur : il doit laisser un espace intérieur dans lequel l’homme, devenant toujours davantage ce qu’il doit être selon la volonté de Dieu, se prépare au ‘repos que le Seigneur réserve à ses serviteurs et à ses amis’ » (LE 25)".
Notre-Dame de la Salette ; "Je vous ai donné six jours pour travailler, je me suis réservé le septième et on ne veut pas me l’accorder. C’est ça qui appesantit tant le bras de mon Fils".
"Et toujours la même question, qui reste pour moi sans réponse globale : pourquoi le passé, avec si peu de moyens, a-t-il fait tant de beauté, quand notre époque, avec tant de richesse, n'a produit que de la laideur ?"
L’homme soupçonné d’avoir égorgé un passager dans un bus parisien le 8 août, mis en examen et écroué jeudi, est un étranger en situation irrégulière, déjà connu des services de police pour différents types d’infractions.
Bruno Lafourcade analyse ce terrorisme de proximité :
"Dans le crime de masse, il appartient à la branche artisanale : c’est l’auto-entrepreneur de l’attentat, l’assassin du quotidien ; appelons-le le terroriste de proximité. Lui, il ne tue pas en se réclamant de Daesh, il n’a même pas besoin de crier : « Allahou akbar ! ». Non, lui, il va acheter un couteau de cuisine à Carrefour, et il poignarde sa voisine de quatre-vingts ans.
Avant, il a fait ses armes dans la drogue et la prédation, et s’est mêlé à d’autres ambitieux, qui tuent leur temps en tuant des individus isolés. Ils en choisissent un, blanc, lui demandent une cigarette, lui reprochent de les avoir regardés, et lui tombent dessus à sept ou huit, le tabassent et le laissent pour mort après lui avoir volé son smartphone et vingt euros. Si Anne-Sophie Lapix en parle, le lendemain, ce sera pour évoquer une « rixe » ou un « crime gratuit ».
Encouragé, notre homme lance donc sa petite entreprise. Encore une fois, ce n’est pas lui qui se fera sauter dans une salle de spectacle ou foncera dans une foule avec une estafette louée ; non, lui, il travaille dans le local : il essaie de violer une lycéenne à la sortie d’une boîte de nuit, et poignarde le jeune homme qui l’a défendue. Si Laurent Delahousse en parle, le lendemain, ce sera en évitant de dire son nom, sa nationalité, en indiquant qu’il est « déséquilibré », et en rangeant son attentat Leader Price parmi les faits divers.
Ce terrorisme artisanal, qui s’est tellement banalisé que nous ne voyons plus qu’il est du terrorisme, s’étend partout, désormais ; on le trouve à Périgueux, à Mons, à Châtellerault, à Dunkerque, à Aix, à Metz – partout, donc. Il continuera de prospérer tant qu’on le considèrera de façon isolée, seul dans son genre alors qu’il se produit tous les jours en France, tant qu’on jugera ces tueurs comme s’il s’agissait de types qui ont provoqué une bagarre dans un bal du samedi soir après avoir trop bu, tant qu’on refusera de les voir comme les membres du terrorisme islamiste, dont ils occupent un segment de marché en apparence moins spectaculaire que celui de leurs « grands frères » de Daesh, mais qui se révèle jour après jour plus meurtrier."
Le piège était énorme et Le média aux ordres est tombé dedans :
"Une «anodine» altération d’information, et le Président russe est passé de défenseur des tigres de Sibérie en chasseur. C’est ce qu’a affirmé la journaliste Valérie Astruc dans un passage du journal télévisé de France 2 du 10 août. S’agit-il d’une simple erreur ou de fake news se profilant à l’horizon?
Dans un passage du journal télévisé de 20h00 du 10 août, la journaliste Valérie Astruc s'est permise de commettre un «petit» hic. D'après elle, Vladimir Poutine a l'habitude de chasser les tigres de Sibérie, alors qu'il participait en réalité à un programme national de préservation de l'espèce. Pour prouver cette affirmation, France 2 a utilisé une photo prise alors que le Président russe prenait part à une mission dans le cadre de cette initiative".
Le bidonage de France2 :
Ce n’est pas une fake news mais une erreur involontaire que la direction de l’information de France Télévisions regrette. Elle sera signalée à l’antenne @20hFrance2 ce soir.
— France2ServicePresse (@France2_Presse) 13 août 2018
Dans le dernier ouvrage de l'historien spécialiste des guerres de Vendée, l'histoire vraie de ses personnages est tellement passionnante qu'elle semble sortie tout droit d'un roman.
Excellent interview de Stéphane Ravier, sénateur des Bouches du Rhône et membre du Rassemblement National.
"Ces clandestins doivent être reconduits dans leur pays d'origine, où on nous dit qu'il y a la guerre. Ces jeunes hommes sont en bonne santé: plutôt que de prendre le bateau, ils feraient mieux de prendre les armes, pour défendre leur patrie et protéger leur famille !"
Depuis 25 ans, des centaines de jeunes se relayent pour restaurer la chapelle Saint Pierre-es-Liens qui fût incendiée -ses occupants à l'intérieur- par les colonnes infernales. Etat des lieux du chantier avec l'historien Reynald Secher et son adjoint Arnaud des Minières au micro de Thomas Cauchebrais de RCF Vendée.
Il y a un peu plus de deux semaines, Adrien Perez était poignardé à mort à la sortie d'une boîte de nuit à Meylan (Isère), pour avoir défendu une personne. 3 personnes ont été interpellées et l'une d'entre elles a été relâchée au grand dam de la famille de la victime. Dans son arrêt rendu lundi, la chambre de l'instruction de la cour d'appel de Grenoble a rejeté l'appel du parquet, qui avait réclamé le placement en détention des trois mis en examen.
Mis en examen pour les mêmes chefs, deux frères âgés de 19 et 20 ans, considérés par la justice comme les principaux protagonistes du drame, avaient été immédiatement écroués et sont toujours en détention provisoire.
Me Denis Dreyfus, l'avocat des proches d'Adrien Perez, estime que
"cette décision constitue une déception, en l'état de l'information judiciaire et aussi peu de temps après la disparition d'Adrien". "La chambre de l'instruction considère que les deux hommes suspectés d'être auteurs des coups de couteau sont suffisamment identifiés par l'examen de la bande vidéo et en tirent les conséquences, en l'état et sous réserve des investigations complémentaires".
Mais les Français savent-ils que ce sont aussi leurs impôts qui financent cette opération inhumaine de déracinement ?
Il reste quand même 33% des Français qui ne connaissent pas la réalité de ce bonheur appelé "migrants "*
Une dizaine d'africains tabasse sauvagement un jeune blanc à terre accompagné de sa femme. Ici les médias diront qu'il s'agit d'une "rixe entre jeunes" Maintenant imaginez si l'inverse c'était produit... Imaginez... pic.twitter.com/XBAnZw9duk
C'était en 1911 et c'était pire que notre épisode de 15 jours. Mais à l'époque, personne ne vendait du réchauffement climatique. Un très bon article appuyé par les reportages de la presse de l'époque.
"On estime que 40 000 personnes périrent à cause de la chaleur au cours de l'été 1911, principalement des enfants en bas âge. Une catastrophe sanitaire largement documentée par les bulletins statistiques de l'époque mais qui fut passée sous silence par la presse, sans doute sous la pression des pouvoirs publics alors engagés depuis plusieurs années dans une lutte contre la mortalité infantile, dont cette crise menaçait de révéler les faiblesses.
Au total, ce sont deux mois et demi d’extrême sécheresse et de températures élevées que connurent les Français cet été-là. La canicule finira par cesser définitivement au milieu du mois de septembre, après quelque 70 jours de chaleur écrasante".
"De jeunes soutiens de l’ancien président François Hollande ont entrepris de tester sur le terrain une candidature de leur champion en distribuant un tract : "Hollande 2022".
L'affaire des fiches? Pire, car personne n'a le courage de revendiquer l'énorme campagne de fichage dont ont été victimes les opposants au régime soviétique en France :
"La Commission nationale informatique et libertés (Cnil) va instruire des plaintes sur une étude concernant l'impact de l'affaire Benalla sur les réseaux sociaux. De nombreux utilisateurs se sont plaints du fait que l'ONG belge DisinfoLab avait publié sur son site les fichiers des personnes ayant tweeté sur le sujet, avec leur affiliation politique supposée".
"Certains sont déjà entrés en action, les autres vont commencer leur besogne à partir de lundi… Six corbeaux, spécialement dressés pour le ramassage des mégots et des déchets, participeront dès la semaine prochaine au nettoyage du parc de loisirs du Puy du Fou, a indiqué vendredi son président, Nicolas de Villiers.
« L’objectif n’est pas simplement de nettoyer, car les visiteurs sont globalement respectueux de la propreté, mais aussi de mener une action pédagogique », montrant que « la nature elle-même peut nous apprendre à faire attention à l’environnement », a-t-il expliqué.
L’idée a germé, « il y a plusieurs années, dans l’esprit de l’un des fauconniers du parc, à partir de l’observation des oiseaux », a raconté Nicolas de Villiers. Christophe Gaborit, spécialiste de l’affaitage (dressage) des rapaces, a donc « inventé une petite boîte », contenant d’un côté des croquettes, « dont raffolent les corbeaux », et offrant de l’autre un espace vide, destiné à « accueillir des mégots, ou autres petits déchets », a poursuivi Nicolas de Villiers.
Lorsque le corbeau dépose un mégot dans la boîte, un mécanisme se déclenche, et une croquette lui est délivrée. « Motivés par la récompense », les corbeaux ont « vite compris comment fonctionnait le jeu », s’est-il réjoui. L’installation a ensuite été réorganisée de manière à ce qu’une seule boîte, « de la taille d’une brouette », permette à tous les oiseaux de déposer leur butin et à Christophe Gaborit de jouer les « chefs d’orchestre ».
L’espèce sélectionnée, le corbeau « freux », est un oiseau « particulièrement intelligent », qui « lorsqu’il est dans une atmosphère affective porteuse, aime communiquer avec l’homme et établir une relation avec lui par le jeu ». Ces oiseaux sont « très rapides » : en moins de trois quarts d’heure, un corbeau est capable « de remplir un seau », a-t-il ajouté".
« Je suis le cœur, le symbole et la foi. L’âme de tes aïeux habite encore en moi. » Très beau spectacle « Lumières du Moyen Âge » à #VillefrancheDeRouergue Dernière représentation dimanche 12 août. Quand la France périphérique renoue fièrement avec ses racines. pic.twitter.com/6jTFjeVDje
— Gabrielle Cluzel (@gabriellecluzel) 11 août 2018
On sait depuis Audiard que « les c---, ça ose tout », mais ceux du système, Macron regnante, se surpassent ces jours derniers, au point de faire même réagir les medias du système (ici et là par exemple).
En effet, à l’occasion de l’affaire Benalla, une entité, qui se présente comme une ONG, du nom de « EU DisinfoLab », entendre laboratoire de l’Union Européenne sur la désinformation, a mené une « étude » concluant initialement à certaines corrélations entre l’intérêt porté à l’affaire Benalla, et la russophilie supposée des gens ayant manifesté cet intérêt. But à peine implicite : démontrer une ingérence russe dans l’affaire, ayant pour but de déstabiliser l’exécutif dit français.
Pour avoir un point détaillé sur cette affaire qui mêle manipulation de l’opinion et fichage des citoyens, nous vous invitons à écouter ce qu’en dit Olivier Berruyer, dans un entretien accordé à RT France, et plus encore à lire l’étude exhaustive que lui et son équipe du site « Les crises » ont réalisée à ce sujet. On apprend notamment que l’EU DisinfoLab est lié au think-tank « neocons » Atlantic Council, a déjà travaillé avec des organisations de la galaxie Soros, ou encore avec l’organisation European Values, dont le narratif réveille les vieux démons de la guerre froide.
Gardons en mémoire que c’est la même mouvance de promotion du mondialisme et de la totale-démocratie, qui dispose de serviteurs bien placés dans l’appareil d’État (Armées et Affaires étrangères notamment), et de députés godillots à l’Assemblée, qui concocte en même temps la loi sur les « fakenews ». Le but devient chaque jour plus clair : pouvoir imposer SA désinformation avec le moins de contradicteurs possible.
#Paris Encore un assassinat dans un Bus, un passager de 50 ans égorgé d'un coup de Couteau par un Criminel qui voulait monter avec son Vélo. La Liste s'allonge en cette #Canicule plus de morts par coup de couteaux que de la Chaleur. Alors @gerardcollomb ? https://t.co/8EFJvDvBp0
Le préfet de police de Paris a juré ne pas connaître Alexandre Benalla. Raté : le Canard publie un chaleureux message de félicitations de Michel Delpuech adressé à l'ancien garde du corps de Macron en janvier dernier pic.twitter.com/YicJqlbp86
"Pour représenter la France au centenaire de la bataille d'Amiens, la ministre des Armées Florence Parly et sa secrétaire d'État Geneviève Darrieussecq sont cet après-midi en Picardie. Ni Emmanuel Macron, ni Édouard Philippe ne sont présents.
En ce mercredi 8 août, la première ministre de Grande-Bretagne, Theresa May, et le Prince William sont en Picardie à l'occasion de la commémoration du centenaire de la bataille d'Amiens, premier succès des forces alliées sur l'armée allemande lors de la Première Guerre mondiale.
Côté français, la ministre des Armées, Florence Parly, et sa secrétaire d'État, Geneviève Darrieussecq assistent à la cérémonie. Jusqu'à ce lundi, seule la secrétaire d'État devait représenter la France, mais Florence Parly a finalement été rappelée pendant ses congés estivaux. L'absence d'Emmanuel Macron, amiénois de naissance, actuellement en vacances au fort de Brégançon, ou encore celle d'Édouard Philippe, est critiquée dans les rangs des élus locaux d'Amiens".
"Selon les informations du Monde, le couple molesté place de la Contrescarpe à Paris le 1er mai dernier par Alexandre Benalla et Vincent Crase «est vierge d’antécédents judiciaires, n’a pas cherché à dissimuler son identité et n’a pas provoqué de violences "graves" ou "répétées" contre les CRS». Ces nouveaux éléments proviennent de deux fiches rédigées par la police après l'arrestation du couple et transmises à la justice, démentant les propos du préfet de police Michel Delpuech, lors de son audition le 25 juillet devant la commission d'enquête de l'Assemblée nationale. Il avait alors expliqué que les deux jeunes interpellés n'avaient «pas de papiers sur eux» et avaient «déclaré de fausses identités».