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Blanquer : la mise en œuvre d’une politique éducative élitiste en faveur des populations issues de l’immigration

Analyse de Claude Meunier-Berthelot pour Le Salon beige :

78667679_15165865Le 11 septembre 2018, Blanquer est venu se produire au micro d’un Pujadas, non seulement complaisant mais complice, pour l’aider à  justifier ses propos de la veille au micro de JJ.Bourdin sur l’enseignement de l’arabe à l’école  et à s’insurger contre les contestations  soulevées par cette annonce.

Comme l’a souligné Pujadas, Monsieur Blanquer est un ministre qui pèse au sein du gouvernement et pour cause ! il le sert merveilleusement  dans sa visée mondialiste dont l’objectif est de détruire l’identité française, notamment par la mise en œuvre d’une politique éducative élitiste en faveur des populations issues de l’immigration au détriment de nos enfants pour qui l’Ecole devient un simple lieu de vie, et dans le même temps, anesthésiant le public, le bernant en permanence avec des propos mensongers dispensés avec un aplomb et un cynisme dépassant toute mesure * , tout cela, sous des dehors de Monsieur « Propre ».

Les contestations

Monsieur Blanquer perçoit mal les contestations et n’hésite pas à fustiger les opposants qui n’avancent rien de plus que des propos de bon sens :

Ce qui ne l’empêche pas de parler d’ « emballement médiatique, de déformation des propos, de mensonges, de vouloir exciter l’opinion de façon surréaliste, d’exciter les gens les uns contre les autres, d’instrumentaliser le débat pour de petites bassesses politiciennes, de dérive dans le mensonge permanent sur les réseaux sociaux… »  réseaux sur lesquels il n’a aucune prise pour l’instant, raison pour laquelle il les attaque tout particulièrement, car c’est précisément là que se fait le rétablissement de la vérité politique que ce gouvernement cherche à camoufler aux Français.

Ce qu’il faut retenir des oppositions à cette décision, ce sont deux choses : D’une part, qu’il vaudrait mieux d’abord apprendre le français à nos enfants, d’autre part, qu’il y a danger d’islamisation de la France.

Sans vouloir entrer dans les détails*, il faut dire qu’il n’y a rien d’excessif dans ces propos :

Apprentissage de la langue française

Pour ce qui est d’apprendre le français à nos enfants, il faut rappeler que malgré les déclarations - celles-là bien mensongères - de Monsieur Blanquer, il n’a nullement procédé – pour nos enfants - au rétablissement des méthodes dites « syllabiques » de lecture - en réalité alphabétiques -  qui seules, permettent de maîtriser la langue et les méthodes semi-globales perdurent,  ne permettant pas  d’appréhender la très riche culture française.

D’ailleurs, à cet égard, nous aimerions  que Monsieur Blanquer vienne à un quelconque micro, nous détailler les décisions prises pour la valorisation de la langue française à l’école, du primaire à l’université incluse. Nous l’attendons !

Les méthodes alphabétiques ne sont pratiquées que dans les REP, pour les immigrés, en classes dédoublées.

Danger d’islamisation de la France

C’est d’autant plus cohérent comme propos, que l’arabe est appréhendé à travers la lecture du Coran dont le caractère «religieux » n’échappe à personne et dont le contenu révèle des dangers incalculables, mettant gravement en danger notre société. Vouloir que nos enfants apprennent l’arabe, c’est vouloir les islamiser, il n’y a aucun excès dans ces propos.

Conclusion

Fustigeant également les associations qui se mobilisent contre l’éducation sexuelle à l’école, Monsieur Blanquer  n’aspire qu’à une chose :  imposer le silence aux opposants, en résumé à tous ceux qui veulent protéger nos enfants et sauver la France,  !

C’est cela, la démocratie selon Blanquer, c’est cela un « honnête homme » !                                     

*cf. ouvrage paru le 05/09/2018 :« Blanquer, ce monstre froid »- remède de cheval contre la blanquer-mania–Editions des trianons.


Le corps médical sait parfaitement que le retour de certaines maladies en France est lié en partie à l’immigration

Beaucoup d'articles abordent le sujet du retour de certaines maladies en Europe mais sans jamais aller jusqu'au bout du raisonnement contrairement à celui-ci :

« Le corps médical sait parfaitement que le retour de certaines maladies en France est lié en partie à l’immigration ». Ces propos, peu surprenants, sortent de la bouche d’un dermatologue nantais.

La gale, le scorbut, la tuberculose, la dengue, le chikungunya, la bilharziose, la West-Nil …et peut-être demain le Zika, la peste et le choléra.

De vieilles maladies qui appartenaient au passé de la France, ou des maladies exotiques, qui reviennent aujourd’hui, notamment via les migrants venus de pays du Tiers monde. Des maladies qui se propagent ensuite rapidement, en raison des conditions d’insalubrité et de précarité dans lesquels ces derniers vivent. « On ne peut pas s’étonner d’entasser des gens ainsi, dans des conditions lamentables, et ensuite que des maladies réapparaissent et se diffusent » nous confie ce dermatologue, qui a reçu des patients pour des cas de gale notamment. « La fatigue, la mauvaise alimentation, l’hygiène de vie rend les migrants plus vulnérables que d’autres pour attraper ces maladies. Mais ensuite, ça se diffuse…»

Pour lui, « il y a une énorme hypocrisie, y compris au sein des autorités. On ne peut pas d’un coté vouloir vacciner tout le monde pour des questions compréhensibles de santé publique, et dans le même temps accepter des personnes potentiellement porteuses de maladies disparues chez nous, sans les refouler ou bien les placer en quarantaine avant soins.». Selon lui, « accepter l’entrée sur le territoire de personnes porteuses de ces maladies, c’est se rendre complice des conséquences dramatiques qui pourraient arriver pour la population locale »

A l’heure actuelle pourtant, l’OMS (Organisation mondiale de la Santé) préconise de fermer les yeux, presque par militantisme : « L’OMS ne recommande pas de dépistage obligatoire des maladies chez les réfugiés ou les migrants car on ne dispose pas d’éléments tangibles sur les avantages (ou le rapport coût/efficacité) de cette intervention, qui pourrait être également source d’anxiété pour les réfugiés et pour la communauté au sens large.»

Les résultats du dépistage ne doivent jamais être utilisés comme raison ou justification de l’expulsion d’un réfugié ou d’un migrant (...)"

La suite de l'article fait froid dans le dos...


Hubert Védrine : "Les élites doivent écouter les demandes d'identité, de souveraineté et de sécurité des peuples"

Hubert Védrine accorde un long entretien aux Echos. Extraits :

AVT_Hubert-Vedrine_2927La demande de frontières formulée par les peuples préfigure-t-elle un mouvement de démondialisation ?

Les élites sont bien obligées d'admettre que les peuples occidentaux, classes populaires puis classes moyennes, rejettent une mondialisation trop massive et trop perturbatrice et l'immigration de masse. Mais cela ne veut pas dire pour autant que le monde va se fermer, se « démondialiser ». Personne ne va renoncer à son portable. Je vois plutôt cela, après des excès, comme un balancier qui va se replacer au bon endroit. L'impact social, humain, culturel et identitaire de la baisse des droits de douane et de l'ouverture des marchés et des frontières a été très sous-estimé, c'est donc une correction. Il ne faut pas se faire peur : le monde va rester ouvert, avec plus de régulation, nationale ou internationale, sur les mouvements de personnes (…)

Que dites-vous à ces élites mondialisatrices, selon votre expression ?

(…) je dis aux responsables politiques et à tous ceux qui ont accès à la parole publique, qu'il faut entendre les demandes d'identité, de souveraineté et de sécurité des peuples, au lieu de s'en indigner, les canaliser, y répondre (…)

La zone euro n'est-elle pas le bon espace pour faire repartir l'Europe ?

Il faut la renforcer mais, politiquement, cela ne suffit pas. Que l'euro marche bien, et ne soit pas vulnérable à une autre crise monétaire, est un objectif rationnel, important en soi. Mais cela ne répond pas aux attentes des peuples. On ne passe pas directement d'une zone euro, même perfectionnée, à une relance de l'Europe. Relance de quoi d'ailleurs ? Si cela veut dire plus de construction européenne, avec de plus en plus d'intégration comme le veulent les élites intégrationnistes, les peuples ne suivront pas. Sauf si les dirigeants européens arrivent à se mettre tous d'accord sur la maîtrise des flux migratoires, ce qui rendrait les opinions publiques européennes plus réceptives à d'autres progrès en Europe.

Que faut-il faire face à la crise migratoire ?

D'abord sauvegarder le vrai droit d'asile, sans le dévoyer, pour les personnes réellement en danger et, d'autre part, cogérer les flux migratoires économiques avec les pays de départ et de transit, en fonction de nos capacités d'insertion et de nos besoins économiques. On peut imaginer des réunions annuelles avec les pays européens de l'espace Schengen, les pays de départ et ceux de transit, avec une multitude d'accords sur mesure.

Il faut casser le vocabulaire qui est employé à dessein pour tout confondre : demandeurs d'asile et migrants. L'extrême gauche joue la carte migratoire, et de l'islamo-gauchisme. L'extrême droite veut pouvoir dénoncer une invasion générale. Et les ONG ne veulent pas non plus distinguer et parlent de réfugiés à propos de migrants économiques.

Certains pays mettent en avant la montée de l'islamisme pour expliquer la peur des musulmans ? Est-ce que cela peut évoluer ?

Cela diminuera si l'islamisme recule ! Pour le moment ce n'est pas le cas. Il suffit de parler avec des dirigeants musulmans qui sont en lutte chez eux, en première ligne, contre l'islamisme. Je connais beaucoup de musulmans marocains, algériens, tunisiens, mauritaniens, égyptiens, etc. qui disent : « vous êtes trop naïfs. Le voile, c'est organisé, c'est parfois payé. Il faut juste l'interdire. » Ils osent dire que l'islamisme, qui s'est emparé du sunnisme, est un nazisme. Pour moi, il faut une alliance, une coalition mondiale des musulmans modérés et des démocrates.

La France a-t-elle échoué pour trouver une solution à la guerre civile en Syrie ?

Sur la Syrie, les Occidentaux, et nous en particulier, ont échoué. Ses postulats moraux étaient honorables, mais la politique française des dernières années nous a mis hors jeu. En fait, nous n'avons plus de levier, sauf à nous entendre avec les Russes.

Que faire face à la Russie ?

Depuis vingt-cinq ans, les torts ont été partagés entre Occidentaux et Russes. Je ne dis pas que, depuis la fin de l'Union soviétique, elle a été mal traitée, mais elle l'a été de façon idiote. Reconduire sans cesse des sanctions ou haïr Poutine ne constitue pas une stratégie. Il faut en sortir par le haut. Emmanuel Macron a raison de dire qu'il faut réarrimer la Russie à l'Europe, et d'en refaire un partenaire stratégique, même si cela n'est pas facile."


Immigration : Charité ou spiritualisme désincarné

De l'abbé Fabrice Loiseau, supérieur des Missionnaires de la Miséricorde divine :

Images-8"Un vrai débat théologique, éthique et politique doit s’instaurer dans l’Église pour présenter une réflexion cohérente vis-à-vis de l’immigration. Sur une question aussi délicate, il n’est pas juste d’isoler un discours pontifical (celui du pape François) sans tenir compte de l’ensemble des textes magistériels à ce propos.

Pour beaucoup d’autorités ecclésiastiques, la charité évangélique interdirait aux États de poser des limites à l’immigration en vue du bien commun. Il ne faut pas oublier que le pouvoir politique est institué pour gouverner une nation dans les limites de son territoire. Certains voudraient qu’on supprime les notions de patrie ou de nation, mais alors nous ne sommes plus dans le droit naturel.

La charité ne saurait être une fausse pitié, il ne s’agit pas d’une vertu anarchique, elle doit être régulée par la justice et la prudence. Pour prendre un exemple, un père de famille ne peut introduire par charité dans son foyer une personne qui par son comportement anormal nuirait à l’unité familiale.

Ainsi en 1989, la commission Justice et Paix déclarait : «  Il appartient aux pouvoirs publics, qui ont la charge du bien commun, de déterminer la proportion de réfugiés ou d’immigrés que leurs pays peu-vent accueillir  ». Le Catéchisme de l’Église Catholique est aussi très ferme sur ce sujet : «  Les autorités publiques peuvent en vue du bien commun dont elles ont la charge, subordonner l’exercice du droit d’immigration à diverses conditions juridiques, notamment au respect des devoirs des migrants à l’égard du pays d’adoption ; l’immigré est tenu de respecter avec reconnaissance le patrimoine matériel et spirituel de son pays d’accueil  ».

C’est la continuité de ce que Pie XII déclarait en 1946 : «  En cette matière, ce ne sont pas les seuls intérêts des immigrés, mais aussi la prospérité du pays qui doivent être consultés  ».

Il serait donc malvenu d’imposer un point de vue dogmatique obligeant les catholiques à accepter une immigration importante sans envisager tous les aspects prudentiels. Une nation est une réalité fragile qui peut être mise en péril par des politiques inconstantes, ce qui rejoint la pensée de saint Jean-Paul II sur la patrie dans Mémoire et identité. Place au débat pour la survie des nations."


Un passeur de migrants emprisonné, ses soutiens -poursuivis par Génération identitaire- restent silencieux

Lu dans Minute :

2888_page_01"Il était une fois Chamseddine Bourassine, pêcheur tunisien et « sauveur de migrants ». Alors que l’Europe laissait se noyer les réfugiés dans la Méditerranée, Chamseddine, lui, en « sau vait » depuis 2015 des centaines en les recueillant à bord de son petit bateau de pêche. Las… Depuis une dizaine de jours, Chamseddine, prénom qui en arabe signifie « soleil de la religion », médite dans une prison italienne avec les cinq membres de son équipage. Rome l’accuse d’être un trafiquant de clandestins, un « passeur ». Naturellement, sa version est radicalement différente. A l’en croire, il pêchait tranquillement lorsque sa route a croisé par le plus grand des hasards celle d’une embarcation en détresse avec à son bord quatorze migrants. Obéissant « aux lois de la mer », Chamseddine affirme avoir aussitôt prévenu les gardes-côtes italiens qui n’auraient pas réagi. Il a alors pris en remorque la barque chargée de migrants et s’est dirigé vers l’île italienne de Lampedusa. Pourquoi pas vers la Tunisie toute proche ? « Les réfugiés ne voulaient pas », affirme Chamseddine. [...]

Il est, en revanche, un abonné absent parmi les soutiens de Chamseddine : l’extrême gauche française. Voici un an, à l’été 2017, Chamseddine avait travaillé avec des groupuscules anarchistes afin d’empêcher le C-Star, le navire affrété par Génération identitaire pour bloquer les barques des passeurs, d’aller se ravitailler en Tunisie. A cette occasion, Chamseddine avait organisé des manifestations « antifascistes » dans le port de Zarzis. On aurait pu croire que son arrestation allait donner lieu à une de ces mobilisations dont les antifas français ont le secret, mélange emphatique de pleurniches et d’appels aux dons, mais, non, rien. Il est sans doute une raison à cet étrange silence. Le 17 septembre prochain, Yannis Youlountas et Jean-Jacques Rue, deux des meneurs anti-identitaires de l’été dernier, passeront en appel devant la cour d’Aix-en- Provence. Génération identitaire les poursuit pour diffamation et menaces de mort. En première instance, Youlountas a été relaxé mais Rue a été condamné à deux mois de prison avec sursis et 900 euros de dommage et intérêts. L’affaire Chamseddine tombe mal pour eux. Pas question donc de se faire remarquer en le soutenant publiquement. La « solidarité internationale antifasciste » a ses limites. [...]"


8 ans de vacances en France: "Monsieur Macron, on est sans-papiers, on t'aime trop ici"

Lors du "bain de foule" d'Emmanuel Macron vendredi 7 septembre, sur le Vieux-Port de la cité phocéenne, un jeune homme se présentant comme « sans-papiers » est venu l’aborder :

« Monsieur Macron, on est sans-papiers, on t’aime trop ici ! ».

Ce dernier ne lui répond pas "Monsieur, le président, nous vous aimons trop ici", mais :

« Il faut régulariser la situation ».

L'autre lui dit être algérien mais avoir « grandi ici, à Marseille », où il vient également « pour les vacances ». Devant un président de la République qui lui répète de se mettre en règle et s’interroge sur l’avancement de sa demande de régularisation, l’individu donne le chiffre de « huit ans ».

« Vous vous foutez de moi ? Ça fait huit ans que vous êtes sans-papiers ? »

Et oui. Bienvenue en France.


7 personnes blessées par un Afghan, à Paris

Unknown-28Un homme de nationalité afghane a attaqué des personnes qui lui étaient inconnues dans la rue. Dans un premier temps, l’agresseur aurait d’abord poignardé trois personnes. Des hommes qui jouaient à la pétanque sur un terrain voisin ont tenté de le stopper. L’un d’eux lui a jeté une boule, parvenant à le toucher, mais sans le mettre hors d’état de nuire. L’homme a alors poursuivi sa route.

Il s’en est pris notamment à deux touristes anglais, dont l’un a été blessé au thorax. Une autre de ses victimes a été gravement touchée par un coup de couteau à la tête. L’agresseur, lui aussi blessé, a finalement été interpellé par un équipage de la BAC.

Sept personnes au total ont été blessées par l’individu, dont quatre grièvement.

Une enquête a été confiée au 2ème district de police judiciaire du chef de tentative d’homicides volontaires. De source proche de l’enquête, on indique qu’aucun élément ne permet d’affirmer à ce stade qu’il s’agit d’une attaque terroriste...


La question migratoire est la mère de tous les problèmes dans ce pays, selon le ministre allemand de l'Intérieur

Unknown-15Le ministre de l'Intérieur Horst Seehofer, président du parti bavarois CSU - en principe allié à celui de centre-droit d'Angela Merkel (CDU) - a de nouveau tiré à boulets rouge suite aux manifestations et incidents qui se sont déroulés à Chemnitz :

"La question migratoire est la mère de tous les problèmes dans ce pays".

Il a aussi pris la défense des manifestants à Chemnitz qui ont protesté après le meurtre à l'arme blanche d'un Allemand, dont sont soupçonnés plusieurs demandeurs d'asile. Le ministre a affirmé "qu'en tant que citoyen", il serait "aussi descendu dans les rues" de la ville.

« Cela ne fait pas de ces gens en colère des nazis ». « En premier lieu il y a un crime brutal ».

Angela Merkel avait dénoncé « la haine dans les rues ». Elle doit se rendre à Chemnitz dans les jours qui viennent.


« Pourquoi les immigrés ne vont-ils pas dans les pays arabes riches ? »

Réponse d'Ahmed Aboul Gheit, secrétaire général de la Ligue arabe, sur la chaîne Tian Wei :

Unknown-13"C’est très simple : nous ne faisons pas d’exceptions avec ces gens. Lorsqu’ils franchissent nos frontières et demandent l’asile, la prochaine étape est qu’ils signent un document qui les oblige à respecter tous les droits et règles de nos pays, et qui précise qu’en cas de violation de cet accord, ils seront condamnés, avec une procédure accélérée, aux mêmes peines que la population locale (ce qui peut aller dans les cas graves jusqu’à la peine capitale) et seront renvoyés dans leur pays de provenance aussitôt leur peine terminée.

Nous leur faisons signer également un accord stipulant que l’aide financière qu’ils touchent pour leur intégration dans nos pays doit être intégralement remboursée dans les deux ans, faute de quoi nous saisissons tous leurs biens et ils seront expulsés définitivement de nos pays.

Si quelqu’un ne sait pas lire et écrire, il apposera au document son empreinte digitale. Il n’y a aucune excuse du genre : « je ne connaissais pas la culture locale », ce qui serait d’ailleurs peu crédible dans le cas des personnes arabes, et ce genre d’excuse n’est pas pris en compte.

Tous ces arguments que je viens vous citer sont arrivés aux oreille de chaque migrant, c’est pourquoi ils ne veulent pas demander d’asile dans les pays arabes.

[...] L’Europe de l’Ouest finira par se réveiller et regarder la situation telle qu’elle est. Il faudrait que les dirigeants de l’Europe de l’Ouest soient envoyés à Doha au Qatar ou encore en Arabie saoudite pour demander l’asile dans ces pays pour qu’ils expérimentent « sur leur propre peau » ce que je viens de dire. Là, ils se réveilleraient !"


Drépanocytose et grand remplacement : l'Etat brise le thermomètre

FDesouche fait du trop bon boulot :

"L’Agence Française pour le Dépistage et la Prévention des Handicaps de l’Enfant (AFDPHE), en charge depuis 1972 du dépistage néonatal de 5 maladies rares à la naissance a fermé ses portes en juillet.

Site officiel AFDPHE

Parmi les 5 dépistages qui étaient suivis par l’agence : la drépanocytose, une maladie génétique qui ne concerne quasi-exclusivement que les populations extra-européennes : « longtemps qualifiée de « maladie des noirs », car elle a été identifiée et caractérisée en premier lieu au sein de la population afro-américaine aux États-Unis » et dont « la mutation s’est renforcée dans les populations occupant les régions du globe soumises à une forte prévalence du paludisme. C’est pourquoi la drépanocytose, surtout présente en Afrique subsaharienne, l’est également sur le pourtour méditerranéen et en Inde, mais également, héritage du commerce triangulaire et de l’esclavagisme, sur le continent américain. ».

JO Sénat du 20/06/2018 – page 6200

Les chiffres du dépistage de cette maladie (publiés par l’AFDPHE) permettaient de lever une partie du voile sur les modifications en profondeur de la population française. En effet, en raison des particularités ethniques de cette maladie, le dépistage en France métropolitaine ne concernait que les enfants à risque en raison de l’origine de leurs parents (alors qu’il est en revanche systématique chez tous les enfants naissant en Guadeloupe, Martinique, Guyane, à la Réunion, à Mayotte). Les données disponibles permettent dès lors d’appréhender la réalité du bouleversement démographique en cours en France. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle certaines associations demandent un dépistage universel, aussi inutile que coûteux, afin d’éviter une « stigmatisation ».

Bilan 2016 AFDPHE

[...] D’autre part, la question du dépistage systématique de la drépanocytose à tous les enfants naissant sur le sol français a fait l’objet d’échanges au Sénat en juin dernier. Mme Agnès Buzyn, ministre des solidarités et de la santé s’est prononcé favorablement à cette systématisation :

« Le Défenseur des droits (…) a préconisé de mettre en place, à titre expérimental, un dépistage généralisé dans une région de métropole où la prévalence de la drépanocytose est élevée, par exemple l’Île-de-France, avant d’envisager une généralisation dans toute la France métropolitaine. (…) Cette préconisation a retenu toute mon attention. C’est pourquoi j’ai décidé, notamment au regard des données médicales récentes qui m’ont été apportées, de saisir de nouveau la Haute Autorité de santé (…). Il s’agira également de définir, si tel était le cas, les modalités pertinentes d’une généralisation de ce dépistage néonatal sur tout le territoire métropolitain. »

JO Sénat du 20/06/2018 – page 6200

La carte 2016 sera donc probablement le dernier témoignage de ce que certains qualifient de carte du « grand remplacement »"

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Les Allemands manifestent contre les crimes des immigrés

DmBfplmXsAA8y0aSamedi 1er septembre, une semaine après l’attaque au couteau survenue à Chemnitz, dans l’est du pays, au cours de laquelle un Allemand a été tué par les demandeurs d’asile Yousif Ibrahim Abdullah et Alaa Sheiki, des citoyens se sont réunis dans cette ville, autrefois dénommée Karl-Marx-Stadt, afin de prendre part à une marche silencieuse. Le rassemblement de plusieurs milliers de personnes s’est déroulé à l’appel des sections des États fédérés du Brandebourg, de Thuringe et de Saxe du parti politique patriotique Alternative pour l’Allemagne (AfD), ainsi que du mouvement de rue anti-islamisation PEGIDA (Patriotische Europäer gegen die Islamisierung des Abendlandes/Européens patriotes contre l’islamisation de l’Occident) basé à Dresde, en Saxe. Les personnes ayant répondu à l’appel du parti patriotique local Pro-Chemnitz ont décidé de dissoudre leur manifestation et de se joindre à celle de l’AfD et de PEGIDA.

L’événement qui a conduit à la mort de Daniel Hillig et à l’hospitalisation de deux autres hommes découle du fait que ceux-ci sont intervenus afin de défendre une dame agressée par ces migrants.

En outre, au cours de la semaine écoulée, divers faits ont été relatés

  • Une dame de 63 ans a été brutalement violée par un agresseur à la peau sombre, dans le centre de Bad Krozingen, au Bade-Wurtemberg, entre 20 et 21 heures après avoir été attaquée et traînée sous un pont. 
  • À Lübeck, au Schleswig-Holstein, une étudiante a, en faisant des courses dans un supermarché, reconnu l’homme qui a tenté, quelques semaines auparavant, de la violer. L’Irakien de 29 ans a été arrêté, un prélèvement d’ADN a été réalisé et a indiqué que cet individu a été impliqué dans quatre autres agressions à caractère sexuel.
  • Un garçon de 10 ans a été violé par un condisciple afghan du même âge, lors du voyage scolaire d’une école de Berlin, alors que deux autres écoliers, un Afghan et un Syrien, âgés chacun de 11 ans, ont maintenu la victime.
  • À Francfort-sur-l’Oder, au Brandebourg, dix jeunes Syriens, déjà connus de la police, ont attaqué au couteau et à la barre de fer des personnes se trouvant dans une discothèque, à la suite du fait que deux d’entre eux avaient eu, un peu avant les faits, une altercation au sein de ce lieu d’amusement.
  • À Stuttgart, au Bade-Wurtemberg, un groupe de six hommes « inconnus » a harcelé sexuellement une femme de 23 ans et a ensuite frappé violemment l’homme de 29 ans qui l’accompagnait.
  • Dans un bus, à Gießen, en Hesse, une jeune femme de 18 ans a été harcelée et touchée aux parties intimes par un individu à la peau sombre.
  • À Thalham, en Bavière, un demandeur d’asile originaire d’Afrique noire a, complètement nu, bloqué la circulation automobile en jetant des chaises en plastique en travers de la route.
  • Durant la nuit, à Cottbus, au Brandebourg, un Tchadien a attaqué une dame et l’a frappée au visage.

Le président tchèque a exprimé sa sympathie pour les manifestants anti-immigration de Chemnitz :

« Franchement, j’ai plutôt tendance à sympathiser avec ces manifestants. Ils disent en fait à ‘Mutti’ Merkel qu’elle a invité ces migrants et que voilà le résultat »


Paris : Les riverains tentent de bloquer l’arrivée des immigrés

Capture d’écran 2018-08-29 à 21.42.59Au 151 de la rue des Poissonniers (XVIIIe), un ancien gymnase de l’US-Metro appartenant à la RATP doit accueillir une centaine d'immigrés.

Les actions des Identitaires ont donné des idées aux riverains... A 5h45 ce mercredi matin, les riverains se sont mobilisés devant l’entrée pour empêcher l’ouverture du centre. Bruno André, directeur de cabinet du Préfet de Paris, a annoncé qu’une discussion aurait lieu jeudi à 15 heures avec les riverains. Il s’est engagé à ne prendre « aucune décision sans accord de la majorité des locataires ».

Une riveraine témoigne :

« On nous propose de nous barricader. Ils veulent mettre une cloison pour séparer l’entrée du gymnase de l’entrée de l’immeuble, ça va ressembler à une maison d’arrêt ! »

« On nous dit que c’est provisoire, qu’ils resteront ici jusqu’au 17 septembre. Mais on n’en veut pas ! ».

Une situation qui « risque de finir en émeute », craint un habitant.


Face à l'UE, l'alliance entre Matteo Salvini et Viktor Orban

Mardi, Matteo Salvini a reçu le premier ministre hongrois Viktor Orban. Les deux hommes ont évoqué les contours d’une action commune pour endiguer les vagues migratoires avec un ennemi affiché : Emmanuel Macron.

Interrogé sur ces propos, Emmanuel Macron a répliqué:

"S'ils ont voulu voir en ma personne leur opposant principal, ils ont raison". Car "je ne céderai rien aux nationalistes et à ceux qui prônent ce discours de haine".

Pour le président français, "il se structure une opposition forte entre nationalistes et progressistes" en Europe.

"Les extrêmes ont progressé et les nationalismes se sont réveillés. Est-ce une raison pour abandonner ? Certainement pas (...). Il faut en réalité redoubler nos efforts".

Les échanges s'annoncent tendus au prochain rendez-vous des dirigeants européens, le 20 septembre à Salzbourg pour un conseil informel consacré en partie à l'immigration.


Ce n'est pas une fausse nouvelle : les membres des ONG qui aident les migrants sont criminels

Unknown-6La police grecque a annoncé aujourd'hui avoir démantelé un réseau criminel d'aide à l'immigration irrégulière, impliquant 30 membres d'une ONG active sur l'île de Lesbos, principale porte d'entrée des migrants en Grèce. Ils appartiennent à l'ONG grecque ERCI (Emergency response centre international), qui gère quatre programmes de soutien aux réfugiés en Grèce, notamment de recherche et sauvetage en mer. 

Une enquête était en cours après l'arrestation en février de deux membres de l'ONG, accusés d'espionnage et violation des secrets de l'État pour usage illégal des fréquences de secours en mer. Ils avaient été arrêtés à Lesbos au volant d'une camionnette portant de fausses plaques militaires. Le réseau offrait un concours direct aux réseaux organisés de trafic de migrants, en s'informant en avance de l'arrivée sur les îles de l'est égéen des barques de migrants venues des côtes turques proches et en organisant leur accueil. Les personnes impliquées ne rendaient pas compte de ces informations aux autorités responsables du secours en mer, contrairement à l'engagement à le faire de l'ONG, qui bénéficiait d'une autorisation officielle.


Propagande immigrationniste financée par l’argent public sur le temps scolaire

D'Edwige Diaz, Vice-présidente du groupe RN au conseil régional de Nouvelle-Aquitaine :

"Le 28 mai 2018, le Conseil régional de Nouvelle-Aquitaine a attribué une subvention de 6 000 € à une compagnie de théâtre Deux-Sévrienne pour l’organisation d’ateliers de « Sensibilisation sur la situation des réfugiés » et de « Lutte contre les préjugés sur les migrants » dans les collèges et lycées de ce département. Cette initiative s’inscrit dans le cadre de la campagne nationale « I welcome » organisée par Amnesty International.

Le caractère obligatoire de ces ateliers à destination d’enfants est symptomatique du non-respect de la liberté d’opinion et de l’endoctrinement de la jeunesse.

Alors que 20% des élèves de 6ème ne maîtrisent pas les fondamentaux que sont la lecture, l’écriture et le calcul, ces ateliers sont dispensés en collaboration avec un professeur référent et se tiennent sur le temps scolaire ! 

Contrairement au Conseil départemental, le Conseil régional n’a pas la compétence « Social ». Et pourtant,  l’exécutif socialiste mené par Alain Rousset et soutenu par des élus En Marche, n’hésite pas à sortir de son champ de compétence et à utiliser l’argent public pour financer son idéologie pro-immigrationniste."

Elle a écrit au recteur :

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Rennes : des immigrés veulent squatter un gymnase... mais il est déjà occupé pour l'Aïd

Une cinquantaine d'immigrés emmenés par le MRAP se sont retrouvés devant le complexe sportif du Haut-Sancé à Rennes, lundi 20 août pour y ouvrir un squat. La police leur a barré le passage.

Le gymnase du Haut-Sancé doit accueillir mardi 21 août, des célébrations de l’Aïd-El-Kébir...

Bienvenue dans la France d'après.


Réduction des budgets de la Police et de la Gendarmerie au profit des immigrés

Cherchez l'erreur : on coupe les crédits des forces de l'ordre pour les affecter aux immigrés, lesquels génèrent d'énormes problèmes de sécurité...

Dans un rapport, déposé le 4 juillet 2018, au nom de la commission des Finances, Philippe Dominati note que 133 millions d’euros en autorisations d’engagement et 110 millions d’euros en crédits de paiement ont été annulés pour la police nationale, ainsi que 111,4 millions d’euros en autorisations d’engagement et 90 millions d’euros en crédits de paiement pour la gendarmerie nationale. Ces annulations ont été permises par un décret d’avance du 20 juillet 2017, servant à financer des mesures relatives à l’allocation pour demandeurs d’asile, qui dépend de la mission "Immigration, asile et intégration", explique le sénateur.

Le rapport relatif à ce décret d’avance précise que ce besoin d’ouverture de crédits est dû d’une part "aux insuffisances des dotations inscrites en loi de finances initiale", et d’autre part "à la hausse constatée des flux de demandeurs d’asile", qui entraîne une augmentation du nombre de bénéficiaires de l’allocation pour demandeurs d’asile et des besoins d’hébergement liés aux opérations de mises à l’abri menées sur les derniers mois.


Une Yézidie réfugiée en Allemagne, rencontre par hasard son tortionnaire

Une adolescente yézidie asservie par l’État islamique est retournée en Irak après avoir rencontré l’un de ses tortionnaires dans les rues d’une ville près de Stuttgart, en Allemagne, où il résidait en tant que réfugié. Ashwaq Ta’lo a déclaré qu’elle marchait dans la rue en février dernier lorsqu’elle a aperçu Abu Humam, un ancien gardien de l’Etat islamique, qui l’avait achetée en Irak pour 100 dollars.

« J’avais des sueurs froides en regardant attentivement son visage ». « C’était Abu Humam, avec la même barbe effrayante et le même visage hideux. »

L’adolescente a déclaré que Humam avait immédiatement proféré des menaces en lui disant:

« Je suis Abou Humam et je sais vous étiez avec moi pendant un moment à Mossoul. Je sais où tu vis, avec qui tu vis et ce que tu fais. »

Ta’lo a dénoncé Humam aux autorités, mais la police allemande a signifié qu’elle ne pouvait pas l’arrêter parce que le tortionnaire djihadiste a obtenu un statut de réfugié politique. L’adolescente a décidé de quitter l’Allemagne et est retournée au Kurdistan irakien pour vivre avec son père. « Je ne reviendrai jamais ».


C'est un migrant qui a égorgé le passager du bus

L’homme soupçonné d’avoir égorgé un passager dans un bus parisien le 8 août, mis en examen et écroué jeudi, est un étranger en situation irrégulière, déjà connu des services de police pour différents types d’infractions.

Bruno Lafourcade analyse ce terrorisme de proximité :

"Dans le crime de masse, il appartient à la branche artisanale : c’est l’auto-entrepreneur de l’attentat, l’assassin du quotidien ; appelons-le le terroriste de proximité. Lui, il ne tue pas en se réclamant de Daesh, il n’a même pas besoin de crier : « Allahou akbar ! ». Non, lui, il va acheter un couteau de cuisine à Carrefour, et il poignarde sa voisine de quatre-vingts ans.

Avant, il a fait ses armes dans la drogue et la prédation, et s’est mêlé à d’autres ambitieux, qui tuent leur temps en tuant des individus isolés. Ils en choisissent un, blanc, lui demandent une cigarette, lui reprochent de les avoir regardés, et lui tombent dessus à sept ou huit, le tabassent et le laissent pour mort après lui avoir volé son smartphone et vingt euros. Si Anne-Sophie Lapix en parle, le lendemain, ce sera pour évoquer une « rixe » ou un « crime gratuit ».

Encouragé, notre homme lance donc sa petite entreprise. Encore une fois, ce n’est pas lui qui se fera sauter dans une salle de spectacle ou foncera dans une foule avec une estafette louée ; non, lui, il travaille dans le local : il essaie de violer une lycéenne à la sortie d’une boîte de nuit, et poignarde le jeune homme qui l’a défendue. Si Laurent Delahousse en parle, le lendemain, ce sera en évitant de dire son nom, sa nationalité, en indiquant qu’il est « déséquilibré », et en rangeant son attentat Leader Price parmi les faits divers.

Ce terrorisme artisanal, qui s’est tellement banalisé que nous ne voyons plus qu’il est du terrorisme, s’étend partout, désormais ; on le trouve à Périgueux, à Mons, à Châtellerault, à Dunkerque, à Aix, à Metz – partout, donc. Il continuera de prospérer tant qu’on le considèrera de façon isolée, seul dans son genre alors qu’il se produit tous les jours en France, tant qu’on jugera ces tueurs comme s’il s’agissait de types qui ont provoqué une bagarre dans un bal du samedi soir après avoir trop bu, tant qu’on refusera de les voir comme les membres du terrorisme islamiste, dont ils occupent un segment de marché en apparence moins spectaculaire que celui de leurs « grands frères » de Daesh, mais qui se révèle jour après jour plus meurtrier."


Les immigrés mineurs isolés : qui sont-ils ?

Lu sur Medscape :

"Selon le rapport du Sénat datant de juin 2017, ce sont essentiellement des garçons (95%), en fin d’adolescence (les deux tiers ont plus de 16 ans) arrivant majoritairement d’Afrique. Les principaux pays d’origine sont ceux d’Afrique sub-saharienne (Mali, Guinée, Côte d’Ivoire, Cameroun, RDC, Nigéria) mais les mineurs isolés sont également originaires d’Afghanistan, du Pakistan, du Bangladesh, d’Erythrée, du Soudan, d’Angola, de Syrie et d’Europe de l’Est. Le choix de la France comme destination repose en partie sur une langue et une culture commune. C’est souvent le cas pour les mineurs isolés étrangers originaires d’Afrique francophone.

Leur profil diffère sensiblement de celui des migrants adultes : beaucoup sont « mandatés » par leur famille, leur parcours « est bien souvent organisé par des filières » et ils cherchent plus des « opportunités économiques » que l’asile, affirme le rapport du Sénat.

En 2010, en France, le nombre de mineurs migrants confiés aux départements était de 4000. En 2016, leur nombre a augmenté de 85% pour dépasser 25 000 jeunes pris en charge. Certaines évaluations parlent même de près de 50 000 jeunes migrants arrivés depuis 2017 sur le territoire.

A savoir : Le mineur, contrairement à l’adulte, n’a pas à justifier d’un titre de séjour en France, donc ne peut pas être expulsé, reconduit à la frontière ou placé en rétention."

Ceux qui accueillent de façon aveugle les mineurs étrangers doivent savoir qu'ils ne sont que de hameçons pour favoriser l'immigration de peuplement.


Immigration et trafic d'êtres humains : le nouvel esclavagisme

Un vaste réseau d'esclavagisme moderne vient de tomber entre l'Espagne et la France : plus de 350 immigrés clandestins, en provenance d'Afrique de l'Ouest, ont été acheminés principalement en France ces derniers mois par l'intermédiaire d'une filière qui vient d'être démantelée par la police espagnole. Les enquêteurs ont ainsi fait tomber un réseau particulièrement bien organisé qui revendait ces migrants à d'autres organisations criminelles.

Les trafiquants promettaient l'eldorado français à des hommes du Mali, du Sénégal, de Côte d'Ivoire ou de Guinée mais très vite, le piège se refermait sur les candidats au départ. Les trafiquants leur fournissaient de faux papiers, organisaient leur transfert jusqu'en Espagne par de petits bateaux, mais au moment d'arriver enfin en France, les clandestins étaient revendus à d'autres réseaux.

Ensuite, des gens en France, en Grande-Bretagne, en Allemagne, vont acheter quatre, cinq, sept personnes africaines et ils les envoient devant les portes des églises, des supermarchés pour mendier ou bien ils les font travailler dans des écuries.

Evidemment, les immigrationnistes, qu'ils soient politiciens, associations, clercs, se rendent complices de ces trafics d'être humains en appelant à l'accueil systématique de ces immigrés.


Retour au réel en pleines vacances...

Les vacanciers qui se prélassaient le 27 juillet sur une plage près de Tarifa, dans le sud de l'Espagne, ont vu débarquer un petit bateau pneumatique à moteur de type Zodiac avec à son bord plusieurs dizaines d'immigrés. En provenance du Maroc, ces derniers ont traversé le détroit de Gibraltar qui sépare l'Afrique de l'Europe.


La fermeture de ses ports par l’Italie et sa coopération avec le gouvernement de Tripoli sauve des vies en Méditerranée

D'Olivier Bault dans Présent :

Di9PIyvX0AI03XF"Les chiffres de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) ne laissent aucun doute : la fermeture de ses ports par l’Italie et sa coopération avec le gouvernement de Tripoli sauve des vies en Méditerranée. Selon les chiffres de l’OIM, entre le 1er janvier et le 22 juillet 2018, il y a eu 17 981 arrivées d’immigrants illégaux et 1 109 noyades. Durant la même période de 2017, il y avait eu 93 419 arrivées et 2 222 noyades. Si l’Europe voulait vraiment mettre fin aux noyades en Méditerranée, elle prendrait les mêmes mesures que l’Australie. Depuis 2013, l’Australie interne systématiquement les immigrants clandestins repêchés en mer ou interceptés à leur arrivée sur les côtes australiennes dans des centres de détention gérés sur d’autres îles avec lesquelles l’Australie a signé des accords. Sous le gouvernement travailliste aux commandes de 2007 à 2010, l’immigration illégale par la mer avait totalisé environ 50 000 personnes et fait 1 200 morts par noyade. Depuis 2013, il n’y a plus eu aucune noyade puisque le flot d’embarcations transportant des immigrants clandestins s’est subitement arrêté. On nous dit que les immigrants clandestins sont maltraités en Libye, mais le jour où tous seront systématiquement refoulés, ils ne se rendront tout simplement plus en Libye, ce qui épargnera aussi des vies dans le désert.

Le chef de la Ligue désormais aux commandes du ministère italien de l’Intérieur ne cache pas que son but ultime est d’arrêter toute immigration clandestine et non pas de répartir les arrivées dans toute l’Europe comme l’exige aujourd’hui l’Italie. Matteo Salvini se félicitait d’ailleurs dimanche d’une opération de sauvetage menée par les garde-côtes italiens à la suite de laquelle les quarante immigrants clandestins récupérés en mer avaient été ramenés à bon port en Libye. Mais pour mettre fin à ce que le ministre italien de l’Intérieur appelle « le sale business de l’immigration clandestine », il faudra sans doute encore attendre une victoire des droites populistes ou au moins de leurs idées en France et en Allemagne.

Face à la proposition de la Commission européenne de verser 6 000 euros par immigrant illégal accueilli, Salvini a répondu que « l’Italie n’a pas besoin de l’aumône de l’UE », car chacun de ces immigrants lui coûte entre 50 000 et 60 000 euros. Le journal Il Tempo a fait le calcul pour les huit dernières années : pour l’accueil des clandestins, les Italiens ont déboursé 19,9 milliards d’euros ! C’est pourquoi Salvini a déjà annoncé une réduction des subventions versées pour l’accueil de ces « migrants », en promettant d’allouer l’argent à la hausse des salaires des policiers italiens et des minima sociaux.

Face au chef de la Ligue qui, un chapelet et une bible à la main, avait juré pendant la campagne électorale d’être fidèle au peuple italien et de respecter les enseignements contenus dans la Constitution italienne et dans l’Evangile, certains prêtres et évêques catholiques méconnaissent l’éthique de la responsabilité à laquelle est tenu tout dirigeant chrétien et se donnent bonne conscience en appelant les Italiens à désobéir à l’« antéchrist » Salvini (père Alex Zanotelli lors d’une messe dans la crypte de la basilique Saint-Pierre du Vatican dimanche dernier) ou en se déclarant prêts à transformer toutes les églises en mosquées si cela peut sauver les « migrants » (Mgr Raffaele Nogaro, ancien évêque de Caserta)."


Des mesures chocs pour lutter contre les "ghettos ethniques"

IndexPas de panique : c'est au Danemark que ça se passe ! Ce qui prouve que même en "démocratie libérale", on peut, ailleurs qu'en France, regarder la réalité en face. Nous ne nous exprimerons pas sur les mesures proposées, qui doivent être analysées dans le détail et correspondent peut-être aux besoins du Danemark. Encore faut-il que ces annonces se traduisent dans les faits, et que l'alternance démocratique, que la galaxie envie aux démocraties libérales, ne renvoie pas, dès les prochaines élections danoises, ces mesures à la liste sans fin des bonnes intentions restées lettres mortes... Extrait.

Poser le problème du ghetto

Le Premier ministre libéral, Lars Lokke Rasmussen, revendique une forme de lucidité face aux problèmes posés par l'intégration, suite à l'échec de plans successifs. Le Danemark a procédé de manière inédite, en choisissant de donner une définition du ghetto – c'est le seul pays en Europe à le faire. Selon eux, il se caractérise notamment par un taux de 50% d'habitants d’origine non occidentale, par un pourcentage élevé de criminalité, un fort taux de chômage et de faibles revenus. Le rapport en a recensé 25 dont 16 particulièrement difficiles, agrégeant au total une population de 60 000 habitants. Le Premier ministre a commencé à présenter ces mesures dans un de ces ghettos, Mjolnerparken, en mars dernier. En voici les grandes lignes.


Romain Espino, responsable identitaire, a été licencié suite à la pression de l'extrême-gauche


Terres de Mission : Immigration et droit des peuples

Eglise universelle : Les 50 ans d’Humanae Vitae

Après plusieurs années de réflexions et de consultations le pape Paul VI promulguait le 25 juillet 1968 l’encyclique Humanae Vitae sur ” Le mariage et la régulation des naissances”. A rebours de ses conseillers et de la pensée dominante il rappelait qu’il n’est jamais licite, dans l’acte conjugal, de volontairement dissocier union et procréation. Monsieur l’abbé Barthe explicite les raisons de cette condamnation, précise le degré d’autorité de ce document et rappelle les raisons pour lesquelles ce texte fut mal accueilli par une grande partie de l’épiscopat mondial.

Eglise en France : Immigration et droit des peuples

Délégué général d’ICHTUS, Guillaume de Prémare, présente le numéro d’été de la revue Permanences consacré à Immigration et droit des peuples. L’approche est inhabituelle puisqu’elle ne s’intéresse pas qu’aux droits des personnes mais aussi à ceux des peuples à, par exemple, défendre leur identité. Avec la collaboration de Alexandre Devecchio, Philippe Pichot-Bravard, Jean-Paul Bolufer, etc.

Eglise en Marche : Restauration de la chapelle Saint Pierre-aux-Liens

Président de l’association mémoire du Futur, Reynald Secher oeuvre depuis 1993 à la restauration de la chapelle de Saint Pierre aux-Liens dans la commune de La chapelle-Basse-Mer entièrement détruite par les colonnes infernales lors des guerres de Vendée. Chaque été des équipes de jeunes se relaient, à l’occasion d’un camp-chantier, afin de mener à bien cette restauration.


Le chaos migratoire qui s’installe est le fruit d’un système économique mondial désordonné

Extrait de la revue Permanences de Mai-Juin 2018 « Immigration et droits des peuples » :

Permanences"Le monde est confronté à une crise migratoire majeure. Il convient tout d’abord de définir ce qu’est une « crise migratoire ». En effet, tout mouvement de migration ne constitue pas par principe une « crise majeure », même s’il est le plus souvent lié à des difficultés particulières dans les pays d’origine. Un mouvement migratoire peut être qualifié de « crise majeure » lorsque ses causes traduisent une situation structurellement délétère dans les pays de départ, lorsqu’il provoque une déstabilisation importante des pays d’accueil – économique, sociale, culturelle et/ou sécuritaire – et lorsque le nombre d’immigrés rend très difficile, voire impossible, un accueil décent et une intégration suffisante.

Les phénomènes migratoires que nous connaissons aujourd’hui réunissent ces trois critères. Cette « crise » manifeste clairement un désordre du monde, à un degré tel que l’on peut parler de « crise systémique » : la crise migratoire est notamment liée à ce que l’on nomme mondialisation ou globalisation, à cette transformation extraordinaire du monde causée par le système économique mondial – un turbo-capitalisme financiarisé – qui produit des déséquilibres économiques et des désordres géopolitiques (les guerres qui causent les mouvements de réfugiés sont bien souvent au service des appétits économiques et financiers). D’une certaine manière, le monde ne « tourne pas rond ».

Un libéralisme migratoire

Ce désordre n’est donc pas seulement lié au fait que les obstacles au développement sont nombreux pour les pays du Sud, assujettis à une nouvelle forme de colonialisme économique et bien souvent paralysés par des structures politiques corrompues par les puissances économiques. Il ne suffirait pas d’introduire un peu de vertu ici et là pour résoudre la question. Ce désordre est bien systémique. Depuis le début des années 1990, nous sommes entrés dans un système fondé sur le libre-échange. Le principe même du libre-échange exige la suppression (ou le contournement) des frontières. Nous voici donc confrontés à un triple libéralisme : un libéralisme financier (libre-circulation des capitaux), un libéralisme marchand (libre- circulation des marchandises), un libéralisme migratoire (libre-circulation des hommes).

Ces trois libéralismes vont ensemble : il est incohérent de dénoncer le libéralismes financier et marchand en oubliant le libéralisme migratoire. Ce libéralisme migratoire joue en effet un rôle spécifique dans ce processus de mondialisation :

  • Importer une main d’œuvre jeune dans les pays européens vieillissants.
  • Faire pression à la baisse sur les salaires.
  • Dissoudre les identités pour rendre les populations culturellement interchangeables, donc malléables et disponibles selon les besoins de la production.

C’est ce parfait cynisme qui fut à l’œuvre en Allemagne à l’été 2015, à la demande du patronat allemand, lorsque Madame Merkel a ouvert les vannes à un afflux massif de réfugiés. Ce n’est pas un hasard si le plus grand nombre de ces réfugiés étaient des hommes seuls, jeunes ou dans la force de l’âge. D’une certaine manière, leurs caractéristiques correspondaient à la « commande » du patronat.

Une propagande de masse

Ce processus migratoire voulu par les puissances économiques et financières s’accompagne d’une campagne de conquête culturelle et idéologique, avec l’appui des médias de masse :

  • Promotion du principe de libre-circulation (mondialisation heureuse, croissance, emploi, etc.).
  • Diabolisation de la notion de frontière, présentée comme le symbole du repli, de l’égoïsme et de l’isolationnisme.
  • Promotion d’une idéologie multiculturelle.
  • Fabrication de la figure sacrale et intouchable du migrant.
  • Indifférenciation du type de migrations, rendant floues les distinctions entre migrants économiques, réfugiés de guerre et demandeurs d’asile.
  • Diabolisation de la distinction entre types d’immigrations, présentée comme une forme de discrimination.
  • Transformation du vocabulaire (migrant ou réfugié à la place d’immigré, disparition de la notion d’immigration clandestine).
  • Humanitarisation du débat sur l’immigration, réduit à sa dimension morale (accueillir c’est bien, réguler c’est mal).
  • Diabolisation des opposants au libéralisme migratoire (charge sémantique disqualifiante : nationalisme, populisme, racisme, xénophobie, repli identitaire, isolationnisme, protectionnisme).
  • Conversion d’un certain nombre d’associations humanitaires en promoteurs et instruments facilitateurs de la migration de masse.
  • Martelage du caractère inéluctable du phénomène migratoire de masse.

Ces éléments de langage constituent une propagande de masse au service des politiques migratoires libérales. Ces politiques publiques favorisent la désorganisation des contrôles aux frontières (l’espace Schengen rend inopérant le contrôle des frontières extérieures et intérieures de l’Union européenne), des législations rendant toujours plus difficiles les reconduites à la frontière, un regroupement familial permettant de fixer les populations immigrées, un accès toujours plus aisé à la nationalité, etc.

Un enjeu majeur pour le système économique

L’Union européenne a tenté d’imposer ce type de politiques migratoires à l’ensemble des pays européens, notamment en exerçant une forte pression sur ceux qui refusaient de s’y plier. C’est ainsi que les pays du groupe de Visegrad (Pologne, Hongrie, République Tchèque et Slovaquie) ont été l’objet de menaces de sanctions, de procédures d’infraction, de réduction des fonds structurels. Si l’Union européenne a pris le risque énorme de se fracturer elle-même en poursuivant de telles velléités punitives, c’est parce que l’enjeu est essentiel : c’est l’un des aspects majeurs de la globalisation qui se joue ici. Si tous les pays ne jouent pas le jeu, le système économique fondé sur le principe de libre-circulation en est affaibli.

D’une certaine manière, les puissances choisissent de prendre le risque d’un certain chaos migratoire, d’une division de l’Union européenne et d’une fracture avec les opinions publiques plutôt que de renoncer à l’émergence d’un monde global de libre circulation des capitaux, des marchandises et de la main d’œuvre. Dans cette logique, les hommes sont réduits à leur dimension de producteurs-consommateurs et les droits des peuples sont piétinés : droit au développement, droit à vivre et travailler dans son pays, droit à la culture, droit à la continuité historique, droit à la sécurité, etc.

Le besoin de frontières

Or, les pays du Sud ont besoin de pouvoir retenir sur leur sol leurs forces vives ; et les pays européens ont besoin de pouvoir mettre en place de véritables politiques migratoires. Pour cela, ils ont besoin de frontières. En effet, les frontières constituent l’un des outils majeurs d’une politique migratoire. Contrairement à ce qui est souvent avancé de manière manichéenne, une politique migratoire n’est pas nécessairement une politique qui exclut par principe toute migration. Une frontière n’est pas faite pour être définitivement et absolument fermée, elle est faite pour réguler. Et elle est « un espace de négociation » avec les pays du Sud, comme le précise l’universitaire Stephen Smith.

Les pays européens n’ont pas à choisir entre « immigration zéro » et « anarchie migratoire », ils ont à mener un politique raisonnable. Il est vrai en effet que cela fait partie de notre tradition, de notre honneur et de nos devoirs d’accueillir des personnes persécutées, des réfugiés de guerre et des personnes qui fuient la misère. Cela doit pouvoir se faire de manière maîtrisée, en respectant autant que possible le bien commun des pays d’accueil, celui des pays d’origine, et in fine le bien commun global d’un monde qui gardera quoiqu’il arrive un certain niveau d’interdépendances. Il s’agit dès lors de déterminer des critères d’accueil (donc distinguer entre les types d’immigration) et un nombre jugé accessible. Dans ce cadre, non seulement les contrôles aux frontières ne sont pas en contradiction avec une authentique politique migratoire d’accueil, mais encore en sont-ils la condition sine qua non.

La justice ou la guerre

En parallèle, nos pays européens sont confrontés à un enjeu démographique important. Ils ont tort de croire qu’il soit possible de compenser leur déficit démographique par l’immigration. D’une part parce que si tous les hommes sont égaux en nature et en dignité, les peuples ne sont pas interchangeables. L’homme est en effet un être social et culturel. D’autre part parce que l’absorption du surplus démographique de l’Afrique ne peut que rendre la vie commune impossible dans les pays d’accueil en même temps qu’elle ne résout pas le problème structurel de l’Afrique. Respecter le droit au développement des nations implique de les aider à fixer leurs forces vives sur leur sol, exige de renoncer à l’impérialisme géopolitique mis au service de logiques marchandes, et à fournir une aide au développement enfin libérée des appétits de prédation.

Mais si nous poursuivons la marche actuelle de la mondialisation exigée par le système économique global, la vie commune deviendra impossible, entre cultures sur notre sol, mais aussi entre continents et nations. D’une certaine manière, nous avons le choix entre la justice et la guerre."


Viktor Orban annonce le retrait de la Hongrie du Pacte Mondial sur les migrations


Robert Pommies : un préfet au cœur de l'immigration

Ancien préfet, Robert Pommies a été, jusqu'il y a peu, membre influent de la Cour nationale du droit d'asile. Il a participé à 323 audiences et s'est prononcé sur les cas de 3 332 demandeurs d'asile originaires de 84 pays différents. Il est au cœur de la gestion de l'immigration et donne un témoignage édifiant... et inquiétant.


Non, l’équipe de France n’est pas « plus forte » parce qu’elle est multiraciale

Puisque la mode est à la récupération, évoquons ces joueurs de l'équipe de France qui sont chrétiens, ce qui nous change de l'équipe arabe-musulmane de Ribéry... Olivier Giroud évoque sa foi chrétienne. Pendant le tournoi, son livre de chevet s’intitule Un moment avec Jésus, écrit par Sarah Young, auteur américain membre de l’Église presbytérienne :

« Ma mère m’a initié à la religion et j’ai choisi de me faire baptiser catholique », a-t-il expliqué en 2012 dans le magazine d’information de la communauté d’agglomération de Montpellier. Sur son avant-bras, il s’est fait tatouer le premier verset en latin du psaume 23 « Dominus Regit Me Et Nihil Mihi Deerit » qui signifie « le Seigneur est mon berger, je ne manque de rien ». Hier soir, Olivier Giroud a dit en direct sur TF1 qu'il ne se rasera pas la tête (comme promis en cas de victoire) tout de suite car le 22 juillet il y a le baptême de son fils...

Antoine Griezmann arbore un imposant portait du Christ sur l’épaule. Il possède également un tatouage de la Vierge Marie, son tout premier. 

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Dans un reportage, diffusé sur Canal +, intitulé « Jésus Football Club », Blaise Matuidi a évoqué son baptême célébré par son ancien coéquipier brésilien du Paris SG et pasteur évangélique Marcos Ceará.

Et cela exaspère la militante Caroline Fourest :

SmartSelect_20180715-200612_TwitterA côté, il y a les musulmans N’Golo Kanté et Paul Pogba.

Sur Twitter, Julien Rochedy rappelait certaines vérités :

"Non, l’équipe de France n’est pas « plus forte » parce qu’elle est multiraciale. Les propagandistes de gauche sont déjà partis dans leur délire en utilisant les victoires de l’EDF pour leurs idées-fixes. Ainsi, il faudrait remercier l’immigration « parce qu’elle fait gagner la France (dans le foot) » Ceci est stupide à bien des égards. D’abord, on peut remarquer que c’est encore une fois la gauche qui ne voit dans les gens que leur race (des noirs, des arabes, etc.) plutôt que de ne voir que des Français. Mais on le sait, la gauche est obsédée par les races.

Ensuite, oui c’est vrai, l’EDF est composée de beaucoup d’enfants de l’immigration. Mais pas parce qu’ils sont plus forts que les autres (sinon l’Afrique gagnerait tout depuis le début), simplement parce que le foot en France est devenu un sport pratiqué par beaucoup d’entre eux.

1- Le foot a été utilisé spécifiquement pour aider les jeunes de banlieues (voir, par exemple, la politique de Sarkozy-Aulas à Lyon, à destination des banlieues).

2- Ça a toujours été un sport populaire.

3- La politique de recrutement française mise plus sur le physique vers les 14-15 ans.

La preuve du 3 : Griezmann, l’un des meilleurs joueurs de l’EDF, a du être formé en Espagne car en France on n’en voulait pas à cause de son physique, à 14 ans, jugé trop « frêle ». Il y a donc moins de « blancs » dans les clubs, parce qu’aussi beaucoup se détournent du foot (attention vérité dérangeante) car ils se sentent en minorité. Je connais une famille qui a retiré son gosse, pourtant doué, du foot, car « ça ne se passait pas bien » avec ses camarades. On ne sait donc pas combien de talents, issus des Français « de souche », la France du foot se prive chaque année. Ça fait mal aux oreilles mais c’est la vérité, et ça n’enlève rien à l’immense qualité des joueurs issus de l’immigration. En somme, sans l’immigration (ou seulement avec moins d’immigration) la France aurait eu simplement une autre équipe, et personne ne peut dire si cette équipe aurait été plus ou moins forte que celle que nous avons actuellement. Faites donc taire les gauchistes et leur propagande infernale. Ne voyez dans le foot que du foot. Les Grigri, les Mbappé, les Pavard, les Kanté, sont des supers joueurs et c’est tout ce qu’on doit voir en eux."


Donald Trump : « Permettre l'immigration en Europe est une honte»

Unknown-17Lors de sa conférence de presse à l’issue de son entretien avec Theresa May, Donald Trump a déclaré à propos de l’immigration :

« Je pense qu'elle est en train de changer la culture, c'est une chose très négative pour l'Europe. Je sais que, politiquement, ce n'est pas forcément correct de dire cela mais je le clame haut et fort. »

Les pays européens, a-t-il poursuivi, feraient mieux de « prendre garde à eux ».

« Vous changez de culture, la sécurité aussi est en train de changer, voyez ce qui se passe dans des pays qui n'avaient jamais eu aucune difficulté, aucun problème. C'est très triste, c'est vraiment dommage, et je ne pense pas que ce soit bon pour l'Europe, ni que ce soit bon pour notre pays. »

« Permettre l'immigration en Europe est une honte. Je pense que cela change le tissu de l'Europe, et à moins que vous n'agissiez très rapidement, cela ne sera plus jamais ce que c'était, et je ne dis pas cela d'une manière positive. Je pense que vous perdez votre culture. Regardez autour de vous. Certains endroits n'existaient pas il y a 10 ou 15 ans. »


Marion Maréchal : Macron a fait une grave erreur en insultant le peuple italien

Capture d’écran 2018-07-13 à 00.11.07Marion Maréchal a accordé un entretien au Corriere della Sera. Extraits :

"Les Français partagent l'exaspération des Italiens sur les questions migratoires et européennes. Je trouve que le succès de Salvini est naturel, ce qui n'est pas arrivé en France à cause d'une loi électorale antidémocratique qui empêche des forces similaires à la Ligue d'arriver au pouvoir ». "Salvini défend les intérêts des Italiens, comme tout dirigeant avisés devraient le faire. Chaque peuple a ses propres spécificités mais nous sommes unis par une vision générale commune: sauvegarder l'identité, l'indépendance et la souveraineté de nos pays au sein d'une Europe forte et indépendante ".

«Macron a fait une grave erreur en insultant le peuple italien. Mais vous n'êtes pas les uniques victimes de son mépris. Il l'exprime également contre les Français. Pour lui la France est une start-up, l'Europe est un marché et les peuples un agglomérat d'individus interchangeables».

«Quand Merkel décide d'accueillir un million de migrants, elle les impose aux autres pays».

Contre l'immigration, elle appelle  «à une politique commune contre les ONG qui sont complices des trafics d'êtres humains».

«Une Europe des Nations qui défend une civilisation aux racines chrétiennes, en lutte contre les excès du libéralisme et la domination de la finance et une politique de soutien à la natalité plutôt que le recours à l'immigration pour la relance démographique, voilà la vision soi-disant «autoritaire» d'Orbán.»

«Emmanuel Macron est le moins bien élu de tous les présidents de la Ve République. Lequel des deux est dans une position la moins démocratique?»


Table-ronde franco-italienne sur «Invasion barbare, souveraineté et pouvoir.»

Dh1vD4FWkAYHweSMarion Maréchal, accompagnée de Jacques de Guillebon, prendra la parole ce soir lors d'une conférence dans la région Ligurie, à Montemarcello en Italie. Le président Forza Italia de la région, Giovanni Toti, comme Edoardo Rixi, secrétaire d'État aux Transports seront également présents. Le bruit court que le ministre de l'Intérieur italien pourrait également passer.

La table ronde sera sur le thème : «Invasion barbare, souveraineté et pouvoir.» Jacques de Guillebon indique :

«Nous allons parler des moyens au niveau européen pour lutter contre l'immigration. Comment y répondre socialement aussi. C'est l'Italie, nous avons avec eux des liens particuliers. Marion est très populaire là-bas.»


Le ministre autrichien des Affaires étrangères appelle Jean Raspail

...pour lui souhaiter un bon anniversaire :

"Jean Raspail fêtait le 4 juillet son 93e anniversaire. Ce jour-là, il a eu la surprise de recevoir un coup de fil du… ministre autrichien des Affaires étrangères, Karin Kneissl, souhaitant un bon anniversaire à l’auteur du Camp des saints, le félicitant particulièrement pour sa préface à la réédition du roman, où il a créé le concept de « Big Other », l’Autre dominateur."


Les passeurs sont des terroristes, des trafiquants d’armes et d’être humains

Unknown-8Lors d’une rencontre avec le Premier ministre du gouvernement d’union national libyen, Antonio Tajani, président du Parlement européen, a indiqué souhaiter « une liste noire des gros trafiquants » et a suggéré la création de centres d’accueil à la frontière entre le Niger et la Libye. Ces passeurs

« sont des terroristes, des trafiquants d’armes et d’être humains. Si nous n’arrivons pas à anéantir ces organisations criminelles, il sera très difficile de lutter contre l’immigration clandestine ».

Les deux hommes ont discuté de l’importance de la surveillance de la frontière Sud du pays pour limiter les flux d'immigrés qui arrivent pour tenter de traverser la Méditerranée. La Libye est l’un des principaux points de départ pour l’Europe.

Mais ces passeurs profitent de la complicité des ONG qui leur facilitent le travail.