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Sophrologie et thérapie

Suite à mon article sur le yoga, une lectrice du Salon beige, sophrologue de profession, a protesté contre l'amalgame fait dans cet article entre diverses disciplines. Elle nous propose de publier, en contre-point, cette émission diffusée en janvier dernier sur Radio Notre-Dame: "Pourquoi la sophrologie a-t-elle autant de succès?" 

Cette lectrice ajoute:

"Votre point de vue est souvent intéressant mais il faut rester aussi ouvert sur le monde moderne, tout en restant bien aligné avec le Ciel! Néanmoins, je suis d’accord avec vous qu'il peut y avoir des dérives et danger, mais ce n’est pas pour cela que la profession doit être bannie."

A découvrir aussi ce site du père Verlinde.


« Alors, l’avortement, c’est tuer le mini-bébé ? »

592336585Dans la série des nombreux livrets Nathan « Questions ? Réponses ! » pour les enfants « à partir de 3ans », il y a celui-ci : « Comment on fait les bébés ? »

Il est bien précisé ensuite qu’il faut un papa et une maman.

Mais ce n'est pas tout : à la question « A quoi ressemble le fœtus ? ». Réponse :

« A un bébé en miniature ! Tous les organes sont pratiquement formés. Il a des bras, des jambes… et une grosse tête avec ses premiers cheveux. »

Il manque la question :

« Alors, l’avortement, c’est tuer le mini-bébé ? »

On aimerait pourtant avoir la réponse.


L'Androcur, ce traitement contraceptif qui multiplie les risques de tumeur au cerveau

Unknown-18"Un avertissement émis depuis 2008 " : ils ont laissé des femmes s’empoisonner pendant 10 ans pour ne pas s'opposer à la l'idéologie des contraceptifs...

Après les pilules de 3e et de 4e génération, le Médiator ou le Dépakine, c’est au tour de l’Androcur de faire l’objet d’une nouvelle crise du médicament. Prescrit depuis les années 80 par les laboratoires Bayer comme contraceptif ou traitement contre l’acné, l’Androcur présenterait des risques sérieux pour la santé en cas d'utilisation prolongée. L’l’Agence nationale de sécurité du médicament vient de créer un comité scientifique afin de réviser les recommandations relatives à sa prescription.

Ce progestatif prescrit pendant des années à des milliers de femmes est aujourd’hui accusé d’augmenter fortement le risque de méningiome, une tumeur cérébrale généralement bénigne mais qui peut occasionner de graves séquelles comme des troubles de la mémoire, de l’épilepsie ou une perte du goût et de l’odorat. Appartenant à la classe des antiandrogènes stéroïdiens, l’Androcur est notamment utilisé pour traiter le cancer de la prostate à un niveau avancé. L’Androcur et ses génériques bloquent les effets de la testostérone et sont régulièrement prescrits aux femmes souffrant d’un développement extrême de la pilosité, contre l’acné, l’endométriose ou en guise de contraception.

Prescrit à 80% des femmes (57 000 en 2017, selon l’Assurance maladie), l’Androcur est aujourd’hui soupçonné de multiplier par 7 à 20 le risque de méningiome selon la durée du traitement. L'ANSM reconnaît que depuis 2009,

"l’acétate de cyprotérone fait l’objet d’une surveillance particulière suite au signal émis par la France au niveau européen sur le risque d’apparition de méningiome. L’évaluation de ce signal par l’Agence européenne des médicaments (EMA) a conduit à faire figurer ce risque dans la notice du médicament en 2011".

Selon une nouvelle étude pharmaco-épidémiologique, le risque de méningiome est multiplié par 7 pour les femmes traitées par de fortes doses sur une longue période (plus de 6 mois) et par 20 après 5 années de traitement. Des chiffres qui seraient largement sous-estimés selon le Dr Isabelle Yoldjian, chef de pôle des médicaments en endocrinologie à l'ANSM.

"Ces chiffres reposent sur l'analyse des seuls cas opérés. Or les médecins ne retirent pas toujours les tumeurs, car elles régressent souvent spontanément après l'arrêt du traitement. Et certaines peuvent aussi passer longtemps inaperçues."

Selon l’étude de l’Assurance maladie, plus de 500 femmes prenant de l'Androcur ou un de ses génériques ont subi une intervention pour un méningiome entre 2007 et 2015.

Le scandale risque d’être d’autant plus important que les risques concernant le médicament sont connus depuis 2008. C’est un neuro-chirurgien qui a donné l’alerte. Le Pr Sébastien Froelich, de l’hôpital Lariboisière à Paris, explique :

"J'ai commencé à me poser des questions le jour où j'ai vu en consultation deux patientes sous Androcur atteintes de méningiomes multiples, dont l'une était sur le point de devenir aveugle".

D’où la surveillance particulière dont fait l’objet l’Androcur depuis 2009. La question est donc aujourd’hui de savoir pourquoi il a continué à être prescrit à des patientes sur le long terme.


21 août : Conférence sur le Linceul de Turin à l'île d'Yeu

Le mardi 21 août à 21 h, le Docteur Mérat, ancien président du Centre International d'études Liturgiques sur le Linceul de Turin (CIELT) fera une causerie avec diapos consacrée au Linceul de Turin.

Les estivants de l'île d'Yeu sont tous conviés, espérés et attendus pour cette occasion, 51 Chemin du champ rouit.

Le CIELT est une association qui promeut diverses initiatives et travaux scientifiques en vue de favoriser compréhension, et connaissance de l'histoire de la principale relique qui ait été donnée au monde. Il a été fondé en 1989 après parution des études au Carbonne 14.


L’Intelligence artificielle rappelle à l’homme la grandeur de son destin et l’urgence d’une immortalité qui ne soit pas purement matérielle

Arnaud de Beauchef est professeur à Imperial College (Londres), où il enseigne les mathématiques. Par ailleurs, il dirige un groupe privé de recherche en Intelligence artificielle, avec des applications dans le domaine financier. Il a été interrogé dans le dernier numéro de Monde & Vie sur l'intelligence artificielle, qui est aussi au programme de la révision des lois de bioéthique :

958_Page_01"[...] Si l’Intelligence artificielle fait peur, ce n’est pas en elle-même, c’est parce qu’elle peut conférer à certains hommes une puissance et un contrôle sur leurs semblables qui est sans précédent. En Chine, le système de reconnaissance faciale permet de reconnaître un homme en très peu de temps dans une foule dense. Une fois de plus, c’est l’hybris, c’est la démesure qui guette l’être humain. On a toujours tendance à se dire que la créativité va nous donner la Puissance. Mais quand on contemple les Personnes trinitaires, on retrouve à la source de chaque personne divine une tension entre humilité et puissance, qui représente la véritable perfection de l’être personnel. La gestion du désir et de l’union pour aller vers quelque chose de plus fondamental n’effleure pas la machine, parce qu’elle n’a pas de finalité. D’où la démesure toujours possible. Prenons l’exemple du corps: le corps humain n’est pas une machine, mais selon la perspective dite hylémorphique, il est indivisiblement un mélange de matérialité et d’esprit. Ainsi il n’a pas sa fin en lui-même mais dans ce que l’esprit comprend pour lui. Ce qu’apporte l’Intelligence artificielle au corps, est de l’ordre de la chirurgie esthétique. Elle peut donner l’illusion de la perfection physique, mais la perfection elle-même reste inaccessible. Ce que l’on appelle le cyborg, cet homme soi-disant augmenté et connecté, représente des réalisations comparables à ce que pourrait faire une chirurgie esthétique high-tech, rien de plus. Disons qu’en montrant les ressources de la machine, l’Intelligence artificielle rappelle à l’homme la grandeur de son destin et l’urgence d’une immortalité qui ne soit pas purement matérielle – comme l’est, nous l’avons dit en commençant, l’immortalité d’un programme informatique – mais qui soit vraiment vitale. On est aujourd’hui dans une phase d’émerveillement devant les ressources de la cybernétique. Mais leur pauvreté va apparaître très vite. Il n’y a qu’un seul dépassement qui est Dieu et la connaissance de l’Absolu.

Nous vivons donc selon vous un moment crucial dans l’histoire de l’humanité?

Il me semble qu’on entre dans la troisième phase de l’histoire de l’humanité. On a d’abord analysé les objets comme autant de situations dans lesquelles l’homme se trouve. Ainsi le philosophe présocratique Thalès de Milet se montre capable de prédire une éclipse, en montrant que l’univers n’est ni irrationnel ni terrible mais qu’il obéit aux lois de la raison: l’homme se trouve devant ce que les Grecs appellent un cosmos, un ordre. La modernité nous apprend ensuite à nous centrer sur le sujet humain. Les philosophies de Descartes et de Kant sont caractéristiques de cette réflexion sur le sujet humain, qui prend toujours plus conscience de ses pouvoirs. Aujourd’hui, on observe le système joint sujet-objet, le sujet étant devenu son propre objet, et l’objet étant fabriqué sur le modèle du sujet à travers des recherches biotechnologiques. Le sujet avait longtemps fait écran, cela a été le drame de la modernité. À travers les progrès des sciences, on a maintenant dépassé la fracture entre le sujet et l’objet, ce qui amène à la perspective ultime qui est, au-delà du sujet-objet, l’Esprit lui-même, le Créateur."


Se reposer entièrement sur le préservatif facilite la contamination par le virus du sida

Selon un rapport de l’Inspection générale des affaires sociales (IGAS) :

"Aides s’est tiré une balle dans le pied. Cette association homosexualiste hyper-médiatisée et protégée politiquement avait conquis une part de sa notoriété en traitant Jean-Paul II d’assassin, puis en lançant une campagne hystérique contre Benoît XVI. Elle leur reprochait de dire que le tout capote, le comportement des hommes étant ce qu’il est, était non une protection contre l’épidémie de sida mais un facteur de contamination. Ce que les études épidémiologiques montraient, les homosexualistes et la masse politiquement correcte le niaient par préjugé idéologique. Or, c’est grâce à Aides que l’IGAS, et donc le gouvernement français, l’entité politique la plus politiquement correcte au monde, reconnaît aujourd’hui officiellement le caractère mortel de l’abus de préservatifs.

Tout est parti du Truvada, ce médicament dit de « prophylaxie pré-exposition », c’est à-dire cette pilule que prend une personne séronégative avant un rapport sexuel lorsqu’elle l’estime « à risque ». On s’interdira toute controverse intellectuelle ou morale, par méthode, à propos de ce Truvada, pour en venir au fait : il a été autorisé en 2012 aux Etats-Unis par la Food and Drug Administration, et en 2016 par l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) en France, premier pays d’Europe à lui ouvrir ses portes. La thèse de Aides, est que l’instruction du dossier par l’ANSM, qui a duré trois ans et demie, a été « anormalement longue », et que cela a privé indument des milliers d’usagers potentiels d’un médicament qui aurait empêché leur contamination. C’est pourquoi, grâce à leurs relais dans l’appareil d’Etat, les homosexualistes ont obtenu que Marisol Touraine, alors ministre de la santé, confie le 15 mars 2017 une mission d’inspection à Gilles Duhamel et Aquilino Morelle, le conseiller spécial aux brillantes pompes que trahit naguère François Hollande.

Le rapport est conforme aux instructions du commanditaire. C’est bien à une « instruction anormalement longue » que serait dû le retard dans la vente du Truvada. Et le rapport estime qu’entre « 1 666 et 4 000 » contaminations auraient été évitées si l’ANSM avait fait diligence. Super. Tous ces barons en foire ont ensuite fait fuiter le rapport dans Le Monde, le quotidien de référence du bobo de gauche, pour montrer comme ils avaient bien travaillé et comme ils avaient encore une fois raison contre les lourdeurs de la machine administrative. Tout serait donc bien qui finirait bien si le rapport de l’IGAS ne ressemblait en fait, quand on le regarde d’un peu plus près, à un gigantesque pavé de l’ours. Et Le Monde ne contribue pas peu à le rendre plus pesant et plus contendant.

Pour nous expliquer les « enjeux du sujet », notre éminent confrère rappelle en effet deux « faits marquants » concernant l’épidémie de SIDA en France. Le premier est la persistance de plus de 6.000 contaminations par an, « en particulier chez des hommes ayant des rapports homosexuels ». [...] La raison en est bien simple, et le père Le Pen, dans son langage sans détour, la disait toute crue : c’est la sodomie qui fait toute la différence, l’actif contaminant le passif, qu’il soit mâle ou femelle (en passant, c’est une indication de plus que le sida est une maladie sociale, le bisexuel étant un agent de contamination fondamental, puisqu’il transgresse la barrière des « orientations sexuelles »). Et cela pour une raison physiologique, quasi mécanique : ni l’anus ni le colon ne sont conçus pour l’intromission de corps étrangers. On observe là quelque chose de très dérangeant pour le politiquement correct : la morale traditionnelle chrétienne est objectivement, scientifiquement, un facteur de sécurité, un moyen invincible de prophylaxie. Si l’on avait mauvais esprit, on noterait que, si l’usage hâtif du Truvada aurait peut-être sauvé quatre mille vies, l’abstinence en aurait sauvé beaucoup plus.

Mais venons-en au deuxième « fait marquant » que relève notre confrère Le Monde dans le rapport de l’IGAS : notre système de santé promeut le tout capote contre le sida et sa contamination. Selon l’IGAS, le préservatif serait l’» instrument principal, pour ne pas dire unique, de la prévention de l’infection par le VIH ». Ici, on entre dans le tragique. Car le tout capote est le produit de la volonté d’Aides, des associations homosexualistes et de leur relais. Quand Benoit XVI tenta de le dénoncer, au retour d’un voyage en Afrique, l’orchestre politiquement correct le couvrit d’ordure. Kouchner, Carla Bruni l’agressèrent, et jusqu’à Juppé le traita « d’autiste », ce qui ne manque pas de sel. Aujourd’hui, le désir de promouvoir la « prévention » par le médicament Truvada conduit le lobby homosexualiste à changer de pied et reconnaître ce qu’il niait, l’inefficacité du tout capote.

Le pape se fondait notamment sur le manque de fiabilité de la capote, objet qui donne en outre à ceux qui l’utilisent l’illusion d’être à l’abri et provoque donc des comportements encore plus risqués. L’IGAS confirme : « Contrairement à une idée très répandue, loin d’avoir une « efficacité à 100 % », le préservatif n’atteint dans ce domaine que des taux de 80 % chez les hétérosexuels et 70 % chez les hommes ayant des relation sexuelles avec des hommes ». Tout est dit : le préservatif est une passoire à SIDA, encore plus quand ce sont des homosexuels qui l’emploient. Le tout capote est donc une bombe à contamination. Benoît XVI avait raison et Aides l’a dans le baba. C’est l’IGAS qui le dit."

Peut-on aller plus loin est estimer que ces personnes qui s'en sont prises au pape ont favorisé la contamination du Sida et sont complices de crimes ?


Nouveau coup dur pour les tenants de la théorie de l'évolution

Comme l'écrit Jeanne Smits sur RITV :

"L’étude de l’ADN mitochondrial dans le cadre d’une recherche génétique de grande envergure vient de révéler que 90 % des animaux, ou plus exactement 9 espèces animales sur 10 sont apparues sur Terre à peu près en même temps que l’homme, il y a 100.000 ou 200.000 ans. L’un des principaux auteurs, David Thaler, généticien à l’université de Bâle, reconnaît que la conclusion de sa recherche est « très surprenante ». « Je l’ai combattue autant que je l’ai pu », avoue-t-il. Pourquoi ? Parce qu’elle ne « colle » pas avec les faux dogmes obligatoires de ce qui demeure une théorie.

Avec son collègue Mark Stoeckle de la Rockefeller Université, il a exprimé son étonnement devant plusieurs faits constatés à travers ses analyses de cinq millions de « codes barres » d’ADN mitochondrial de 100.000 espèces actuellement présentes dans différentes régions du globe terrestre. D’une part, ils ont constaté que les variations « neutres » – les petites variations d’ADN qui se succèdent au fil des générations – sont beaucoup moins fréquentes que « prévu » par les évolutionnistes. Et ce quel que soit le nombre d’individus que comptent aujourd’hui les dites espèces.

Par ailleurs, ces variations qui permettent d’évaluer l’âge d’une espèce, un peu comme les anneaux d’un arbre, indiquent que 90 % des espèces existant aujourd’hui sont apparues, aux termes des datations retenues par les scientifiques, il y a « 100 à 200.000 ans » : c’est leur « âge génétique ». [...]


Une sculpture 3D de Jésus-Christ réalisée à partir du Saint Suaire

De Jeanne Smits sur RITV :

Capture d’écran 2018-04-03 à 08.25.55"Le Pr Giulio Fanti de l’université de Padoue a créé ce qu’il pense être une « copie conforme » du corps enveloppé par le Saint Suaire et l’a faite reproduire sous forme de sculpture classique par un artiste de sa ville, Sergio Rodella. Celui-ci a travaillé le marbre pour donner l’interprétation la plus exacte possible, grandeur nature, de ce que révèle le linge. Le résultat ? Un gisant impressionnant qui restitue en 3D ce que le Saint Suaire montre de manière plus discrète mais tout aussi émouvante.

C’est un homme de haute taille – 1,80 m alors que la stature moyenne de l’époque était de 1,65 m – à l’expression majestueuse. Le gisant a été présenté au public à Padoue en attendant d’être probablement exposé de manière permanente.

L’équipe de l’hôpital universitaire de Padoue a travaillé pendant deux ans pour relever les mesures en trois dimensions, millimètre par millimètre, que l’on peut établir en utilisant les images de la face avant et de la face arrière du Crucifié. Ils ont utilisé les clairs-obscurs pour évaluer les dimensions en tenant compte de la distance hypothétique du corps par rapport au linge.

En multipliant les essais ils sont parvenus au résultat le plus compatible entre le corps et l’image du Saint Suaire. Le Pr Fanti indique que la rigidité cadavérique que révèle cette copie du corps de l’Homme du Saint Suaire est compatible avec la crucifixion, et qu’au-delà, ce qu’il a constaté montre « l’étendue des tortures souffertes pour nous par cet homme ». « Nous avons compté au moins 600 blessures causées par la flagellation, sans même parler des blessures latérales » que le Saint Suaire ne montre pas, puisqu’il était seulement en contact avec les parties arrière et avant du corps.

L’artiste Sergio Rodella, qui affirme avoir passé des jours et des nuits à réfléchir sur ce que « disait » le Saint Suaire qui semblait ne rien pouvoir indiquer de précis sur l’épaisseur du corps qu’il a contenu, note que les Américains spécialistes du linge assuraient qu’il était impossible d’en tirer une image exacte du corps du Crucifié. « J’ai démontré au contraire que cela fonctionne et que ce que j’ai fait est susceptible de démonstration. » Pour figurer les multiples blessures infligées à l’Homme du Linceul, l’artiste a choisi de colorer le marbre à l’endroit des plaies. Une image à méditer pendant ce Triduum pascal."


Les hommes et les femmes n’ont pas le même taux de rejet des greffes

Encore un coup dur pour les idéologues du genre :

Images-2"La différence biologique entre les hommes et les femmes semble jouer un rôle dans le succès des transplantations. Un article publié dans la revue Trends in Immunology, met en lumière pour la première fois que les hommes et les femmes n’ont pas le même taux de rejet des greffes. Les reins et cœurs féminins sont plus souvent rejetés, surtout par les hommes.

« Dans la transplantation d'organes solides, l'importance et les implications du sexe du donneur et du receveur ont longtemps été sous-estimées », explique Stefan Tullius, chirurgien du Brigham and Women's Hospital de Boston aux États-Unis, qui a dirigé l’étude. « Les différences peuvent être subtiles mais je pense qu'elles sont très pertinentes, en particulier lorsque nous nous dirigeons vers l'individualisation de l'immunosuppression et essayons de trouver des façons d'être plus spécifiques dans notre traitement. Je pense que la compréhension de la pertinence des différences entre les sexes jouera un rôle important dans ce domaine ».

L’explication pourrait se trouver sur le chromosome Y, car il « contient des localisations qui se lient aux toxines ou aux antigènes réservés aux hommes », ce qui pourrait influencer la réaction immunitaire post-greffe. Les chercheurs espèrent que « les thérapies qui ciblent les récepteurs hormonaux pourraient à l'avenir réduire le taux d'échec de la greffe selon le sexe »."


Naissances : Les méthodes naturelles modernes sont efficaces à 99%

Contrairement à ce que pensent certains médecins au service du lobby pharmaceutique :

"Les méthodes naturelles permettent une véritable « justice reproductive », affirme le Dr Brian J. Burke, médecin de famille à l’Hôpital de Guam aux Etats-Unis, et qui enseigne les méthodes naturelles depuis huit ans, avec sa femme Johanna.

Les méthodes naturelles modernes (pas la méthode du calendrier) se basent sur l’observation de quatre signes : la glaire cervicale, la température basale, le col et la présence de LH dans l’urine. Bien utilisées, elles sont efficaces à 99% et sont sans effets secondaires. Elles permettent aux femmes de mieux connaître leur corps, de détecter des anomalies éventuelles de leur cycle, et sont une aide pour des couples hypofertiles. La majorité des femmes qui utilisent une contraception hormonale connaissent mal le fonctionnement de leurs cycles de fertilité, et en supprimant les cycles naturels, la contraception risque aussi de masquer des problèmes.

Le terme de « justice reproductive » est généralement employé pour parler de l’accès à la contraception, l’avortement et la procréation médicalement assistée, mais le médecin a une vision toute autre d’une la vraie justice : rappelant que la conception naturelle d’un enfant passe toujours par un acte intime entre un homme et une femme, acte « à la fois unitif et procréatif », il explique qu’il est injuste de « séparer le biologique de l'émotionnel ». « Le terme ‘justice reproductive’ a été utilisé abusivement pour justifier des actes intrinsèquement injustes, en ce sens qu'ils détruisent un être humain et /ou perturbent l'acte intime entre un homme et une femme ». Il s’agit finalement de détourner l’acte sexuel et de transformer un don de soi en une utilisation du corps de l’autre.

Il n’y a que les méthodes naturelles qui promeuvent une véritable « justice reproductive », car elles nécessitent une véritable communication, une prise de décisions à deux, chaque jour. Elles évitent l’utilisation du corps de l’autre. L’homme est plus impliqué, il partage la responsabilité et les risques, une situation beaucoup plus respectueuse de la dignité de la femme. Les méthodes naturelles permettent d’éviter les effets secondaires des contraceptions hormonales (tension artérielle, risque de maladie cardiaque, d’AVC…) et de traiter efficacement l’infertilité par des moyens beaucoup moins onéreux que la procréation médicalement assistée actuelle.

Les deux principales difficultés pour répandre l’usage des méthodes naturelles, sont, toujours selon Dr Brian J. Burke, un manque cruel de formation des médecins, qui, pour la majorité, ne veulent pas admettre leur efficacité et le non remboursement par les mutuelles des coûts inhérents à ces méthodes. Cependant, alors que leur fiabilité commence à être reconnue, un nombre croissant de personnes s’engagent à les utiliser."


Au secours : des femmes respectent la nature

Des gynécologues s'inquiètent de la croissance des méthodes de régulation naturelle des niassances. A croire qu'ils touchent des dividendes sur les produits chimiques... Dans l'article du Point qui relève cette inquiétude, on note :

"En France, plusieurs associations comme Billings, Fertility Care ou encore Cler Amour et Famille (Centre de liaison des équipes de recherche Amour et Famille, dont la plupart sont catholiques, proposent ce type de services.

Les différentes méthodes naturelles : symptothermie (observation quotidienne de la température de la femme puisque, au moment de l'ovulation, celle-ci augmente), Ogino-Knaus (compter les jours à partir des règles pour déterminer le moment de l'ovulation en fonction de la durée du cycle de la femme) et Billings (symptothermie et observation de la glaire cervicale puisque, au moment de l'ovulation, celle-ci devient épaisse).

« On appelle cela la parentalité responsable », explique d'emblée Armelle Nollet, la secrétaire générale de Cler Amour et Famille, une association reconnue d'utilité publique qui propose des formations à la contraception « naturelle » à travers un réseau de deux cents bénévoles. En 2017, Cler recensait 700 utilisatrices de sa méthode.

En partenariat avec la Conférence des évêques de France, l'association a développé sa propre terminologie. Véronique Verkimpe explique éviter l'usage du mot « contraception » : « On n'aime pas l'idée d'être contre quelque chose, encore moins contre la conception. » La fertilité « n'est pas une maladie », ajoute-t-elle, reprenant une partie de l'argumentaire défendu par la très médiatique sexologue Thérèse Hargot, qui remet en question l'héritage du féminisme d'après Mai 1968.

L'association vient d'ailleurs de déposer le nouveau nom de sa méthode à l'Inpi (Institut national de la propriété industrielle) : « Cyclamen », comprendre « amen aux cycles féminins », précise Véronique Verkimpe, qui se défend pourtant de proposer une méthode sur la base de valeurs religieuses."


7 avril colloque du CEP : Science et Société : les influences réciproques

Capture d’écran 2018-02-17 à 15.21.46Au Collège & Lycée polyvalent La Salle Saint-Nicolas,6 Rue Vaudétard, 92 132 Issy-les-Moulineaux.

Science et Société : les influences réciproques « Dans les trésors de la sagesse sont les maximes de la science » (Sirac 1, 25)

Programme

  • 9h 00  Ouverture. Accueil des participants.
  • 9h 30  Du carbocentrisme à la climatomancie : la science écartelée. Benoît Rittaud
  • 11h 00  L’apport des vaccinations à la santé publique : la réalité derrière le mythe. Michel Georget
  • 12h 15 Repas
  • 14h 00 L’institution militaire, victime ou dernier recours d’une science dévoyée? Contrôleur général des armées (E.R) Jacques Bonnet
  • 15 h15 Pause : dédicace de leurs ouvrages par les conférenciers
  • 15h 45  Les reliques devant la science Dr Jean-Maurice Clercq
  • 17h 00 Clôture

Pour assister à cette journée de conférences, prière de remplir et renvoyer la fiche d’inscription correspondante, accompagnée de votre chèque de règlement, à l’adresse suivante :

CEP,  Cidex 811, 16 rue d’Auxerre  89 460 Bazarnes

N.B : Pour tout renseignement complémentaire, contactez le secrétaire, Alain Collet : soit par courriel : [email protected]; soit par téléphone au 03 86 31 94 36 (possibilité de laisser un message sur répondeur en cas d’absence).

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Pas très "gender" : l'instinct maternel serait conforté scientifiquement

Lu ici :

Unknown"Les pleurs des bébés activent des régions spécifiques, liées aux mouvements et à la parole, du cerveau de leur mère, relève lundi une vaste étude qui conforte la réalité biologique de l'instinct maternel. Selon cette étude menée dans onze pays et publiée dans les Comptes rendus de l'Académie américaine des sciences (PNAS), une mère entendant son enfant pleurer aura tendance à toujours avoir le même comportement: le prendre dans les bras et lui parler pour le rassurer.

Comprendre ces réactions et les activités correspondantes dans le cerveau des femmes pourrait aider à identifier les risques de maltraitance encourus par les enfants, selon les chercheurs des Instituts nationaux américains de la santé (NIH) à l'origine de cette étude. Ces derniers ont étudié le comportement maternel et le cerveau - via des imageries par résonance magnétique (IRM) - d'un groupe de 684 femmes récemment devenues mères pour la première fois en Argentine, Belgique, Brésil, Cameroun, France, Israël, Italie, Japon, Kenya, Corée du Sud et Etats-Unis.

Les interactions que celles-ci ont eu avec leur bébé de cinq mois ont été observées et enregistrées, afin de voir si elles répondaient aux pleurs de leur enfant en montrant de l'affection, en le distrayant, le nourrissant, lui changeant la couche, le prenant dans les bras ou en lui parlant. En analysant des IRM d'autres groupes de femmes, ces chercheurs ont constaté en outre que les jeunes mères et celles qui avaient eu plusieurs enfants activaient des régions similaires de leur cerveau lorsque leur bébé pleurait.

L'étude constate que ces pleurs activent chez la plupart des femmes une région cérébrale liée à l'intention de se déplacer et de parler, ainsi que des zones frontales du cerveau impliquées dans le langage et la capacité de parler et d'interpréter des sons. "Ces résultats laissent penser que les réponses des mères aux pleurs de leur bébé sont bien programmées dans le cerveau et communes à l'ensemble des cultures", concluent les auteurs de l'étude.

Celle-ci complète d'autres travaux montrant que le cerveau des femmes et celui des hommes répondent différemment aux pleurs d'un bébé, précise l'étude. Ainsi la nuit, les hommes semblent moins entendre les cris des bébés que les femmes plus enclines à se lever pour aller les réconforter. Même si les rôles parentaux ont évolué ces dernières décennies, ce sont toujours et le plus souvent les mères qui prennent en charge la plupart des tâches domestiques au quotidien et surtout celles liées aux tout-petits, selon d'autres études."


Le transhumanisme décrypté

Entretien sur la notion du transhumanisme et ses conséquences anthropologiques avec Jean Boboc, médecin, prêtre et théologien orthodoxe, spécialiste de bioéthique, sur France Culture. Définir le transhumanisme :

  • le passage d'une humanité à une autre ;
  • le climat eugénique de notre époque ;
  • la faillite morale de la bioéthique ;
  • fondements théologiques de l'opposition au transhumanisme ;
  • l'ascèse chrétienne à l'opposée du transhumanisme ;
  • le transhumanisme est-il vraiment un combat de fin des temps? :


Vers l'utérus artificiel

La technologie du l'utérus artificiel a permis d'incuber avec succès des agneaux pendant une semaine. Les scientifiques pensent déjà que la même technologie pourrait être utilisée sur des bébés humains. Dans un premier temps pour aider les prématurés à se développer complètement. Le dispositif a été développé par une collaboration de scientifiques venant d'Australie, du Japon et d'autres pays.

On évoque toujours une bonne intention, à savoir aider les bébés prématurés à finir leur croissance dans un utérus artificiel, pour aller vers la transgression.


11 vaccins obligatoires : Big Pharma exulte

Connu pour sa pétition au million de signatures pour le rétablissement du vaccin trivalent DTP sans aluminium, le Professeur Henri Joyeux, chirurgien cancérologue, est vent debout contre le projet du ministre de la santé. En effet, malgré la défiance grandissante des Français à l’égard de la vaccination obligatoire, Agnès Buzyn a décidé d’imposer non plus 3 mais 11 vaccins. Le professeur Joyeux alerte sur l’aberration que l’obligation vaccinale constitue pour un nouveau né. Il rappelle les fondamentaux : l’importance de l’avis des médecins et la nécessité d’adapter de telles prescriptions à tout un chacun. Le professeur Joyeux dénonce également le business des laboratoires pharmaceutiques, prêts à tout pour des millions.


La pornographie endommage le cerveau

Extrait d'un article de Jeanne Smits sur Réinformation.tv :

"[...] La disparition de la matière grise chez les consommateurs de pornographie est directement liée à la durée de visionnage de pornographie ; elle a été constatée par IRM sur un échantillon de 64 hommes aux rythmes de consommation divers, ainsi qu’une réduction du flux d’informations vers les ganglions basaux. Selon l’étude de l’Institut Max Planck, ces dommages pourraient avoir pour cause la stimulation intense des zones de récompense du cerveau où se libèrent l’oxytocine et la dopamine. D’autres recherches ont montré que c’est cela qui crée l’addiction.

Une autre étude menée l’an dernier à l’université de Cambridge a permis de constater que la consommation de pornographie provoque des effets similaires à ceux de l’usage de stupéfiants, avec un syndrome d’anxiété en cas de « sevrage » d’images sexuellement explicites, sans augmentation du désir sexuel pour autant. Il en va de même pour les toxicomanes qui désirent la drogue mais n’en tirent aucun plaisir. Preuve que le péché grave habituel est réellement un esclavage qui en constitue une sorte de punition automatique… [...]"


Le transhumanisme à grands pas

I-Grande-30856-la-fin-de-l-espece-humaine.netEdouard Philippe a officiellement annoncé l’installation des deux premières plateformes françaises d'analyse de l'ADN à très haut débit dans un but médical. Ces deux plateformes commenceront à fonctionner fin 2018. Ce seront les deux premières plateformes d’une série de douze, première étape du déploiement du plan « France Médecine Génomique 2025 ». Cette médecine est « porteuse de grands espoirs », a déclaré le premier ministre, car elle doit permettre de mieux soigner les cancers qui résistent aux traitements, les maladies rares et des affections comme le diabète. Elles feront l’objet, dès le début 2018, de projets pilotes lancés « sous l'égide de l'Inserm ».

Depuis 2003, date du premier décryptage complet du génome humain, les améliorations dans ce domaine de la recherche médicale a permis une chute des coûts :

« Il est possible d'avoir en quelques jours, pour moins de mille euros, l'analyse de la partie "codante" (celle qui commande la production de protéines) des 23.000 gènes humains ».« Ces deux plateformes, qui recevront des prélèvements sanguins et de tissus en provenance de toute la France, pourront séquencer et interpréter l'équivalent de 18.000 génomes par an. »

Vertigineux.

Dans La Fin de l'espèce humaine, le Dr Dickès dresse un état des lieux des avancées scientifiques sur les plans bioéthiques, biologiques, génétiques, bioniques, robotique... Ceux-ci aboutissent à transformer profondément la nature de l'homme et le font évoluer vers une post-humanité dont les contours sont inquiétants ; dans la mesure où ils seront issus de transgressions permanentes de l'ordre naturel. Les transhumanistes appellent notamment à une nouvelle humanité détruisant par là notre espèce en la transformant en machines.

Pour se plaindre de la fin de l’espèce humaine, encore faudrait-il croire en une espèce humaine ! L'un des buts de ces incroyables avancées médicales est de modifier l’homme, comme un vulgaire OGM.


Nouveau manuel de Sciences

I-Moyenne-31434-manuel-de-science-premier-eveil-aux-sciences-d-observation-cours-elementaire-1ere-et-2eme-annees.netParu en mai 2017, ce manuel, destiné aux plus petites classes de primaires (CE1 et CE2), a pour but d’accompagner l’enfant dans son questionnement et de l’inviter à l’observation du vivant. Extrait de la 4ème de couverture :  

» Ce manuel a pour but d’encourager ces premiers élans, de les encadrer sans rigidité, de les orienter vers une observation méthodique, de poser grâce à eux les premières bases d’un raisonnement scientifique, tout en restant à la portée de l’enfant et en respectant son génie propre. Susciter ainsi chez nos enfants l’émerveillement, leur apprendre à observer et à découvrir le monde qui les entoure, éveiller leur curiosité, développer en eux cette capacité de découverte qui les mènera à a connaissance et à l’admiration, voire à la contemplation, tel est le propos de ce livre de sciences ».

Ce manuel est composé de chapitres divisés en quatre parties :

  1. Les observations (série de questions invitant les enfants à faire des expériences pour comprendre sensiblement l’objet de la leçon)
  2. La leçon qui traduit le résultat de ces expériences par un énoncé didactique employant un vocabulaire riche et précis
  3. Le résumé de cette leçon
  4. L’exercice en texte à trous invite l’enfant à apprendre le vocabulaire de la leçon.

Suaire de Turin, une nouvelle étude démontre la présence de sang d'un homme torturé et tué

Shor-kx2E-U1100358584444292D-1024x576@LaStampa.itDes chercheurs italiens ont probablement résolu le mystère du suaire de Turin, signale La Stampa. Ils ont découvert que le tissu de l'artefact comprenait des nanoparticules de créatinine avec des éléments endommagés de ferrihydrite (ocre ferreuse), inhérente à la ferritine, une protéine qui permet le stockage du fer dans le corps. Selon le professeur Giulio Fanti de l'Université de Padoue, ce fait a montré que la «structure particulière, la taille et la répartition des nanoparticules ne pouvaient pas être dues à des artefacts apposés au fil des siècles sur le tissu du suaire». Le chef d'étude Elvio Carlino, professeur à l'Institut de Cristallographie de Bari, explique :

«À l'aide des microscopes électroniques et microscopes grand angle à rayons X, nous avons réalisé une analyse de microscopie atomique du suaire. Grâce à cela, nous avons pu examiner pour la première fois les propriétés nanométriques des fibres de bois provenant du suaire de Turin».

Selon Elvio Carlino, les nanoparticules attachées à la fibre de lin prouvent que la personne qui a été enveloppée dans le suaire souffrait beaucoup.


La "disparition" des maladies infectieuses ne serait pas due aux vaccins

Contrairement à une idée reçue :

"[...] Ainsi, en 1348, la peste noire fit périr la majorité de la population française, puis elle a sévi pendant des siècles à travers le monde pour s’éteindre totalement sans aucune vaccination. Le choléra a, lui aussi, semé la terreur dans notre pays pour disparaître totalement sans aucun vaccin. Si la vaccination contre ces maladies avait existé et avait été obligatoire durant ces périodes critiques, il est probable que l’on aurait attribué cette disparition aux bienfaits des vaccins. Or, il faut imputer ces régressions à d’autres facteurs. Quant à la lèpre, qui existe encore dans certains pays à l’état endémique, elle ne cause plus de ravages comme elle le fit par le passé et les grandes épidémies ne sévissent plus, bien qu’il n’existe aucun vaccin contre cette maladie. D’une manière générale, il suffit d’observer les courbes de déclin des maladies pour s’apercevoir que ce déclin a toujours commencé bien avant l’introduction des vaccins.

Un certain nombre de pays ne vaccinent pas contre la tuberculose, notamment les États-Unis, car 
le fait d'avoir reçu le BCG entraîne un test tuberculinique positif qui brouille le diagnostic de la maladie en cas de tuberculose. Le fait de vacciner contre le BCG rend plus difficile l'identification de l'infection. On ne peut donc attribuer la diminution spectaculaire des cas de tuberculose au vaccin. En 1975, la Suède a décidé d'interrompre la vaccination systématique des nouveau-nés. L'incidence de la tuberculose a continué à décroître au même rythme. Dans son numéro spécial de février 1997, le Bulletin Epidémiologique signalait que sur « 7 594 cas de tuberculose déclarées en France en 1996, parmi les 293 enfants de moins de 15 ans atteints, dont le statut vaccinal est connu, 70 % ont été vaccinés [...]. De nombreuses études montrent que lors d'une épidémie il y a autant de personnes atteintes chez les vaccinés ou les non vaccinés. » Et si l’on observe la courbe de mortalité en Allemagne entre 1750 et 1950, on remarque que les cas ont diminué bien avant la vaccination. Quant à la courbe de mortalité en Grande-Bretagne entre 1865 et 1964, elle permet de constater une diminution régulière et spectaculaire des cas, avec des paliers durant les deux guerres, bien avant l’introduction du vaccin en 1955.

En outre, selon le document sur la tuberculose publié par l’OMS en 2003, 1980 il y avait 29 991 cas en Allemagne et 17 199 cas en France. Or la RFA a supprimé en 1973 l'utilisation du BCG, et la RDA en 2001, il n'y a plus que 6 959 cas de tuberculose, soit 84 cas par million d'habitants en Allemagne, mais en France, malgré (ou à cause de) l'obligation vaccinale qui n’a été supprimée qu’en 2007, on trouve encore 96 cas par million d'habitant soit un total de 5 814 cas. D’ailleurs, contrairement aux « craintes » des services de santé, lorsque ce vaccin n’a plus été obligatoire et que l’incidence du vaccin a très fortement chuté, on n’a pu déceler le moindre signe d'augmentation des cas liée à cette diminution. Au contraire, il s’est produit une nette diminution des méningites tuberculeuses et moins de cas de tuberculose chez les enfants, même dans les régions les plus exposées. [...] On cite souvent le décès de 6 enfants âgés de moins de 5 ans par la tuberculose en 1995, mais on « oublie » toujours de dire que, sur les 6 enfants, 3 étaient correctement vaccinés par ledit BCG.

[...] La diphtérie est aussi un exemple frappant de la disparition de la maladie avant la vaccination systématique. En Australie, dès 1923, K. R. Morre avait remarqué que la diphtérie avait autant régressé dans les localités non vaccinées que dans celles où les vaccinations avaient été recommandées. Son étude a paru dans le Bulletin de l’office intérieur d’hygiène publique en 1926. Depuis cette époque, de nombreuses observations basées sur les chiffres fournis par l’OMS ont montré une décroissance identique de la diphtérie en Allemagne, en Hongrie, en Suisse, en Pologne et aux États-Unis. Quant au Japon non vacciné et au Canada vacciné, l’incidence n’est pas la même, mais la diminution des cas est tout aussi spectaculaire. Entre 1944 et 1952, le Japon, qui avait entrepris une campagne vaccinale, l’arrêta à la suite d’une quarantaine d’accidents vaccinaux mortels. Pourtant, le déclin de la maladie fut remarquable, de onze à quinze fois moins de morbidité et de mortalité, alors que le pays souffrait encore des conséquences de sa défaite : sous-alimentation et misère extrême. Comme le signale Fernand Delarue dans son ouvrage L’Intoxication vaccinale, « si la vaccination a semblé faire merveille au Canada, la non-vaccination a elle aussi réalisé des prodiges au Japon ».

En France, de 1945 à 1950, le nombre de décès est tombé de 1839 à 121 chez les enfants de 1 à 14 ans (vaccinés) et de 517 à 34 chez les moins de 1 an (non vaccinés), soit une baisse de 93 % dans les deux cas. Le déclin naturel de la diphtérie est inscrit au crédit de l’action vaccinale, alors qu’il s’agit d’un phénomène spontané de régression épidémique dans tous les pays d’Europe, qu’il y ait eu vaccination ou pas. L’étude la plus complète sur l’incidence de la vaccination antidiphtérique a été faite en 1954 par le Pr Robert Rendu et est parue le 20 février de la même année dans le Journal de médecine de Lyon. « Comme cette régression “spectaculaire” a plus ou moins coïncidé avec l’extension de la vaccination dans tous les pays civilisés du monde, on a en a conclu que c’était l’anatoxine qui avait fait reculer la diphtérie. » [...] Vers la fin des années 40, on dénombra en Angleterre et au pays de Galles de nombreux cas de poliomyélite après l’injection du vaccin antidiphtérique, ce qui mena à interdire le vaccin dans ces pays en avril 1950. Et sur 1308 cas de paralysie survenus à cette époque chez des enfants âgés de 6 mois à 2 ans, 170 cas étaient liés à une injection antidiphtérique. [...]

Aux États-Unis, en 1958, on répertoriait environ 800 000 cas de rougeole, mais en 1962, une année avant l’introduction du vaccin, ce chiffre était brusquement tombé à 3 000. Pendant les quatre années suivantes, ce chiffre a continué à baisser alors que les vaccins administrés pendant cette période furent jugés par la suite parfaitement inutiles au point d’être abandonnés. Cependant, les vaccinations ont repris de plus belle dès 1978 et, d’après le Dr Mendelsohn, « la mortalité par rougeole a été multipliée par 25 depuis ces campagnes vaccinales »En résumé, aux États-Unis, la rougeole est en constante augmentation depuis les vaccinations. Et un constat alarmant a été publié en 1995 par les laboratoires SmithKline Beecham, pourtant fabricants de vaccins : « Les rougeoles ont été 18 fois plus nombreuses aux USA en 1990 (27 672 cas) qu’en 1983, malgré une vaccination systématique contre la maladie depuis 1978. » Et en 2006, les CDC (Centers for Desease Control and Prevention) signalaient que 89 % des enfants d’âge scolaire qui avaient contracté la rougeole étaient vaccinés. En 1986, au Canada, le nombre de cas de rougeole était sept fois plus élevé qu’en 1985. La Suède a abandonné ce vaccin dès 1970 et l’Allemagne dès 1975. La France incrimine paradoxalement le faible taux de couverture vaccinale, alors qu’elle atteint pourtant en moyenne plus de 95 %, et des chiffres alarmistes sont avancés pour pousser les gens, y compris les adultes, à se faire vacciner. Il en est de même pour les oreillons, car on a constaté que les fortes couvertures vaccinales (environ 97,6 %) n’empêchent pas l’apparition de la maladie. En avril 2006, une sérieuse épidémie d’oreillons s’est déclarée dans huit États du centre des États-Unis. Ce fâcheux « incident » n’a pas empêché les CDC de persister à affirmer que « le vaccin est efficace à 90 ou 95 % et que l’immunité dure alors plus de 25 ans, sans doute la vie entière ». Au Royaume-Uni, la mortalité par les oreillons a chuté à partir de 1915, alors que la vaccination n’est intervenue qu’à la fin des années 60.

Pour ce qui est de la coqueluche, des épidémies se sont déclarées dans des populations à couverture vaccinale très élevée (entre 81 % et 91 %), notamment en Afrique du Sud en 1988-19899, ou aux États-Unis, où le nombre de cas a doublé. Ainsi, en 1993, dans le Massachusetts, 218 étudiants furent atteints par la coqueluche, alors que 96 % d’entre eux étaient vaccinés. Le British Medical Journal of Medicine (n° 19 de 1995) mentionne des flambées épidémiques dans les pays où s’est généralisée la vaccination, et en 1998, le même journal signalait des épidémies de coqueluche en Hollande, Norvège et Danemark, malgré une couverture vaccinale de 96 %. De son côté, Le Quotidien du médecin du 5 janvier 1994 signalait que des élèves avaient été contaminés par des camarades vaccinés, et non le contraire comme on le prétend souvent. Le vaccin a fait disparaître les symptômes de la coqueluche, qui n’existe presque plus sous sa forme habituelle, mais il a fait apparaître des formes différentes de la maladie qui atteignent à présent les adultes et les adolescents avec plus de gravité la plupart du temps. La coqueluche est devenue une maladie de l’adulte (J. Trop. Pediatr. vol. 37, 1991). [...]"


Le lobby pharmaceutique a gagné : 11 vaccins obligatoires en 2018

Le Premier ministre Édouard Philippe vient d'annoncer que l'ensemble des vaccins pédiatriques actuellement seulement recommandés par les autorités de santé deviendraient obligatoires dès l'an prochain.

Aux trois vaccins infantiles obligatoires (diphtérie, tétanos et poliomyélite) s'ajoutent les huit autres recommandés (coqueluche, Hæmophilus influenzae type b, hépatite B, pneumocoque, méningocoque C, rougeole, oreillons, rubéole).


Conservation d’ovocytes : le but de la science est désormais de satisfaire nos désirs égoïstes

De Anne Isabeth dans Présent :

"[...] L’Académie de médecine a rendu public, lundi 19 juin, un rapport dans lequel elle s’est dite favorable à l’auto-conservation d’ovocytes sans raison médicale. Se faisant, elle tend à reconnaître comme un droit, le fait de pouvoir concevoir un enfant quel que soit son âge (même si la limite est aujourd’hui fixée à 45 ans), envers et contre tout à commencer par la nature.

Pour l’instant, la pratique est interdite en France, la congélation ou la vitrification d’ovocytes n’étant permise qu’aux femmes souffrant d’infertilité, ou atteinte d’une maladie qui pourrait les rendre stériles. Pourquoi en modifier les conditions ? La réponse demeure la même, quel que soit le sujet : suivre l’air du temps qui veut que les femmes aient des enfants plus tard, pour raisons professionnelles ou personnelles, et sont donc de plus en plus touchées par des problèmes de stérilité. Ne pouvant le faire en France, de plus en plus de femmes se rendent en Belgique, Italie ou encore en Espagne. Les membres de l’Académie de médecine mettent aussi en balance le fait que les hommes ne rencontrent pas les mêmes contraintes puisqu’une simple ordonnance leur permet de conserver leur sperme. Pourquoi eux et pas elles ?

Cette décision montre aussi que le but de la science n’est plus de soigner des maladies – ou d’éliminer les malades c’est selon – mais de forcer la nature afin d’accéder aux désirs de femmes qui voyant leur horloge biologique tourner désirent la stopper par tous les moyens. Pour l’instant l’Académie de médecine préconise de ne pas tenter de PMA au-delà de 45 ans, mais jusqu’à quand ? On verra un jour les plus de 45 ans se lever, sous peine de discrimination, pour demander d’avoir le droit aussi de procréer quand elles veulent. Où poser la limite ?

Parlons enfin du coût. L’autoconservation d’ovocytes coûterait entre 3 000 et 6 000 euros. Qui assumerait le coût ? Une Sécurité Sociale croulant déjà sous les remboursements ? Financer des vitrifications quand des soins élémentaires ne sont déjà plus financés ? [...]"


Les meilleurs chercheurs sur la trisomie 21 viennent de présenter leurs travaux au Congrès scientifique international

Communiqué de La Fondation Lejeune :

"Un congrès international de la Trisomy Research Society a rassemblé les spécialistes mondiaux de la trisomie 21 à Chicago du 7 au 11 juin 2017. La fondation Jérôme Lejeune y a présenté ses activités de recherche.

Ce deuxième congrès de la T21 Research Society a été un carrefour stratégique pour faire le point sur l’état des recherches fondamentales dans le monde, avec un aperçu des recherches thérapeutiques et des recherches croisées (comme les liens entre la trisomie et Alzheimer ou la trisomie et le cancer). Roger Reeves (lauréat du Prix Sisley-Jérôme Lejeune en 2012) est actuellement le président de la T21 Research Society.

La fondation a présenté ses nouveaux projets de recherche :

  • Perseus, une étude de recherche clinique à destination d’une population d’enfants de 6 à 12 ans. Elle prend la suite de l’étude clinique TESDAD qui a testé l’efficacité de la molécule EGCG sur des adultes atteints de trisomie 21.
  • Horizon 21, un programme européen auprès de 1 000 personnes trisomiques 21. Il vise à mieux caractériser les symptômes de la maladie d’Alzheimer, qui touche deux fois plus les personnes trisomiques, développer des marqueurs de diagnostic et d’évolution, ainsi que des traitements efficaces pour prévenir ou retarder l’apparition de cette maladie. Il est lancé dans les semaines à venir.

Plusieurs acteurs de la fondation Jérôme Lejeune et de l’Institut Jérôme Lejeune ont présenté leurs travaux à Chicago : Catherine Lemonnier (pour la direction de la recherche à la fondation Jérôme Lejeune), ainsi que le docteur Anne-Sophie Rebillat (programme Horizon 21) le docteur Cécile Cieuta-Walti (futur programme Perseus) pour l’Institut Jérôme Lejeune.

Le Congrès confirme la dynamique constructive d’un pôle international de la recherche sur la trisomie 21. Il a permis des échanges, des rencontres et des discussions entre plus de 200 scientifiques sur les derniers projets et des résultats obtenus. La fondation Jérôme Lejeune se félicite de la vitalité des recherches sur les maladies génétiques de l’intelligence et l’intérêt mondial qu’elles suscitent désormais."


Faire connaître la maladie de l'homme de pierre

Un prêtre du diocèse de Nice, par ailleurs kayakiste, va entreprendre dans une semaine un tour de Corse en kayak et en solitaire pour Alexandre, 8 ans, qui est atteint par la maladie de "l'homme de pierre". La Fibrodysplasie Ossifiante Progressive (FOP) est une maladie sévèrement invalidante. Les enfants atteints sont normaux à la naissance hormis les malformations des gros orteils. Dans la 1er décennie, des tuméfactions douloureuses des tissus mous apparaissent par poussées osseuses souvent précipitées par une blessure, une injection intramusculaire, une infection virale, un étirement musculaire, une chute, une fatigue ou du stress.

La FOP se traduit par une ossification progressive des muscles, tendons, ligaments et autres tissus mous. Ces calcifications forment des ponts d’os entre les articulations. Le malade est peu à peu emprisonné dans un second squelette.

Ce projet a pour but de faire connaître l’association FOP France qui accompagne les familles et permettre aussi de récolter des fonds pour la recherche (voir ici).

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La Fondation Jérôme Lejeune reçoit le prix « Evangelium Vitae 2017 »

34225431662_016501b7b8_zLe Centre pour l’éthique et la culture de l’université Notre Dame dans l’Indiana, une des plus prestigieuses universités catholiques des États-Unis, a remis officiellement le 29 avril la médaille « Evangelium Vitae 2017 » à la Fondation Jérôme Lejeune. Cette médaille « Evangelium Vitae » est le prix le plus important aux États-Unis, récompensant un acteur de la défense de la vie. Attribué chaque année, ce prix est doté d’une somme de 10 000 $. Lors de la remise de ce prix à Thierry de la Villejégu, directeur de la Fondation Jérôme Lejeune, accompagné de Madame Birthe Lejeune, le professeur Snead a salué

« la Fondation Jérôme Lejeune qui continue de s’exprimer en faveur des déshérités de la société. […] Elle aide le monde à voir avec les yeux du professeur Lejeune, à aimer avec une hospitalité et une charité sans limite, et à apprécier la beauté de nos différences ».

Dans un message envoyé pour l’occasion le pape François s’est félicité :

« Consciente de l’engagement de la Fondation Jérôme Lejeune à aider les enfants atteints de troubles de génétique de l’intelligence, Sa Sainteté prie pour que cette remise de prix puisse mettre en évidence le besoin urgent de soutenir et défendre La dignité de toute vie humaine, de sa conception à sa mort naturelle. Cela comprenant non seulement le service aux enfants ayant des besoins spéciaux, mais aussi la prise en charge et le soutien de leurs familles, qui «rendent à l’Église et la société un témoignage inestimable de fidélité au don de Vie ‘( Amoris Laetitia 47). « 


Appareils électromagnétiques en panne : "la tombe du Christ est une tombe vivante"

Depuis l’été 2016, plusieurs spécialistes restaurent le tombeau de Jésus, situé dans l’église du Saint-Sépulcre à Jérusalem. La restauration de l’édifice a ainsi permis aux chercheurs d’ouvrir la pierre tombale de Jésus en octobre dernier, et ce pour la première fois depuis 1810.

Toutefois les travaux minutieux des experts ont été retardés par un phénomène aussi étrange qu’inexplicable :

« Quand nous avons essayé d’explorer la cavité de la pierre sainte, les appareils qui analysent la résonance électromagnétique sont tombés en panne ». « La tombe du Christ est une tombe vivante… Il y a des phénomènes naturels qui peuvent perturber les champs électromagnétiques. Il faut simplement admettre que la force avec laquelle on croit, ou on pense, en fait partie. »

Aucune explication rationnelle n’a pu permettre d’expliquer la panne des appareils pourtant sophistiqués. 


Images 3D inédites de l'embryon et du fœtus

Capture d’écran 2017-03-25 à 16.40.04Une équipe de chercheurs français coordonnée par Alain Chédotal, directeur de recherche au sein de l’Institut de la vision (INSERM/UPMC/CNRS) et Paolo Giacobini au centre de recherche Jean-Pierre Aubert (INSERM/Université de Lille) dévoilent dans la revue « Cell » des photos et des images filmées inédites de l'embryon (8 semaines) et du fœtus (6 à 14 semaines) ce qui permet une meilleure compréhension du développement humain. Les chercheurs espèrent que leurs travaux permettront de constituer un nouvel atlas 3D et ont souhaité mettre leurs images à la disposition du public sur un site internet dédié subventionné par la Fondation Voir & Entendre. 

« Nous y proposons nos films libres d’accès et allons l’enrichir au fur et à mesure que nous en produirons de nouveaux. Nous aimerions également que d’autres laboratoires puissent le compléter avec leurs propres travaux. L’objectif est d’en faire une banque internationale d’images pour disposer d’un véritable atlas en 3D de l’embryon humain au cours du premier trimestre de développement, avec une recherche possible organe par organe. Il y a à la fois un but didactique mais aussi une utilité clinique notamment pour les chirurgiens qui opèrent in utero et disposeront ainsi d’images précises des tissus de l’embryon ou encore de leur système nerveux et vasculaire ».

Ont ainsi été obtenues des images du système nerveux périphérique, du système vasculaire, des poumons, des muscles ou encore du système urogénital. 

« Ce que nous avons observé a confirmé les données connues en embryologie mais c’est la première fois que nous obtenons des images réelles de l’organisation des tissus avec autant de détails. Nous avons notamment découvert des choses qu’il n’était pas possible de voir sans marquage spécifique. Nous avons par exemple réussi à distinguer les nerfs sensitifs (qui transmettent des signaux sensoriels vers le cerveau) des nerfs moteurs (qui sont reliés aux muscles), ce qui était alors impossible ».


Quelles sont les causes de l'évolution des maladies du système nerveux chez les femmes ?

Le Credes, organisme financé par la sécurité sociale d’évaluation des dépenses de santé, a suivi l’évolution de la morbidité des hommes et des femmes de France pendant quarante ans. Ces chiffres n’ont pas fait l’objet de commentaires. Au contraire le Credes s’est plongé dans des recherches variées diversifiées beaucoup moins spectaculaires. Il n’y a même pas eu de tentative de critique. Le silence de mort s’est achevé par un enterrement surprenant : le Credes a été transformé en IRDES et les enquêtes décennales ont disparu de Google depuis. Une enquête auprès de l’Irdes est restée vaine.

La loi Veil demandait qu'un bilan devait être fait par le corps médical sur les conséquences de l'avortement : or non seulement les promesses de justification de la loi qui devaient être appuyées par le principe de dissuasion à l'IVG n'ont pas été suivies, mais les conséquences de l'avortement ont été occultées. La preuve nous est donnée par l'absence de réflexion sur les statistiques du CREDES, manifestant un bouleversement de la santé des femmes exposées par la pilule et l'avortement. Impossible de retrouver les traces d'un ouvrage intitulé "40 ans d'enquête décennale du CREDES". A ce jour il n'y a pas d'explication sur la terrible évolution de morbidité qui a fait multiplier par 20 les maladies du système nerveux chez la femme de 1970 à 1980 et par 28 de 80 à 91 dans la tranche d'âge aux capacités de procréer en 1970.

Si cet ouvrage retraçant 40 ans d’enquêtes décennales du Credes est introuvable, l'un de nos lecteurs a découvert en 2000 ces statistiques et a constaté que le sytème nerveux et l'appareil génito-urinaire ont été bouleversés par une aggravation sans doute jamais connue dans l’histoire humaine. La dizaine des autres pathologies n’a eu que des variations modérées voir réduites.

Cette évolution qui affecte l’appareil génito urinaire coïncide avec l’évolution de la sexualité. Il est fort probable qu’elle corresponde à la contraception chimique et à l’accroissement des avortements. On comprend que ces statistiques accusant l’évolution et la compromission de la santé publique soient restées dans l’ombre puis gommées de l’internet.

Ce lecteur a néanmoins sauvé des copies d’écran. Cette situation met en cause la vigilance sanitaire de la santé publique qui est actuellement sur la sellette avec la question de la maladie de lyme chronique, scandale sanitaire étouffé qui montre la supériorité de la vigilance des malades sur les experts médicaux. Nous avons 30 ans de retard sur ce sujet, à propos duquel on est loin d’avoir fait les comptes du coût humain et économique.

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Avoir des enfants, c'est bon pour la santé

Une étude publiée mardi dans la revue médicale Journal of Epidemiology & Community Health et réalisée sur plus de 1,4 million de Suédois nés entre 1911 et 1925, montre que l'espérance de vie à 60 ans était supérieure de près de deux ans chez les parents d'au moins un enfant par rapport aux personnes sans enfants.

A 80 ans, les pères ayant eu au moins un enfant avaient encore une espérance de vie de 7,7 ans, contre 7 ans chez les hommes sans enfant, soit un écart de 0,7 an, tandis que les mères pouvaient espérer vivre encore 9,5 ans au lieu de 8,9 ans pour les femmes sans enfant, soit un écart de 0,6 an.

Pour expliquer l'écart d'espérance de vie entre les personnes avec ou sans enfants, les chercheurs avancent, au-delà du soutien apporté par leurs enfants, d'autres phénomènes possibles comme le fait d'avoir adopté des comportements plus sains à cause de leurs enfants.


L'endométriose atteint une femme sur 10

Lu sur Délit d'images :

"C’est une maladie chronique qui ravage la vie de beaucoup de jeunes femmes car, au-delà des douleurs physiques et invalidantes, de la fatigue engendrée, c’est la première des causes d’infertilité féminine. 20 à 50 % des patientes  consultant pour  infertilité souffre d’endométriose et 30 à 40 % d’entre elles ont  un problème d’infertilité. [...]"


Transhumanisme : Nous entrons dans l'ère de l'assistanat algorithmique continu

Le philosophe Éric Sadin, auteur d'un essai contre la Silicon Valley et son rêve transhumaniste : « La silicolonisation du monde », est interrogé dans La Tribune. Extrait :

S"[...] Je ne nie pas que le numérique offre quantité d'avantages, comme réserver son train en une minute, pouvoir communiquer plus facilement, avoir accès à l'information. Mais nous sommes aveuglés par les bénéfices d'usages et nous ne nous soucions pas assez des conséquences potentiellement dévastatrices, particulièrement la marchandisation à terme intégrale de la vie et le dessaisissement de la décision humaine que vont entraîner les développements sans cesse accélérés de l'intelligence artificielle. Ce sont là des enjeux majeurs de notre temps, qui à mon sens ne font pas suffisamment l'objet de débats et de controverses publiques.

Vous parlez dans le livre de « technolibéralisme ». La silicolonisation du monde, c'est l'étape ultime du capitalisme ?

Tout à fait. Jusqu'à présent, le libéralisme rencontrait de la résistance, car il était difficile de monétiser l'intime.

Désormais, la technologie, grâce aux objets connectés, permet de franchir un nouveau seuil dans l'histoire du capitalisme, car il ne reste plus de séquences de vie rétives à une activité marchande. On peut mettre une puce connectée dans un lit et quantifier le sommeil. Ou dans la machine à laver pour lui faire commander automatiquement de la lessive sans que nous décidions de l'acte d'achat. Cela grâce au récent procédé Dash Button d'Amazon, par exemple. Nous allons vers un allégement ou une non-conscience de l'acte d'achat grâce au paiement sans contact ou au procédé de commande automatisée de produits.

Le technolibéralisme promu dans la Silicon Valley part de l'idée que Dieu n'a pas parachevé sa création, que l'homme est éminemment faillible et lacunaire, donc que l'avènement des technologies dites « de l'exponentiel » permettra de corriger cette faille. Mais dans les faits, ce sont des startuppeurs à peine sortis de l'adolescence qui créent un biberon connecté, tel Baby Gigl, pour dire aux parents comment nourrir leur bébé. Tout est à l'avenant : corriger nos supposés défauts originels et faire en sorte que des systèmes nous dictent en toute occasion la meilleure décision à prendre. Nous entrons dans l'ère de l'assistanat algorithmique continu. Dont les visées sont quasi exclusivement commerciales. [...]"


Don d'organes : en médecine, consentir ne se résume pas à un « c’est comme vous voulez docteur », ou à un silence

Images-5À partir du 1er janvier 2017, chaque Français devient donneur d'organe et de tissus par défaut et dans le même temps, les personnes qui y sont opposées pourront le faire connaître plus facilement. Jusqu'à présent, la loi reposait sur le principe du consentement présumé. Pour exprimer son refus, il fallait s'inscrire sur le registre national des refus, en renvoyant un formulaire et la copie d'une pièce d'identité par voie postale. Seulement 150 000 personnes en avaient fait la démarche. Avec la nouvelle législation, chaque Français devient donneur par défaut. Dorénavant, il faut clairement exprimer son refus de son vivant si vous ne souhaitez pas être donneur. Vous pouvez vous inscrire en ligne sur le registre des refus, mais aussi exprimer cette volonté par un écrit confié à un proche, ou même de vive-voix. Attention, dans ce dernier cas, la famille doit retranscrire par écrit la conversation.

Le don d'organe doit être vraiment libre pour être réellement un don et, pour un prélèvement post-mortem, il est nécessaire d'être bien certain de la mort du patient, ce qui nous ramène au fameux débat sur la définition de la mort (voir cet entretien sur la mort cérébrale et le don d'organes). Sans parler des autres abus, comme le prélèvement d'organes après une euthanasie, comme aux Pays-Bas.

Pour l'Eglise catholique, le don d'organe est moralement acceptable à certaines conditions. Le Compendium du catéchisme indique :

"476. Le prélèvement d’organes est moralement acceptable avec le consentement du donneur et sans risques excessifs pour lui. Pour que soit réalisé l’acte noble du don d’organes après la mort, on doit être pleinement certain de la mort réelle du donneur."

En 2008, le pape Benoît XVI déclarait aux participants d'un congrès sur le don d'organes :

"Il arrive souvent que la technique de la greffe d'organes s'accomplisse par un geste d'une gratuité totale de la part des parents des patients dont le décès a été établi. Dans ces cas-là, le consentement informé est une condition préalable de liberté, pour que la greffe ait la caractéristique d'un don et ne soit pas interprétée comme un acte contraint ou comme une exploitation. Il est utile de rappeler, cependant, que tous les organes vitaux ne peuvent être prélevés qu'ex cadavere, lequel possède d'ailleurs une dignité qui doit être respectée. Ces dernières années, la science a réalisé de nouveaux progrès dans l'établissement de la mort du patient. Il est donc bon que les résultats obtenus reçoivent le consentement de toute la communauté scientifique, afin de favoriser la recherche de solutions qui donnent une certitude à tous. Dans un contexte comme celui-ci, en effet, il ne peut y avoir le moindre soupçon d'arbitraire et le principe de précaution doit prévaloir là où l'on n'est encore arrivé à aucune certitude. Pour cela, il est utile de développer la recherche et la réflexion interdisciplinaire de telle manière que l'opinion publique elle-même soit placée devant la vérité la plus transparente sur les implications anthropologiques, sociales éthiques et juridiques de la pratique des greffes. Dans ces cas-là, cependant, le critère principal qui vaut est le respect de la vie du donneur afin que le prélèvement d'organes soit permis seulement en présence de son décès réel. L'acte d'amour qui s'exprime par le don de ses organes demeure un témoignage authentique de charité qui sait regarder au-delà de la mort pour que la vie gagne toujours. Celui qui le reçoit devrait être bien conscient de la valeur de ce geste; il est le destinataire d'un don qui va au-delà du bénéfice thérapeutique. Ce qu'il reçoit, en effet, avant même d'être un organe est un témoignage d'amour qui doit susciter une réponse tout aussi généreuse, afin de développer la culture du don et de la gratuité."

Pour le professeur Xavier Ducrocq, neurologue et expert de Gènéthique:

"[...] Toute la médecine repose sur le principe intangible du consentement éclairé, oral le plus souvent, écrit dans les circonstances les plus transgressives : IVG, recherche,… Dans l’esprit du législateur, le consentement présumé au don d’organes est justifié par la solidarité nationale. Mais est-ce qu’on est solidaire quand on ne dit pas non ? L’argument est assez ténu… Si on transpose : « Voulez-vous prendre pour épouse mademoiselle X ? » « Je ne dis pas non »… Le consentement ne tient pas. En médecine, consentir ne se résume pas à un « c’est comme vous voulez docteur », ou à un silence. Aussi, le consentement présumé me semble très opportuniste car, en réalité, très peu de personnes donnent un consentement positif. Comme tel, il est contraire aux bonnes pratiques médicales ordinaires. Est-il même pertinent de parler de don ?

Par ailleurs, le slogan qui incite à « donner pour sauver une vie » est-il acceptable ? Les pressions sont fortes ! J’ai personnellement hâte que les recherches sur les cellules souches adultes puissent permettre la reconstitution d’organes."


La propagande LGBT n’a aucune légitimité scientifique

Images-4L'association REAL Women of Canada, un groupe nord-américain de femmes anti-féministes, a dénoncé les balivernes du lobby LGBT :

« Nous savons d’instinct qu’elles ne sont pas authentiques, ni dignes de notre adhésion. Cependant, les faiseurs de mythe tentent de nous imposer leurs absurdités par le bras armé de la loi, affirmant qu’il est « discriminatoire » de refuser d’accepter ces mythes comme vrais. Les juridictions qui ne se soumettent pas à leur diktat sont l’objet de punitions économiques, les parents se voient interdire de protéger leurs enfants des monstrueuses « lois toilettes » permettant aux hommes d’utiliser les douches et les vestiaires des filles. C’est une fraude fondée sur une propagande qui n’a aucune légitimité scientifique. »

L'association rappelle que deux « bombes » ont explosé récemment, réduisant en miettes ces mythes. La première fut celle constituée par l’étude publiée le 23 août  par le journal scientifique The Journal – The New Atlantis. Deux universitaires de renom, le Dr Lawrence Mayer, expert en psychiatrie et en statistiques, et le Dr Paul McHugh, y notaient d’emblée que la communauté LGBT est affectée de manière disproportionnée par des problèmes de santé mentale par rapport à la population dans son ensemble et qu’ils sont opposés à la « discrimination » à l’égard des personnes et de la communauté LGBT. Après étude de centaines d’articles scientifiques sur l’orientation sexuelle et l’identité de genre, ils affirment :

  • La croyance selon laquelle l’orientation sexuelle est innée, et constitue une caractéristique humaine fixée par la biologie – le fait que les hommes seraient « nés comme ça » – n’est validée par aucune preuve scientifique.
  • La croyance selon laquelle l’identité de genre est une caractéristique humaine fixe et innée, indépendante du sexe biologique – de telle sorte qu’une personne pourrait être « un homme prisonnier d’un corps de femme » ou « une femme prisonnière un corps d’homme » – n’est validée par aucune preuve scientifique.
  • Seule une minorité d’enfants qui expriment des pensées ou ont des comportements atypiques par rapport à leur genre continueront de le faire à l’adolescence ou à l’âge adulte. Il n’existe aucune preuve selon laquelle de tels enfants devraient être encouragés à devenir transgenres, sans même parler de leur faire subir des traitements hormonaux ou chirurgicaux.
  • Les personnes non hétérosexuelles et transgenres présentent un taux de problèmes mentaux (anxiété, dépression, suicide) ainsi que les problèmes comportementaux et sociaux (toxicomanie, violences sur partenaires) plus élevés que celui de la population en général. La discrimination seule ne rend pas compte de la disparité en son ensemble.

La deuxième bombe concerne les recherches de l’activiste lesbienne, le Dr Lisa Diamond, de l’American Psychological Association (APA), qui vient de reconnaître que l’orientation sexuelle est « fluide » et susceptible de changer. Ce faisant, elle a confirmé que l’idée selon laquelle « les homosexuels ne peuvent pas changer » est aujourd’hui une théorie dans l’impasse. La recherche, a-t-elle assuré lors d’une conférence à Cornell University, a aujourd’hui établi que « l’orientation sexuelle, y compris l’attraction, le comportement et l’identité perçue, est fluide à la fois pour les adolescents et pour les adultes des deux genres », résume REAL Women. Et pourtant, des lois de divers Etats des Etats-Unis ainsi que de l’Ontario interdisent la « thérapie réparatrice » qui cherche à venir en aide aux patients aux prises avec une attraction homosexuelle dont ils ne veulent pas. Ces lois sont fondées sur l’immutabilité de l’orientation sexuelle, dont la science vient pourtant de confirmer qu’il s’agit d’un mythe.

Les grands médias n’ont pas donné un grand retentissement à ces études mais la panique gagne les groupements LGBT. Le groupe homosexualiste Human Rights Campaign s’est fendue d’une attaque frontale contre New Atlantis, accusant les auteurs de l’étude, Mayer et McHugh, de faire de l’activisme anti-LGBTQ pour « marginaliser » les gens à travers des « déclarations trompeuses » et des « interprétations tendancieuses ». La réponse n’a pas tardé : l’équipe éditoriale de New Atlantis a tôt fait de démontrer que la plupart des accusations du HRC étaient fondée sur des « distorsions » du texte initial.

La France vient de lancer un plan de propagande LGBT, sur la base de mythes. Ces vérités officielles ne peuvent survivre qu'avec l'appui de la force publique. On appelle cela le totalitarisme.


Des seringues sous le sapin?

Nouvelle offensive des lobbies de l'empoisonnement obligatoire, qui par le biais d'un rapport du "comité pour la vaccination", voudrait rendre obligatoires pas moins de 11 (onze!) vaccins pour les enfants en bas-âge ! Le parti socialiste ferait-il feu de tout bois pour renflouer ses caisses avant l'effondrement de 2017 ? Nous n'osons formuler une telle hypothèse, ...

Plus de détail sur ce projet de destruction de la santé publique sur ce site, la page pour signer la pétition ad hoc étant ici.


Judith Reisman explique le rapport Kinsey

Arton42695-941e1Judith Reisman, née le 11 avril 1935, dans le New Jersey est connue pour sa critique et sa condamnation des travaux et de l'héritage intellectuel d'Alfred Kinsey. Elle est la spécialiste des travaux du rapport Kinsey, un rapport établi dans les années 50 sur la sexualité dans la société. Après avoir volontairement falsifié des résultats sur les pratiques de la population américaine, le docteur Kinsey s’est employé à étudier la sexualité des enfants. Au fil de ses d’expériences, véritables séances de tortures, il voulait établir que les “enfants” sont des êtres sexuels dès leur naissance… Aussi incroyables que puissent paraître ses travaux, ils sont pris pour point de départ de nombreuses campagnes d’éducation… TV Libertés a rencontré Judith Reisman pour un entretien exclusif après la traduction de son livre en français, Kinsey, la face obscure de la révolution sexuelle.


Une odeur suave lors de l'ouverture du tombeau de Jésus à Jérusalem

Lu ici :

Capture d’écran 2016-11-02 à 22.33.16"C'est un mystère qui laisse les scientifiques sans voix. L'histoire se déroule autour du tombeau de Jésus à Jérusalem. Pour la première fois depuis deux siècles, il vient d'être ouvert. Un événement historique et scientifique titre à la une Le Parisien-Aujourd'hui en France qui y consacre une double page. Il y a en ce moment des travaux de rénovation de la chapelle qui protège le tombeau, le Saint-Sépulcre pour les chrétiens. 

Des scientifiques en ont profité pour soulever la plaque de marbre qui recouvre le rocher considéré comme le lit funéraire du christ. Ils ont fait des prélèvements et vont étudier la surface d'origine de la pierre. C'est sans précédent.

Pour la première fois, grâce aux techniques modernes, la science va peut-être valider si c'est le bon endroit. Ou pas, explique Marie-Armelle Beaulieu, rédactrice en chef de Terre Sainte Magazine. Elle faisait partie des privilégiés qui ont pu voir le rocher lorsque la plaque s'est soulevée. "C'est bouleversant, dit-elle. On est dans le lieu le plus sacré du monde chrétien." Elle s'est senti comme un spationaute qui après 20 ans d'attente est enfin envoyé dans les étoiles.

Dans Le Figaro, la professeur de l'université d'Athènes qui dirige le projet raconte que lorsque la dalle de marbre a été retirée, les travaux des scientifiques ont été compliqués par des perturbations électromagnétiques d'une ampleur tout à fait inhabituelle. Certains des appareils ont même complètement cessé de fonctionner. Et puis le journal rapporte qu'une rumeur s'est rapidement propagée dans la vieille ville de Jérusalem. Une odeur suave aurait instantanément envahi l'espace confiné de la chapelle du Saint-Sépulcre."