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L'école L'Espérance à Chaumontel (95) recrute une institutrice

MailDevenez institutrice dans une région hippique et verdoyante et à 25 min de Paris.

Développez vos qualités avec les CM1-CM2, en petit effectif de bon niveau et bénéficiez d’une liberté pédagogique dans un cadre classique ainsi que de possibilités de formation.

Rejoignez l’Espérance dès septembre 2018, école catholique familiale ayant 10 ans d’expérience à Chantilly-Senlis. Rémunération supérieure à la convention collective.

Merci, d'avance, d'envoyer votre candidature à: [email protected].


Angers : Le Cours Bienheureux Charles d'Autriche recrute

6a00d83451619c69e20224e03577c6200d-200wiLe Cours Bienheureux Charles d'Autriche, collège libre à Angers, niveau 6e à 3e, recrute pour la rentrée prochaine en septembre 2018 :

  • des professeurs dans les matières suivantes : français, mathématiques, biologie, informatique, musique
  • un surveillant

Rémunérations selon la convention collective de l'enseignement hors-contrat.

Pour se porter candidat, merci d'envoyer un CV avec lettre de motivation à l'attention de Mme Redig, directrice, à l'adresse [email protected]


Propagande sur l'avortement dans un lycée catholique sous contrat

Le document ci-dessous est une page d’une liste présentée cette année au bac de français par un professeur de l’Institut Saint-Dominique de Saint-Herblain, établissement privé catholique sous contrat.

ListeFrancaisBac

Vous noterez le caractère idéologique des choix faits par le professeur : la défense de l’avortement et la lutte contre l’« homophobie » y sont présentées comme des expressions de « la dignité humaine ». Le problème des immigrés donne lieu à un exercice d’écriture dont la consigne est libellée de telle sorte qu’elle oblige l’élève à développer un seul point de vue… celui, pro-immigration.

Pour mémoire, toute liste de français présentée au bac est signée par le professeur puis contresignée par le chef d’établissement.


Le Cours Saint Jean-Paul II (49) cherche à acquérir une statue

Le Cours Saint Jean-Paul II à Brézé (49260), fait appel à votre générosité pour placer au cœur de l'école une statue de Saint Jean-Paul II, afin qu'il veille sur les enfants et que ceux ci puissent le prier plus facilement.

Pour ce faire, une campagne de dons (défiscalisés) est lancée via la plate forme Credofunding.


Le Cours Le Sénevé crée une Maîtrise de jeunes chanteurs (Castres)

SeneveLe Cours Le Sénevé, créé à Castres en septembre 2015, est heureux d’annoncer pour la rentrée 2018 : 

  • la création d’une grande section de maternelle,
  • et surtout la création d’une Maîtrise de jeunes chanteurs.

La participation à la Maîtrise sera optionnelle : les élèves recevront un enseignement approfondi de chant choral, en horaires aménagés, et ils s’engageront à participer à plusieurs messes et concerts annuels. Cette initiative a reçu les encouragements de Mgr Jean Legrez, archevêque d’Albi, lors de sa visite au Sénevé le 14 juin dernier.

Les inscriptions au Sénevé, école et collège (de la grande section de maternelle jusqu’à la 3e) sont ouvertes, demandez le dossier : [email protected]


L'école primaire catholique Anne de Guigné (Var) recrute

0035-logo_definitif_CMJNL'école primaire catholique hors contrat Anne de Guigné, petite école de 64 élèves, propose une formation intellectuelle, humaine et spirituelle basée sur des méthodes d'apprentissage classiques et la transmission des valeurs chrétiennes.

Elle recherche  pour la rentrée prochaine :

  • une institutrice expérimentée pour un double niveau PS/MS (12 élèves) à plein temps. profil souhaité: personne diplômée ou ayant une expérience dans l'enseignement, sensibilisée à la pédagogie Montessori. Type de contrat: CDI, présence à l'école le lundi, mardi, jeudi et vendredi de 8h25 à 12h et de 13h30 à 16h15. Carqueiranne (Var)
  • une institutrice expérimentée pour un double niveau CM1-CM2 (19 élèves) à mi-tempsprofil souhaité: personne diplômée ou ayant une expérience dans l'enseignement, connaissant et utilisant les méthodes pédagogiques classiques. Type de contrat CDI, présence à l'école 2 jours par semaine (l'école ne travaille pas le mercredi matin) de 8h25 à 12h et de 13h30 à 16h15. Carqueiranne (Var)
  • une institutrice expérimentée pour un double niveau CE1-CE2 (19 élèves) pour remplacer une personne en congé parental. profil souhaité: personne diplômée ou ayant une expérience dans l'enseignement, connaissant et utilisant les méthodes pédagogiques classiques. Durée du contrat: septembre et octobre 2018, présence à l'école le lundi, mardi, jeudi et vendredi de 8h25 à 12h et de 13h30 à 16h15. Carqueiranne (Var)

Pour ces 3 candidatures veuillez contacter : Marie Jammot: 06 99 22 89 83 ou envoyer un CV à [email protected] 


L'institution Saint Louis du Barroux recrute

L'institution Saint Louis, collège catholique hors-contrat de l'abbaye du Barroux, cherche urgemment

  • un professeur de maths (8h) pour les classes de 6e et 5e
  • un professeur de physique (2h) / SVT (2h) pour les classes de 6e et 5e
  • un professeur de latin (9h) pour les classes de 5e, 4e et 3e

Les trois postes sont à pourvoir pour la rentrée (2018-2019).


La Conférence des évêques demande au gouvernement de revoir son projet de loi sur l’éducation sexuelle

... en Ouganda.

CHAIRMAN_UECMgr Jean-Baptiste Odama, archevêque de Gulu et président de la Conférence des évêques du pays, déclare :

« Nous ne pourrons pas, en conscience, introduire dans nos écoles le programme du NSEF s’il demeure inchangé quant aux dispositions et directives contraires aux valeurs de l’Eglise qu’il contient ».

Le projet de loi du gouvernement fait la promotion de la contraception ainsi que de la théorie du genre. Le projet ne soulève même pas les problématiques fondamentales telles le rôle central de la famille, ou les dangers moraux auxquels les enfants entre 3 et 5 ans sont particulièrement exposés.


8 au 23 juillet : derniers jours pour inscrire vos enfants à la colonie Saint-Jean-Baptiste de la Salle

ThumbnailLa colonie Saint-Jean-Baptiste de Salle, dirigée par la Fraternité Sacerdotale Saint-Pierre, aura lieu du 8 au 23 juillet, dans les locaux de l'Institut Croix-des-Vents, à Sées (Normandie).

Elle s'adresse aux garçons et filles de 6 à 11 ans pour leur permettre de passer des vacances joyeuses, animées et sous le regard de Dieu.

Il reste 10 places pour des filles, n'hésitez pas à inscrire vos enfants rapidement !

Nous recherchons également un animateur (18 ans minimum) pour encadrer les garçons de la colonie.

Ecrire à [email protected] ou se rendre sur le site http://colodelasalle.free.fr


Ces profs qui vilipendent une directrice sans la rencontrer

Virginie Maury, directrice-adjointe de Gerson depuis sept ans, était pressentie pour être la nouvelle directrice du collège privé catholique Sainte-Marie, à Meaux. Mais la mobilisation de professeurs qui lui reprochaient d'être... catholique l’a contrainte à retirer sa candidature. Elle explique dans Famille chrétienne :

"Il y a deux ans, j’ai été envoyée à l’Ecole des Cadres Missionnés de l’Enseignement catholique par le directeur diocésain de Paris dans le but de devenir chef d’établissement. J’ai terminé cette formation à Pâques. La direction diocésaine m’a alors proposé de postuler pour plusieurs postes en Ile-de-France, dont celui du collège Sainte-Marie, à Meaux. Une fois passée devant le conseil de tutelle du diocèse de Meaux où siégeaient le vicaire général, un prêtre diocésain, deux chefs d’établissement du département et un membre du Conseil d’administration du collège Sainte-Marie, le directeur diocésain m’a annoncé qu’il retenait ma candidature. Celle-ci a été présentée à l’évêque de Meaux qui, sans l’avoir encore validée officiellement, a donné son accord pour poursuivre la procédure de recrutement.

J’avais pris le soin, au cours de ces entretiens, de rappeler l’épisode dans la presse de 2014  [Des articles accusaient le groupe scolaire Gerson de dérives « intégristes », NDLR]. Et tout le monde avait acté qu’il s’agissait-là d’articles calomnieux. D’ailleurs, après enquête, l’inspection générale du ministère de l’Education nationale avait blanchi l’établissement de ces accusations, le porte-parole du ministère affirmant que « rien dans les observations de la mission ne justifiait une remise en cause du contrat d’association entre l’Etat et l’établissement ». Pour avancer dans le processus de nomination, j’ai rencontré le directeur de l’établissement un mercredi après-midi.

Puis, tout a dérapé…

Mon nom a dû circuler à ce moment-là et des professeurs et parents d’élèves ont consulté les articles biaisés de 2014. J’ai reçu un message d’une mère d’élève inquiète. Et très rapidement, le directeur diocésain de l’enseignement catholique de Meaux m’a appelée pour me dire que la situation se complexifiait avec des réactions démesurées et irrespectueuses contre ma personne. Dans un tel contexte, je me suis dit que les circonstances n’étaient pas adéquates pour prendre la direction de l’établissement. J’ai pris la décision de tout arrêter - bien que le directeur diocésain voulût poursuivre la procédure de recrutement, en communiquant davantage. Mais ayant déjà vécu une cabale médiatique en 2014, je savais bien qu’il était très difficile d’arrêter un tel phénomène. Je n’ai jamais rencontré un seul professeur de ce collège.

Vous auriez accepté une réunion avec les professeurs de Meaux ?

Bien sûr. Je suis encore prête à le faire, même si je ne serai jamais directrice de cet établissement.  Mais s’ils le souhaitent, je suis prête à les rencontrer et à leur montrer à quel point je n’ai strictement rien à voir avec la personne qu’ils ont décrite dans leur campagne, notamment les accusations de racisme. Cette façon de coller des étiquettes aux gens en versant dans le fantasme est un manque de justice.

[...] Ceux qui prônent le dialogue comme s’il s’agissait d’un dogme de foi ont finalement beaucoup de mal à dialoguer. Ils transforment ce qui, pour moi, est un message d’amour en un message de haine. Ils transforment la parole de l’Eglise en un message d’exclusion, d’intolérance, du goût du secret. Je suis la fille d’une psychanalyste. Je pense que cette affaire relève d’un phénomène de projection. Car quoi de plus secret que des déclarations anonymes ? Quoi de plus intolérant que le refus d’écouter l’autre ? Quoi de plus sectaire que la propagande qui vise à manipuler des enfants en faisant circuler des messages diffamatoires ? J’appelle donc ces personnes à relire leur attitude qui a – je le crois – manqué d’esprit de justice.

[...] Je distingue deux catégories de personnes. Celles qui ne partagent pas mes opinions. C’est leur droit et je le respecte. Je regrette seulement qu’elles n’aient pas voulu donner une chance au dialogue.  Celles qui sont à l’origine d’une campagne de mensonges et de calomnies et qui prétendent qu’il faut du courage pour rester caché derrière l’anonymat d’un ordinateur. Les concernant, je ne respecte pas les moyens qu’elles ont employés. Les messages de soutien que je reçois des familles de cette école illustrent l’inquiétude des parents face à ces méthodes et aux quelques enseignants qui ont la charge d’éduquer leurs enfants et qui recourent aux pratiques de dénonciations mensongères et anonymes.

[...] Certains professeurs font le choix de l’enseignement catholique parce qu’ils considèrent qu’il y a des circonstances de travail plus confortables que dans l’enseignement public. Il est évident qu’aujourd’hui, l’ensemble des professeurs n’est pas catholique, c’est un fait. Mais je ne souhaite qu’une chose : qu’ils ne dénaturent pas le message de l’Eglise dans leur enseignement auprès des jeunes qui nous sont confiés par les familles. Je ne comprends pas ceux qui font le choix de rejoindre l’enseignement catholique et qui estiment le message du pape comme profondément choquant. Je ne vois là aucune cohérence. [...]"

Le quotidien Le Parisien porte également une grave responsabilité en relayant les diffamations colportées par ces professeurs, sans aller interroger cette directrice.


9 au 28 juillet : Il reste des places au Raid Saint-Michel

Le Raid Saint-Michel, camp itinérant destiné à des garçons de 13 à 17 ans, organisé et encadré par des prêtres et séminaristes de la Fraternité Saint-Pierre, propose encore quelques places disponibles pour son édition 2018 en Franche-Comté. Nous marcherons à travers le Jura, de Besançon à Bellegarde-sur-Valserine, pour une aventure vraie, spirituelle et humaine. Du 9 au 28 juillet. Prix 340 euros. Renseignements et inscriptions : raidsaintmichel[at]gmail.com ou https://raidsaintmichel.wordpress.com.

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Radicalisation : certaines écoles seraient... catholiques

De Gabrielle Cluzel sur Boulevard Voltaire :

Capture d’écran 2018-06-07 à 08.22.43"Chaque rédaction a les priorités qu’elle entend. Le Parisien, le 4 juin, a choisi de se concentrer sur les « tensions » régnant dans deux écoles privées catholiques. Du harcèlement, de l’insécurité, du racket, des élèves tabassés, des profs molestés ? Vous n’y êtes pas, mes chéris : la plus grande « violence » que l’on peut relever dans ces deux articles confondus est le refus, lors d’un conseil de classe il y a un an, d’accorder « les compliments » à une jeune fille sous un prétexte jugé fallacieux. C’est en effet vexant – « Et mes acclamations ? Mon enthousiasme ? », s’indignerait Louis de Funès -, mais on a vu pires sévices. Il est vrai que l’établissement dont il s’agit est Saint-Jean-de-Passy, au cœur du XVIe arrondissement, et que l’échelle de Richter de la maltraitance n’y est sans doute pas tout à fait la même qu’en banlieue.

Des professeurs, contactés par Boulevard Voltaire, disent d’ailleurs « être tombés de l’armoire » en lisant cet article. Eux qui ont enseigné dans d’autres lycées jugent au contraire celui-ci calme, sympathique, tant pour le corps professoral, les élèves que les parents, avec plutôt moins de « petites histoires » qu’ailleurs. Il peut, du reste, se prévaloir, rappellent-ils, d’excellents résultats. Cet article serait d’ailleurs devenu sujet de plaisanterie : « Tu ne réussis pas à récupérer ton lot de tombola ? Tu devrais appeler Le Parisien, non ? » Plus sérieusement, ils s’étonnent qu’un grand journal puisse se faire l’écho de tels « ragots » (c’est leur mot) et ne lésine pas, jusqu’au ridicule, sur les éléments de langage : il y est, en effet, question de « hauts murs », de « dérive national-catholique » (sic), « d’épuration » et « d’endoctrinement ». Rien de moins. Il est vrai que l’uniforme y est « à dominante bleu marine »et que, dans la cour d’honneur, le directeur « a fait ériger une imposante statue de la Vierge » (là où il y avait jadis une Jeanne d’Arc) « flanquée de deux drapeaux, français et européen ». Stupeur et tremblements. Et pourquoi pas, tant qu’on y est, donner à cette école le nom d’un saint, et pire, d’un évangéliste ?

Simultanément, Le Parisien qui, décidément, s’aime bien dans le rôle de Libé au petit pied, évoquait, à Meaux, « la grève des professeurs de Sainte-Marie qui fait renoncer la future directrice », « une directrice proche de l’Opus Dei, une institution controversée de l’Église catholique ». Celle-ci n’était que pressentie parmi d’autres et ne faisait que visiter l’école comme tous les candidats. Son crime ? En tant que directrice de Gerson, avoir laissé intervenir « l’association anti-avortement Alliance Vita » lors d’un cours de catéchèse, qui aurait dit aux élèves : « Une fille qui avorte commet un homicide volontaire. » Mamma mia ! Prions, mes frères, pour que le pape François ne se mette pas en tête d’aller voir, lors de sa prochaine visite en France, le collège Sainte-Marie de Meaux. Lui qui ne cesse de répéter que l’IVG est un crime se ferait illico remettre dans l’avion direction le Vatican par des piquets de grève. Cela ferait désordre. [...]"


Un enfant qui lit sera un adulte qui réfléchit

Un petit exemple de minorité agissante :

Unknown-2"Vous avez intégré depuis longtemps que l’école publique ne fournira pas l’instruction suffisante à votre enfant lui permettant de savoir lire, écrire et compter. Vous avez aussi réalisé qu’elle n’était pas l’endroit le plus sûr pour son intégrité physique (violence à la récré) et morale (promotion de mœurs douteuses).

Vous vous êtes alors tournée vers l’école privée. Appâtée par de bonnes apparences, vous avez testé un an, pour goûter. Vous avez vite recraché : même nivellement par le bas et même religion républicaine que dans le public. La seule différence se trouvait dans le chéquier.

Alors, embryon d’esprit dissident, vous avez pensé à l’école hors-contrat. Vous avez cherché une des ces perles rares qui se multiplient dans le pays. Vous avez beaucoup cherché mais vous n’avez rien trouvé. Elles semblent s’implanter partout où vous n’êtes pas. A croire qu’elles le font exprès. Le constat s’impose : pas d’école hors-contrat pour vos enfants. Vaguement envahie par un sentiment d’injustice, vous regardez impuissante ce dernier espoir s’envoler.

Pourtant il existe une solution que vous connaissez.

L’école à la maison… Je sais, même dans vos pires cauchemars, vous refusez de  l’envisager. J’entends bien vos prétextes raisons : ce n’est pas possible pour moi… Il faut de l’argent, il faut du temps. C’est prendre des risques (oui au moins cinq évoqués ici) et puis il faut être patiente, pédagogue, hyper organisée, ne pas avoir de bébé, etc… La liste est longue. C’est normal, la nature se révolte à l’idée de perdre un confort si précieux.

En fait, vous êtes un peu comme Jeanne au milieu de ses moutons quand elle réalise ce qui l’attend. Vous luttez, vous refusez, vous étouffez la petite voix (bon nous c’est juste celle de notre conscience pas celle de Saint-Michel & Co mais la comparaison tient quand même). Vous préférez filer la laine et garder les brebis plutôt que d’aller au combat. C’est quand même beaucoup plus pépère. Oui mais votre problème ne se règle pas à la voix passive. N’attendez pas que les choses bougent, agissez. N’attendez pas l’ouverture d’une école hors-contrat au bout de votre rue, soyez l’école. Cessez de tergiverser. Vous ne faites que repousser l’échéance. Ce qui est dommage parce que la maternelle est le moment idéal pour faire ses armes.

Soyez une de ces minorités qui agissent comme c’est expliqué ici (soirée débat « Débrancher mai 68 » rediffusée sur TVLibertés). Il y était question de notre volonté actuelle d’offrir une éducation, une culture, une formation solide aux jeunes. Et tout en écoutant Marion Maréchal, invitée parmi d’autres, je ne pouvais m’empêcher de penser que l’école à la maison est une de ces (faibles) minorités agissantes dont elle parle, un moyen sûr et efficace de développer une intelligence méthodique, un esprit critique et une capacité de discernement chez nos enfants. (En tout cas quand on choisit un cours par correspondance de qualité, en particulier sur l’étude de la langue française).

Que ce soit clair, je ne prétends pas être de « ces minorités agissantes qui écrivent l’Histoire » comme je l’ai entendu. Mais quand mon bonhomme de 10 ans me dit en refermant Dialogues des Carmélites : « Maman lis-le jusqu’au bout, il est trop bien », je me dis que tout espoir n’est pas perdu pour les générations futures. Un enfant qui lit sera un adulte qui réfléchit. Le but de l’école à la maison n’est pas de former des intellectuels purs, une espèce d’élite déconnectée des réalités. En ce qui nous concerne, les aînés veulent être paysans comme leur père… Ce mode d’instruction nous a permis de quitter un système qui condamne les élèves à devenir soit des intellectuels dépourvus d’adresse soit des artisans illettrés."


Petite victoire intéressante pour les établissements hors contrat

La Fondation pour l'Ecole et la FPEEI obtiennent l'extension du "Pass+ Hauts-de-Seine" aux collégiens scolarisés dans le hors contrat :

Isens_thumb.php"Le « Pass+ Hauts-de-Seine » est un dispositif du département des Hauts-de-Seine permettant aux collégiens de s’inscrire à des activités extra-scolaires au sein d’associations culturelles, sportives et artistiques des communes du département à des tarifs préférentiels, en bénéficiant d’une aide financière.

Il concernait plus précisément tous les élèves de la 6ème à la 3ème, domiciliés dans les Hauts-de-Seine et/ou scolarisés dans les établissements publics ou privés sous contrat de ce département.

Plusieurs familles dont les enfants sont scolarisés dans des établissements hors contrat se sont vues refuser le bénéfice du Pass+ par le Conseil départemental des Hauts-de-Seine pour le motif suivant : « établissement hors contrat non éligible au Pass+ ».

Maître Laurent Frölich a formé plusieurs recours pour ces familles en décembre 2017 puis en mars 2018. Le Conseil départemental a alors accepté d’octroyer des dérogations à titre individuel pour les collégiens concernés.

Puis, devant l’offensive juridique menée en mars et avril 2018 par la Fondation pour l’école et la FPEEI (Fédération des parents d’élèves des écoles indépendantes), le Conseil départemental, par une délibération du 14 mai 2018, a supprimé cette discrimination. Il a permis l’éligibilité des collégiens du hors contrat au dispositif Pass+, qui bénéficie désormais aux élèves de 12 à 16 ans scolarisés dans des établissements hors contrat des Hauts-de-Seine ou qui, domiciliés dans les Hauts-de-Seine, sont scolarisés dans des établissements hors contrat d’autres départements.

La Fondation pour l’école exprime sa vive gratitude au Conseil Départemental des Hauts-de-Seine d’avoir réservé une suite favorable à ses demandes et rétabli rapidement un traitement équitable entre les différents enfants de son territoire. Elle ne doute pas qu’à l’avenir, sur d’autres sujets, le Conseil Départemental aura de la même manière à cœur de mettre en œuvre ce traitement équitable entre les enfants, sans discrimination fondée sur le statut juridique de l’établissement scolaire dans lequel ils sont scolarisés."


L'école Saint Dominique Savio à Ecully (69) recrute

L'école hors contrat Saint Dominique Savio à Ecully (69) recherche une institutrice pour la rentrée 2018-2019. L'école accueille une centaine d'enfants de la maternelle au CM2.

Esprit familial et d'entraide. Formation ILFM souhaitée.

Merci d'envoyer un CV avec photo et une lettre de motivation à l'adresse suivante : [email protected]


Vernouillet : Ecole indépendante recherche institutrice expérimentée

L’école Saint Philippe Néri (Vernouillet, 78) recherche pour la rentrée de septembre 2018 une institutrice expérimentée pour une classe à petit effectif, niveau CM et CP.

Contact : Frédérique Borne – 06 62 88 54 29– [email protected]

Aidez à financer l’école de la petite Marie « tombée du nid »

L’école Saint Philippe Néri ouvrira ses portes en septembre 2018 à Vernouillet (Yvelines). Cette école catholique indépendante accueillera une vingtaine d’enfants. Parmi eux, deux enfants trisomiques, dont la petite Marie « tombée du nid ». Cette initiative répond à un besoin pour les familles du Val de Seine. En effet, les écoles catholiques du secteur ne peuvent répondre à toutes les demandes d’inscriptions. Par ailleurs, un certain nombre de parents aspirent à scolariser leurs enfants dans un établissement catholique à taille humaine, où les familles participent activement à la vie et au développement de l’école. L’objectif des familles fondatrices est de proposer une cohérence entre ce qui se vit en famille et ce qui se vit à l’école, que ce soit en termes d’instruction, d’accueil du handicap ou de foi chrétienne.

Faire un don via Credofunding